(CM1735-216-16F)
MINISS
MICIOS
ISSN 0336-4585
informatique electronique
UN LUNDI SUR DEUX : 16 FF/110 FB/4,50 FS/ CANADA $ 3.25
ORDINATEUR
OPTIQUE
OPTIQUE
LECTEUR CARTES
MAGNÉTIQUES
TE —
SYSTÈMES EXPERTS
PANORAMA
COMPOSANTS
ARITHMÉTIQUES
ARR
SUR LA ZIRST
un
INDUSTRIE
Du LOGICIEL :
RÉUSSITE ET ÊCHE
Prétixe
Structure d'un paquet de données
Solve de synchro bit Mot de synchro octet
F F=6,203125 MHz
Séquence de synchronisation d'un paquet
RÉALISATION
c\ D'un DÉCODEUR
ANTIOPE
Le décodeur de télétexte,
décrit dans cet article,
a été conçu avec, comme objectif,
l'utilisation d'un nombre
minimal de composants,
tout en lui conférant
les caractéristiques propres
à un produit de deuxième
génération (p. 97).
10 SEPTEMBRE 1984
CAO ET DAO
SUR MICRO:
ORDINATEURS
Les premiers systèmes
micro-informatisés
sont récemment apparus
sur le marché de la CAO.
Ils sont encore limités
en possibilités et performances,
mais ils soulèvent
néanmoins un intérêt
considérable (p. 87).
== | 1 EL
Euroboard leadership Euroboard leadership
GESMPU-4AA GESBUL - 1
MODULE PROCESSEUR 68000 MODULE MÉMOIRE A BULLE
DE HAUTE PERFORMANCE (16 bits) 1 MBIT
8 MHz sans état d'attente, jusqu'à 64 Kbytes EPROM, Unité de stockage non volatile de 128 Kbytes
et 16 Kbytes RAM, liaison série RS 232, avec contrôleur, détection de coupure du réseau,
triple timer, logiciel pour processeur 8 ou 16 bits,
compatible avec le bus G-64 compatible avec le bus G-64
Le spécialiste
de la carte europe
LL
AUTOMATISMES
- IMPORTATEUR -
2, rue des Murailles
38170 SEYSSINET-GRENOBLE
GESADA - 1
MODULE ENTRÉE / SORTIE
ANALOGIQUE 10 bits
16 canaux d'acquisition de données Ve 76 a e 1 O8 90
(ampli d'instrumentation), 4 canaux de sortie,
tension +10V
compatible avec le bus G-64 TELEX 320 37e
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 101 du service-lecteurs (p. 151)
ANALYSEZ MONA LISA
AVEC PÉRICOLOR 2000
Le traitement interactif de la Joconde permettra peut-être
de comprendre ce qui se cache derrière son sourire.
C'est une des nombreuses applications du PÉRIC'OLOR 2000,
Le PERICOLOR 2000 est un sys-
tème autonome d'acquisition, de traite-
ment et de visualisation d'images cou-
leurs.
Bi-processeur, format 512 x 512 à
1024 x 1024, 1 à 10 plans image, 8 et 16
bits, opérateurs câblés, FFT, copro-
cesseur arithmétique, array pro-
Cessor.…..
Ses caractéristiques techniques en
font à la fois un système haut de
gamme et très ouvert.
La conc eption du dialogue “hom-
grâce à son menu très
me-machine”
Pour toutes précisions sur la société ou
évolué, permetaux scientifiques, infor-
maticiens ou non, d'utiliser les PERI-
COLOR 1000 et 2000 sans difficulté.
Importante bibliothèque de pro-
grammes standards et de programmes
d'applications.
Programmation des systèmes en
langages évolués (Fortran, Pascal,
etc.).
Depuis 1976, NUMELEC déve-
loppeune gamme étendue de systèmes
adaptés d’imageries regroupés sous le
nom de PERICOLOR.
le produit présenté ci-dessus :
référence 102 du service-lecteurs (p.
Le choix d’une gamme
PÉRICOLOR 100.
256 x 256 visu N et B.
PERICOLOR 200.
512 x 512 visu N et B.
Fonctions locales intégrées.
Mémoire
Mémoire
PÉRICOLOR 1000. Système interactif de
traitement d'image couleur, nombreux logi-
ciels d'applications disponibles.
PÉRICOLOR 2000. Système haut de gam-
me, multiprocesseurs.
HISTOPÉRICOLOR. Système autonome
d'analyse d'image de microscope.
SCINTIPÉRICOLOR. Système de traite-
ment d'image médicale en scintigraphie.
PÉRICOLOR 5000. Terminal graphique
haute résolution N et B.
NOUVEAU
PÉRICOLOR 6000. Terminal graphique
couleur interactif et intelligent.
Un nom. Des images. Du savoir-faire.
d'image
d'image
151)
PARAGRAPHE
N° 216 / 10 sept. 1984 ACTUALITÉ
Phénomène propre à Grenoble : l'essaimage
de La Télémécanique, via Sems, sur la Zirst de Meylan 41
Hewlett-Packard s'agrandit en Rhône-Alpes
pour confirmer son implantation en France 46
Salon micro-informatique à Francfort 47
Chez Prime : deux nouveaux venus dans la série P 50 48
Une nouvelle version de MDBS III 48
Onyx a annoncé deux nouveaux supermicros sous Unix 49
En marge de la NCC : visite à Dysan, Shugart-Optimem,
Envision et Integrated Automation 50
POINT DE VUE
Les entreprises de logiciel pour micro-ordinateurs
aux États-Unis. La réussite et l'échec 52
les deux supermicros de la série 5012 d'Onyx,
récemment introduits en France, sont destinés
au marché du développement de logiciel et JURIDIQUE
Fe Ta AIRes AnRe Contrat de fourniture de matériels informatiques :
les obligations des parties 57
EN DIRECT DES USA
Panorama des Ram dynamiques 256 K bits :
grande capacité et fonctionnalités nouvelles 61
Accord AMD/LSI Logic sur les réseaux
prédiffusés et personnalisés 64
Réseaux locaux : la bataille entre S Lan et Cheapernet 66
ETUDE
Non visible au Sicob : l'ordinateur optique
ou l'information à la vitesse de la lumière 81
La CAO sur micro-ordinateurs :
à l'heure des leurres, des heurts et des bienheureux 87
Intelligence artificielle : les principes fondamentaux
des systèmes experts 113
PERIPHERIQUE
| in ; . Les lecteurs de cartes magnétiques.
e domaine d'emploi et les conditions re .. Ê 92
d'utilisation de la carte magnétique l partie : les méthodes de codage
lui confèrent des contraintes particulières
analysées dans l'étude de la page 92. APPLICATION
Réalisation d’un décodeur Antiope.
I. - Partie matérielle 97
PAGE 4 — MINIS ET MICROS N° 216
COMPOSANT
Panorama des circuits et coprocesseurs
pour calcul arithmétique 107
RUBRIQUES
[] bibliographie: 34 [] mémofiches: 35 [] calendrier et
manifestations : 37 [] « minis et micros » a noté pour vous : 57/66
[] sociétés : 45 [1] nominations : 45 [] nouveaux produits: 123
[] rappels d'électronique : 133 [1] répertoire des annonceurs : 150
[1 bulletin d'abonnement et cartes service lecteurs : 151
Le présent numéro comporte, entre les pages 68 et 77, un encart broché de 8
pages non foliotées.
La loi du 11 mars 1957 n'autorisant aux termes des alinéas 2 et 3 de l'Article 41, d'une part, que « les copies ou
reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective » et,
d'autre part, que les analyses et les courtes citations dans un but d'exemples et d'illustration, « toute représentation
ou reproduction intégrale, ou partielle, faite sans le consentement de l'auteur où des ayants droit ou cause, est
illicite » (alinéa 1°" de l'Art. 40). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit,
constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les Articles 425 et suivants du Code Pénal.
MINIS +
MICTOS
informatique electronique
NEUVIÈME ANNÉE
éditeur : Jacky Collard
RÉDACTION
rédacteur en chef
Roger Carrasco
rédacteur en chef adjoint
Annie Garnier
rédacteur
Christian Cathala
assistante
Isabelle Brault
secrétaire de rédaction
Pierrette Thérizols
assistée de
Fabienne Degasne
conseil de rédaction
Maurice Baconnier/Jean-Michel
Bernard/Jean-Marc Chabanas/
Xavier Dalloz/Roland Dubois/
Pascal Monnier
ont collaboré à ce numéro :
Stan Baker/Lucie Barbier
Jean-Michel Bernard/François
Cinare/Hervé Dornic
Roland Dubois/Dominique Girod
Pierre Jouvelot/Jean-Pierre Lamoitier minis-micros
Daniel Le Conte des Floris . _—
Philippe Lorrain/Robert Miquel ones .
Hervé Piquant/Violaine Prince
François Sartre/Michèle Sauvalle se
Bruno Varale publications
PROMOTION
secrétariat
Marie-Christine Legrand
Rédaction - publicité
petites annonces - abonnements
5 place du Colonel-Fabien
75491 Paris Cedex 10
Tél. (1) 240 22 01
Télex rédaction : 214 366 F INFTEST
Télex publicité : 230 589 F EDITEST
PUBLICITÉ
chefs de publicité
Sylvie Cohen-Haumont
Françoise Lamblin
assistante BELGIQUE
Michèle Métidji 3, avenue de la Ferme-Rose - 1180 Bruxelles
SUISSE
19, route du Grand-Mont
1052 Le Mont-sur-Lausanne
CANADA (abonnements)
LMPI 4435, bd des Grandes-Prairies
Montréal - Québec HIR 3N4
PETITES ANNONCES
Yvonne Bataille (1) 240 22 01
ABONNEMENTS
Eliane Garnier
assistée de
Christine Borello/lrène Duhaut/
Myriam Hasseine/Denise Renier
© « minis et micros », Paris
Conception graphique
Graphic and Co
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 5
Pourriez-vous encore vivre sans ordinateur £...
Pour répondre à l'omniprésence de l'informatique
RP.S. s'est spécialisé dans la fabrication de mémoires
magnétiques compatibles avec toutes les marques d'ordina
teurs : disquettes, bandes, disques rigides...
L'importance des moyens financiers investis en recherche
et développement par le groupe RHONE-POULEN
alliée à la technologie d'avant-garde de R.P.S. en matière
PRE
SEURS DE LA
L
d'enregistrement magnétique, a permis la mise au point de produits pour l'informatique
totalement fiables.
La fiabilité des mémoires pe R.P.S. va bien au-delà des normes impo-
sées par les plus grands constructeurs d'ordinateurs.
Aujourd'hui, R.P.S. est, à l'échelon international, un label de qualité pour tous les .
professionnels de l'informatique.
La mémoire informatique professionnelle.
Rhône-Poulenc Systèmes. Tél. : (1) 291.70.
RHÔNE-POULENC SYSTEMES
IS
parallèles
liaisons
ries
. SBX
#
niveaux
interrup.
et sources
compteurs
BUS
…
Le”
L'
.
* distribué par: A2M (3) 954 91 13 / GENERIM (6) 907 78 78 / MICRONKX (3) 950 70 07 “6
<
+
,256 Ko ROM
à CNT + À
64 Ko RAM GT SZ
+ ° < À » eV, ?
64 Ko ROM © Ce PA
EIS s farolibantes c
+ 8085 à 4,9 MHZ,
+ 4 RS 232 compatibles modem ou boucles de
courant,
2 SBX, pour 4 RS 232 supplémentaires,
10 E/S parallèles,
TE 2 contrôleurs 8259,
3 x 16 bits 6 compteurs 16 bits + 1 x 14 bits,
RE RIRE PSE PP 32 Ko RAM double accès,
Mio 3 socles pour 16 Ko ROM/16 Ko RAM ou 31 Ko ROM,
jusqu’à 16 Mo COMPLÈTEMENT COMPATIBLE SBC 544.
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 104 du service-lecteurs (p. 151)
PAGE 8 — MINIS ET MICROS N° 216
OLIVETTI PRÉSENTE LES ORDINATEURS PERSONNELS EUROPÉENS
ETLICITCE ur
MER He De Fée pas KE | # ". ul “
LR LE Et EX A Ge À AG
DOCILES ET COMPATIBLES
Vous ne les connaissez peut-être pas. Mais les
nouveaux ordinateurs personnels Olivetti, eux, vous
connaissent déjà, savent quels sont vos problèmes et
comment les résoudre.
Olivetti, premier constructeur informatique européen,
a mis dans ses ordinateurs personnels toute l'expérience
acquise auprès de milliers d'entreprises européennes dont
les besoins et les attentes ont servi de base à la mise au
point des solutions Olivetti. Ainsi sont nés les nouveaux
ordinateurs personnels européens Olivetti.
Le matériel et le logiciel sont compatibles avec le
standard du marché, mais les ordinateurs personnels
Olivetti vont bien au-delà de la simple compatibilité : ils
É DÉS | |
< / /
LE S &° / /
olive LE Es
toutes précisions : réf. 105 du service-lecteurs (p. 151)
sont plus rapides dans le traitement des données; des ,
textes et des graphiques et en assurent une meilleure /
lisibilité à l'écran. 2
La richesse de la gamme permet d'évoluer vers la
configuration la plus appropriée aux besoins de ‘
l'entreprise. Les nouveaux ordinateurs personnels ©
Olivetti peuvent communiquer entre eux, avec / S
d’autres ordinateurs et serveurs de bases de /
données; ils peuvent aussi s'intégrer aux
réseaux de communication de l'entreprise. SA <
Olivetti: les ordinateurs personnels / qd" S p:
professionnels. L’alternative / Nu Le) .
européenne. ” Ce
Gi OPE
olive
DM 5305
211PN0 1a1191Y / VE
DY 450
ante mar uerite moyenne vitesse
s es caractéristiques eta |
ite DY 450 (CO
L'impriman
qui dernandent une
«Aisting” assure UNE
(a) documents non
cps en
0 est totalement (eo)
arguerite standaf
L'imprimante DM 58
tri
les imprimantes a m
DIABLO, NEC, OLIVETTI et ma
(QUME,
tions et les m
mêmes OP
primantes
pM 580 : deux Im
S OPE stand 506
aicoB 1984 pERI TECHNOLOGIE stand 412
RI
l'une des
é. Cette
ande variête
unications,
texte, comm
parti.
ale.
jelle 136 colonnes;
ession et 00 cps en tabulatiOn
texte standard 480 CPS);
ue;
mpr ement;
_ Sjlencieuse:
_ fracteur à picots réglable incorpore;
- compatible M PC ou EPSON;
_ interface 32 CoU centronics;
À dentiques à a
r de papier 80 colonne
AS des platane
tel 0116660631
NOUVEAU : CHAQUE MOIS, UN CAHIER APPLE - UN CAHIER IBM
ATEUR
nneL_
Sicob 84 : vaut-il encore la visite ?
Mike Greenly : mes aventures sur le réseau
27 soi-disant _< portables »
Initiez-VOuS_ aux graphiques de gestion
Bancs d ‘essai : . Wordstar, blivetti M 24,
Open Access
Voici l1BM- -AT
annoncé à Dallas il Y à à dix x jours
Notre dossier exclusif, en page 20
O
Ne 8 chez votre marchand
de journaux
Pour toutes
précisions su
PA r la société |
GE 12 — MINIS ET MICROS N° 216 NN.
référence
107 du service-lecteurs (p. 151)
TANDON FAIT
FLOPPY 1/2 HAUTEUR TM 65
Diviser par deux les dimensions, c'est doubler la capacité
de mémoire pour le même espace, c'est aussi gagner en facilité
d'intégration. Le TM 65 1/2 Floppy ne fait que 42,6 mm
d'épaisseur (200 x 149). Tout en offrant d'excellentes perfor-
markes. C'est le moins qu'on puisse attendre de TANDON,
\ leader mondial en disques souples 5" 1/4.
Re =] e Capacité 0,50 Mo, 1 Mo. + Entraînement direct pour une
meilleure tenue du moteur dans le temps et une consommation
faible. + Faible taux de fluctuation. Ejection automatique de
la disquette. + Carte électronique avec moins de composants
d'où une grande fiabilité et une faible consommation.
e Temps de déplacement piste à piste Lis
e Silencieux (il le doit à sa conception)
LES CHOSES
DISQUE DUR 1/2 HAUTEUR TM 252
Le TM 252, lui aussi, trouve place partout facilement
avec ses 44,5 mm d'épaisseur (205,2 mm x 149,4 mm).
e Brillant, il gagne sur le temps de positionnement des têtes
qui devient très court, autorisant un accès rapide à ses 10 Mo.
e Equipé d'interface standard de l'industrie, il est aussi
compatible au standard ST 506.
Pour le service Après-Vente par contre, TANDON ne fait pas
les choses à moitié; pour le TM 65 il est assuré en France
par Technology Resources et pour le TM 252 directement
par le fabricant, en Angleterre. D'où une sécurité et un gain
de temps fort appréciables.
Leurs prix? Non TANDON n'a pas pu les couper en deux. Mais
ils sont tellement intéressants qu'on pourrait, presque, le croire.
TANDON est distribué
TANDON
TM65
TANDON
TM 252
exclusivement par Technology
Resources SA, 114 rue Marius-Aufan,
92300 Levallois-Perret. Téléphone:
(1) 757.31.33. Télex: 610657.
2 Télécopie: /57.98.67.
landon
LUNLP}IY<T OULLO(I
réf. 108 du service-lecteurs (p. 151)
Pour toutes précisions :
d'extension ul
Ilfaut conclure:
€ Standards à tous les niveaux
e Support logiciel
© Adaptation aux futurs
composants
© Acces à tous les niveaux
d'intégration pour r
ces V4:
Ici: disquette 5 pou
Utiliser le système d'explo
multi-utilisateurs stan
l'industrie:
Pour un OEM, choisir
un système UNIX* n'est
jamais une décision facile.
Pour la plupart des appli-
cations multi-utilisateurs,
vous ne pouviez jusqu à
présent faire votre choix
qu'entre un supermini de
hautes performances et
de coût élevé, et un micro
traditionnel. Ce qui
débouchait rarement sur
une solution satisfaisante.
Aujourd'hui, vous avez
une autre alternative.
Lévolution des systèmes
selon Intel a engendré une
nouvelle race de systèmes
CONÇUS pour répondre aux
besoins actuels et futurs
des OEM.
Cette nouvelle race
s appelle Supermicro 310.
Le Supermicro 310
d'Intel est un «Système
Ouvert». Vous serez libre
de le personnaliser et de
le faire évoluer, grâce
au MULTIBUSM, pour in-
tégrer la nouvelle tech-
nologie VLSL. Tout en
protégeant votre inves-
tissement. Tout en dispo-
sant de la puissance
souhaitée. Au prix qui
vous convient.
Le haut niveau de per-
formance du 310 est dû à
notre puissant MICrOPrO-
cesseur iAPX 286. Lors-
que vous associez celui-ci
à Xenix*, système d’ex-
ploitation compatible
UNIX, le résultat est imbat-
table. Et le produit est dis
ponible dès aujourd'hui.
Selon Intel, voilà un
bon exemple de sélection
naturelle: deux technolo-
*UNIX est une marque de Bell Labs
* Xenix est une marque de Microsoft
gies qui réussissent, évO-
luant séparément pour
former ensemble le Super.
micro 310.
Et pour l'OEM, nous
pensons que ce sera un
choix normal. Une sélec-
tion naturelle.
Si vous voulez savoir
comment le Supermicro
310 peut vous aider,
complétez simplement
le coupon ci-dessous.
i 1
N° 1 MONDIAL
DU MICROPROCESSEUR
®
Orange
—
référence 109 du service-lecteurs
| Nom
| Société
|
| Fonction
| Adre CE
Application
Retournez à:
Intel corp. Dépt MARCOM
5, place de la Balance - SILIC 223
|o 4528 RUNGIS CEDEX
— J
286/310 Xénix (MM.)
151)
(p-
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus :
A qualité supérieure
achetez Français
ÉD :
APRES | Morse
CS
Terminaux Imprimantes Visualisation 1 See
Adresse postale : B.P 53 - 77312 Marne-la-Vallée - Cedex 02 .
Al. : _ Télov: Souhaite [] recevoir une documentation O1 TIV 180
Tél. : (6) 005.91.50 - Télex: SAFTIV 600 994 F E üho dérionstdt Q TIV 90
Adresse
PSI 900
e Z80A
e KOS* et CPM
e Disque dur 40 Mo
e 256 Ko RAM
e Application serveur et composeur VIDEOTEX
e Réseau local KOBUS**
PSI 988
e 8088/8087 (en option)
e MSDOS CCPM86
e Disque dur 40 Mo
e Interfaces industrielles 16 bits
e Compatible matériel et logiciel IBM PC
e Réseau local ETHERNET
PSI 9068
e 68000/Z80A UNIX
e Disque dur jusqu’à 80 Mo
e Jusqu'à 2 Mo RAM
e Jusqu'à 10 utilisateurs possibles
Tous les micro-ordinateurs PSI
peuvent comporter une sauvegarde
par disque amovible SYQUEST
* KOS : Kontron Operating System
** KOBUS : Réseau local Kontron
Les familles de
micro ordinateurs PSI
PSI 900,
PSI 988 et
ON | PSI 9068
- ; Pre pe
HÉRRRS
à
©
ê
è
È
8
AN ELECTRONIQUE* «SR
AS
B.P. 99 - 6, rue des Frères Caudron
78140 Vélizy-Villacoublay -Télex : 695 673 - Tél. (3)946.97.22
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 111 du service-lecteurs (p. 151)
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 17
BUS VME ET PLESSEY MICROSYST EMS
UN MARIAGE HEUREUX.
S i vous désirez travailler dans le plus
prometteur des nouveaux standards,
sachez que Plessey Microsystems peuttout vous
procurer en VME.
Cartes, logiciels et support technique, rien ne
manque au catalogue. Avec, en plus, la garan-
tie Plessey.
Cartes CPU
Pour construire vos systèmes, vous disposez de
cartes processeurs aux caractéristiques impres-
sionnantes. Jugez-en :
e 10 MHz 68000, 512 K(o) de RAM et 128 K(o)
d'EPROM.
e 512 K(o) de RAM à deux ports.
e MMU, DMA, mémoire virtuelle.
e entrée/sortie série multiprotocole à 3 ports
série.
e entrée/sortie parallèle bidirectionnelle de
24 bits.
e contrôleur de disquette, horloge temps réel,
sauvegarde sur piles.
° .…
Mémoires
Complétez vos systèmes par nos mémoirestelles
que :
e des modules parité jusqu'à 4 M(o) de RAM et
270 ns de temps d'accès.
e des modules ECC jusqu'à 3 M(o) de RAM et
300 ns de temps d'accès.
e des CMOS EPROM jusqu'à 256 K{o) sur sup-
ports JEDEC.
e des CMOS jusqu'à 128 K(o), temps d'accès de
140 ns avec piles de sauvegarde.
Contrôleurs, graphiques et entrée/ sortie
Le catalogue VME de Plessey comporte égale-
ment :
e contrôleurs Winchester et disquettes.
e contrôleurs SAS intelligents.
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus :
_—
sJCOB OEM
STAND —
Plessey Microsystems - BP 74
7-9, rue Denis Papin
78194 Trappes Cedex
Téléphone : (3) 051.49.52
Télex : 696 441
Le prêt-à-poser
référence 114 du service-lecteurs (p.
e cartes graphiques à 16 couleurs.
e cartes entrée/sortie série à 6 canaux.
e
Logiciels
Une large gamme de micro programmes et de
logiciels complètent l'ensemble.
e moniteur/debugger en EPROM.
e IDEAL : assembleur éditeur en EPROM.
e compilateur-interpréteur BASIC et FORTH.
e COHERENT, système d'exploitation compa-
tible UNIX, mono ou multi-utilisateurs.
e PSOS système d'exploitation temps réel multi-
tâche en EPROM.
VME et Plessey
Au plus doué des nouveaux standards, Plessey
Microsystems apporte aujourd'hui la fiabilité de
toutes ses fabrications et sa capacité de produc-
tion. Vous pouvez dès maintenant investir sur
VME en toute sécurité. Avec Plessey.
Pour toute information, renvoyez le coupon
réponse.
VME est distribuée par Métrologie, Tour
d'Asnières - 4, avenue Laurent Cely -
92606 Asnières Cedex - Tél. : (1) 791.44.44
| Demande d'information VME à retourner à
| Plessey Microsystems
| Nom
| Fonction
| Adresse
|
|
|
|
| Société
|
fi nur. ‘|
[H[A[R [D] communication
CS CE UE GE US ŒUE ŒUS ONE MUR EU MS QUE LORS GUN GUN GUN GUNS UNS GUN GUUS UND GUN GUN ŒUND CUS ŒUNS GUUS UNS ŒUNS UNS CES GUND UNS GUN GUND UNS UNS CUS CUS ŒUNS MU QUES ŒuS
L1 LU
Bon pour recevoir gratuitement n
votre catalogue Inmac Û
(à retourner sans affranchir à INMAC I
Libre-Réponse N° 55-95 - 95719 Roissy Charles-de-Gaulle Cedex). i
Pour le recevoir encore plus rapidement, vous pouvez également téléphoner au (1) 865.44.77 Ë
Nom Prénom Î
Société -
Fonction Téléphone I
N° L_1 1 1 Rue [|
I
G3152
Codepostal L_1_1 1 1 1 Ville
GRATUIT
Vous pouvez recevoir gratuite-
ment votre livre d’idées Inmac.
Soit en renvoyant le bon ci-
dessus, soit en téléphonant au
16 (1) 865.44.77.
Demandez vite votrelivre d’idées :
vous y trouverez des fournitures,
des accessoires, des écrans anti-
reflets, les T-Switches, les dis-
quettes Inmac Plus.
Vous êtes utilisateur
d'informatique ?
Inmac répond à vos besoins
Le catalogue Inmac :
48 pages d’idées, 823 produits pour assurer
le meilleur rendement de votre ordinateur.
Le tout
Disquettes, bandes magnétiques en
livrable dans les 24 H.
chargeur, cartouches ou cassettes,
papiers, rubans, marguerites et tuli-
pes d’impression, tout cela est, bien
sûr, dans le catalogue Inmac. Mais
nous vous proposons, en plus, des
produits et des équipements dont cer-
tains sont des exclusivités Inmac pour
la première fois sur le marché fran-
çais. Kits de nettoyage pour écrans et
Les exclusivités d’Inmac :
Le troisième ‘‘point fort” d’Inmac,
ce sont ses trois produits vedettes :
L + l’écran anti-reflets Glare Sentry II
2/2 qui va considérablement améliorerle
“Vous en avi .
} Appelez-moi.
têtes d’écriture-lecture, tapis anti- ous les aurez confort des utilisateurs.
statiques, meubles ergonomiques, : F demain”. e les disquettes “Inmac Plus” telle-
: a | 7 © Des centaines d'acces Le:
rangements sont bien sûr, dans le }, / “4 rie a CRT te ment fiables que nous n’hésitons pas
catalogue Inmac. a ne. à les garantir 15 ans ! Et si, par
Bhies Larmac Pruu p, 23
heu
extraordinaire, une disquette était
défectueuse, nous la remplacerions
par deux disquettes Inmac Plus !
e le fameux ‘‘T-Switch”” qui vous
permet de dispatcher vos signaux
entre vos ordinateurs, modems,
imprimantes et terminaux sans per-
dre un temps précieux en connexions
et sans investir des milliers de francs
en matériels supplémentaires.
Commandez aujourd’hui,
vous serez livré demain.
Oui, un des ‘‘points forts’” d’Inmac,
c’est la livraison rapide. Chez Inmac
le mot ‘‘urgent”” signifie réellement
quelque chose puisque nous assurons
la livraison dans la journée si vous
habitez Paris et la région parisienne.
Ailleurs, nous vous livrons dans les
24 heures. Vous satisfaire très vite et
en toute circonstance, tel est notre
objectif.
Partagez une console portable
entre d secrétaires.
Commandez sans risques,
vous avez 30 jours pour essayer
nos produits.
Un autre ‘‘point fort”” d’Inmac :
l’essai sans risque gratuit. Vous
commandez, vous essayez pen-
dant 30 jours et si vous n'êtes
pas satisfait à 100%, vous nous
demandez de reprendre ou
d’échanger. Vous ne courrez donc
aucun risque à commander chez
T-Switch
Traitement
de texte
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 113 du service-lecteurs (p. 151)
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 19
J
1à]
| UNIX
ISMES DE BASE
CAGE DE COMMANDE
UTILISATION
Humberto Lucas
Bernard Martin
Georges de Sablet
PROGRAMMATION EN
ASSEMBLEUR 6809
Par Bui Minh Duc
380 pages,
158 F
Voici un excellent ouvrage pour tous
ceux qui s'intéressent à l'informati-
que industrielle. L'auteur développe
étape par étape, au moyen d'exem-
ples, les principes de traitement des
informations au niveau machine
UNIX
Mécanismes de base,
langage de commande,
utilisation
Par H. Lucas, B. Martin et G. de
Sablet
204 pages, 98 F
Le présent ouvrage ne se limite pas à
l'utilisation pratique du système,
mais, en expliquant les mécanismes
de base de UNIX, permet d'aborder,
sans difficulté, l'ensemble des systè-
mes de la famille: XENIX, ZEUS,
IDRIS, MOS, SOL, etc. D'autre part, la
Veuillez m adresser 1 exemplaire de : *
LVALO
1
multiplicité des exemples commentés
permet de considérer cet ouvrage
comme un guide de l'utilisateur pour
la manipulation des commandes et de
l'éditeur de textes.
LE SYSTÈME
D'EXPLOITATION SOL
Par l'AD.I. (Agence de l'infor-
matique)
Volume 1
108 pages,
- Présentation
100 F
Volume 2 - Utilisation
288 pages, 190 F
Volume 3 - Programmation
296 pages, 210F
SOL est un système d'exploitation de
la famille UNIX qui tend à s'imposer
comme standard pour les mini et mi-
cro-ordinateurs.
DANS TOUTE LIBRAIRIE
ASSEMBLEUR 6809 (PROGRAMMATION) (8546) .. 158 F
ou LIBRAIRIE EYROLLES :
LE SYSTÈME
D'EXPLOITATION
MS-DOS
Versions 1 et 2
Par R. Politis et B. Vanryb
216 pages, 120 F
Structure, utilisation, liste des com-
mandes et utilitaires même les plus
sophistiqués comme EDLIN ou LINK
avec nombreux exemples. Mini bancs
d'essai des principaux logiciels dis-
ponibles sous MS/DOS
LE MICROPROCESSEUR
68000 ET SA
PROGRAMMATION
Par P. Jaulent
184 pages, 147 F
Sans négliger l'étude « matériel »
l'auteur, ingénieur responsable de
Formation, s'est intéressé à l'aspect
« logiciel » en développant tout parti-
culièrement les instructions de haut
=
=
UNIX (8548). 98F F
SYSTÈME SOL 61, bd, St-Germain 75240 Paris Cedex 05
VOLUME 1 (8530) 100 F
VOLUME 2 (8531).. 190 F
] VOLUME 3 (8532)..210F kom
MICROPROCESSEUR 68000 (8549).. 147 F
O) MICROPROCESSEUR 6809 (8612). 200F ADRESSE
} MICROPROCESSEURS 8086/8088 . (8511)... 130F
SYSTÈME MS-DOS (8512).. 120F
* Cocher la case correspondante
Port en sus 12 F - Par ouvrage supplémentaire
Pour toutes précisions sur la société ou
2,50 F.
le produit présenté ci-dessus :
niveau comme : LINK, UNLK, CHK,
TAS.. La présence de nombreux
exercices de programmation SIMU-
LES font de ce livre un outil de travail
remarquable.
LE MICROPROCESSEUR
6809
Ses périphériques et le
processeur graphique
9365-66
Par C. Dardanne et J. Boules-
teix
304 pages, 200 F
Organisation matérielle, architecture
interne, modes d'adressage, jeu
d'instructions. Possibilités logiciel-
les: interfaces de la famille 6800/
6809, interfaces propres à la famille
6809. Processeur graphique EF
9365/66. Utilisation dans un environ-
nement microprocesseur 6809
MICROPROCESSEURS
Architecture
et programmation,
coprocesseur de calcul
8087
Par J.M. Trio
232 pages, 130 F
De nombreux exemples illustrent de
façon progressive, non seulement la
syntaxe employée par l'assembleur,
mais aussi la technique de program-
mation : utilisation de la pile pour les
variables locales, liaison avec les lan-
gages évolués, appel à un système
d'exploitation, technique d'interrup-
tion.
référence 112 du service-lecteurs (p. 151)
Le micro-ordinateur professionnel d'ICL.
NOUVEAU : MODÈLES 16 BITS, ET ÉCRAN COULEUR.
#
L SOLUTION MULTIPOSTE
DE LUN DES PREMIERS CONSTRUCTEURS
MONDIAUX D'ORDINATEURS
AUX BESOINS DES INDEPENDANTS,
ARTISANS, COMMERCANTS ET PME/PMI.
Le micro-ordinateur mono/
multiposte professionnel d'ICL,
répond aux besoins de tout un
ensemble de créneaux d'activités.
Fonctionnant aussi bien en
système autonome, qu'intégré
dans l'environnement d'un site
central, il est distribué sur l'en-
semble du territoire national par
un réseau de partenaires sélec-
tionnés pour leurs compétences
professionnelles en matière de
gestion et d'informatique.
ICL (International Computers)
conçoit une gamme complète de
systèmes informatiques répondant
aux besoins les plus diversifiés.
Le micro-ordinateur profes-
sionnel 16 bits, représenté ici, est
l'expression de la conception
d'ICL, premier constructeur euro-
péen d'une informatique fondée
sur la décentralisation, la coopéra-
tion et le dialogue de tous les types
de systèmes au sein de réseaux.
—_____— D
Modèle 16 Modèle 36
(16 bits) (16 bits)
Mémoire RAM
mini 256 Ko 256 Ko
maxi 1.024 Ko 1.024 Ko
Disquettes 2x764 Ko 1x764 Ko
Disque dur
mini 10 Mo
maxi 20 Mo 30 Mo
Microprocesseur
INTEL* 8088 8088
monochrome(s)
Écran(a) ou couleur(s)
Multi-utilisateur
Logiciels de base Concurrent CP/M,
* Personal Basic, Mercure
*8088 est une marque déposée de INTEL Corporation
‘Personal Basic est une marque déposée de Digital Research
F
16, Cours Albert-1°" - 75008 Paris - tél : 225.93.04
L'informatique
dans toutes ses dimensions.
151)
référence 115 du service-lecteurs (p.
présenté ci-dessus :
le produit
Pour Moktes précisions sur la société ou
exige!
T
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus : référence 116 du service-lecteurs (p. 151)
PAGE 22 — MINIS ET MICROS N° 216
b esoins-
etez la qualit
Soyez exgents RO
Aix, Achetez QUME-
meilleur pre
goulogne D
Le nouveau terminal
TeleVideo 925E: L'ergonomie.
leleVideo' avait déjà lancé le 925, toujours
inégalé. Aujourd'hui sort son nouveau ter-
minal: Le 925E. Totalement compatible avec
le 925. Et une merveille dergonomie.
Le 925E est vraiment séduisant. Touchez son
nouveau clavier DIN, regardez son écran ori-
entable et anti-aveuglant... vous êtes en con-
tact direct avec la qualité et le confort. Plus
grand confort, plus grande efficacité. Voilà
l'ergonomie.
Le 925E est en outre muni, dans un encom-
brement minimum, d'une interface impri
mante tampon, de cinq touches de fonction
additionnelles et d'une carte graphique en
option: toujours plus efficace.
Le 925E. C'est la totale compatibilité, le
meilleur service, le meilleur confort. Et le
meilleur prix.
Le 925E. Dernier né de TeleVideo.
Pour plus de renseignements, adressez-vous à notre bureau
au (1) 686.44.12, ou à l’un de nos distributeurs agréés
énumérés cidessous: METROLOGIE, Siège: (1) 791,44.44 e
INELCO BELGIUM SA/NV, Siège: Bruxelles (02 216 01 60).
TeleVideo 925E.
& TeleVideo Systems, Inc.
UN CHANGEMENT IMPORTANT
QUI NA PAS
TOUCHE NOS PRODUITS:
NOTRE NOUVEAU NOM.
En temps normal, vous ne pourriez pas faire confiance
à un produit dont le nom ne vous est pas familier. Mais,
bien que nos produits portent tous un nouveau nom, ils
reflètent néanmoins une tradition de qualité et de fiabilité.
En effet, auparavant GENICOM était la division Data
Communication Products de GENERAL ELECTRIC. Main-
tenant qu'elle est une entreprise autonome, GENICOM va
continuer à offrir la même gamme de produits développée
du temps de GE...avec une seule différence: son nom
Notre gamme GENICOM 3000, par exemple, continue
à offrir les performances tant appréciées des utilisateurs
et la souplesse de conception que les constructeurs, distri-
buteurs, détaillants et fournisseurs recherchent tellement.
Vitesse allant de 40 à plus de 400 caractères/seconde
Possibilité d'imprimer en Q.T.D. (Qualité traitement de don-
nées) ou en Q.C.A.(Qualité courrier approchée). Impression
multi-couleurs. Graphisme. Choix entre plusieurs polices
de caractères. En un mot, le “Know-How” américain.
GENICOM -
Bien sûr, nous offrirons également les téléimprimantes
2000 ainsi que les imprimantes/ligne à matrice 4000 qui
apparaîtront prochainement sur le marché. Vous vous aper-
cevrez que nous proposons la même gamme complète de
produits que lorsque nous étions une division de GE. Nous
avons conservé notre personnel compétent, nos installa-
tions, et notre réseau de service international.
Mais, surtout, nous prenons un nouvel engagement à la
perfection. Ainsi, tout en continuant à servir nos clients
actuels avec des produits qui ont fait leurs preuves, comme
la gamme 3000, nous avons l'intention d'introduire de nou-
veaux produits et de nouvelles technologies afin de répondre
à la demande sans cesse croissante.
Chez GENICOM, nous avons changé de nom et avons
l'intention de changer l'avenir avec des innovations et des
produits de qualité tels que
ceux sur lesquels vous
avez toujours pu compter.
Contactez-nous: GENERAL ELECTRIC TECHNICAL SERVICES COMPANY, INC. 42, Avenue Montaigne, 75008 Paris, (1) 723.55.94
ou le Distributeur Agréé le plus proche: FEUTRIER: Suresnes (1)772.46.46; Bordeaux (56)39.51.21; Toulouse (61) 62.34.72; Nantes (40) 48.09.44;
Carnoux (42)82.16.41; Brest (98)28.03.03; St-Etienne (77)74.67.33; Rennes (99)51.13.11; Vandoeuvre (8)351.24.44; G.E.I.S. Paris (1) 657.14-22;
G.E.LS. Bruxelles (2)511.07.40; EURADIX Paris (1)654.42.00; INDATA Bruxelles (2) 721.20.90
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 118 du service-lecteurs (p. 151)
uverture sur le futur:
Système 310
Une gamme complète de systèmes
adaptée aux environnements bureautiques et industriels.
Des solutions à la mesure de vos applications.
Pueu 12 1003
Cité des Bruyères, rue Carle-Vernet, 92310 SÈVRES. Tél. : (1) 534.75.35 - Télex : 204552F
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 119 du service-lecteurs (p. 151)
CEI 625
Le PM 3551 A Philips... pour l'analyse logique,
c'est vraiment le meilleur choix
«Très sophistiqué et pourtant très
simple à utiliser.»
Voilà le PM 3551 A : un analyseur
d’état et un analyseur temporel
séparés dans le même appareil — qui
pourtant, grâce à son mode
synchronisé (SYNC), vous donne
une analyse simultanée en synchrone
et en asynchrone. Un avantage réel
Mesure
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 120 du service-lecteurs (p. 151)
qui vous aide efficacement pour tout
développement de matériel et de
logiciel.
De plus, son temporel
transitionnel économise de l’espace
mémoire sans perte de résolution :
une impulsion de 20 ns sur plus de
5 s d'enregistrement en temps réel!
Et quelle simplicité ! Des menus
clairs et des touches de fonctions
pour rentrer les données, des
désassembleurs pour mp 8 et 16 bits
appelés par simple pression sur un
bouton, sans boîtier externe
supplémentaire.
Philips Science et industrie Division de la SA. PHILIPS
INDUSTRIELLE ET COMMERCIALE, 105, rue de Paris, B.P. 62,
93002 BOBIGNY CEDEX - (1) 830.11.11 - 210 290 Induphi
PHILIPS
L’avance technologique
M1/84
[CES
"
MOSTEX
-UME
L'association parfaite : le système d'exploitation UNIXTM et le bus
VME 32 bits. Le VME MATRIX 68K de Mostek constitue la solution
optimum pour les systèmes multi-utilisateurs polyvalents.
Il possède 640 Ko de mémoire centrale, un disque dur Winchester
de 36 Mo, un lecteur-enregistreur de disques souples d’1 Mo, 5
canaux d’E/S RS232 et une sortie parallèle imprimante. Il est
construit à base de cartes P VME hautement fiables et offre dans son
habillage standard des emplacements pour extensions.
Le puissant système d'exploitation UNIXTM avec les extensions de
Berkeley supporte les langages Pascal et C. Des logiciels d'assemblage
et d'édition de liens complémentaires font du MATRIX 68K un outil
de développement matériel et logiciel de haute performance.
Un logiciel de reconfiguration, le concept souple du bus VME etle
grand nombre de cartes compatibles VME, permettent aux OEM et
aux sociétés de service d’intégrer des systèmes UNIX dans des
applications sur mesure.
Mostek France, 35, rue de Montjean, Z.A.C. Sud-Sentiers 504, 94266 Fresnes
Cedex - Tél.: (1) 666.21.25 - Télex: 204049.
Distributeurs: COPEL (1) 956.10.18, FACEN (20) 98.92.15, PEP (1) 630.24.
56, SCAIB (1) 687.23.13, SORHODIS (7) 885.00.44.
UNIXTM Trade mark de Bell Laboratoires.
LA MOSTER
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 121 du service-lecteurs (p. 151)
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 29
&B birpéoub 621
QUESTIONS
D'AUJOURD'HUI ?
REPONSES
AU SICOB.
A 603
# PUBLICIS
SICOB 84
CNIT-PARIS LA DEFENSE
DU 22 AU 28 SEPTEMBRE
(SAUF DIMANCHE 23) DE 9H A18H
JOURNEES PROFESSIONNELLES: 19 20 21SEPT
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 122 du service-lecteurs (p. 151)
PAGE 30 — MINIS ET MICROS N° 216
G. Nebut Conseils (3) 451.12.50
GESPAC :
plus de 80 cartes
format Europe
BUS G 64.
Cartes
double-Europe
BUS G 128.
Unités centrales :
68000, 6809, 8088,
8085-Z 80...
PERIPHERIQUES
ET SYSTEMES
Z.A de Buc - 78530 Buc
. : (3) 956.00.11
Télex : 698 627 F
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 123 du service-lecteurs (p. 151)
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 31
SOMMES NOUS AUSSI
E
é- ë Am295kO
\
\ / CEA
| \ ( EN armvr0
| 02 2 AmI9O1 \
ZY armzssr
(a \
t
Am27543A \
{
à Ara7910 7
.- 990/91/
M su ie 4 First multi-spec | Am29540 ue se A
Most advance single chip modem. First bipolar ñ
CRT Controller. Am29116 Ethernet chip set.
à ne LSI FFT processor.
Fastest 16-bit
Am7901 microprocessor, A974a) _ DrÈt5
Am29818 First programmable Am21 S43A Am9150 Ame 12
First 1C CODEC/Filter. Fastest 32K First clearable ss L dE
with diagnostics. | bipolar PROM. static RAM. o12K FPROM.
PAL is a registered trademark of and is used under license from Monolithice Memories, Inc.,
© Advanced Micro Devices 1984
DISTRIBUTEURS FRANCE
A2M: 6, av. Charles-de-Gaulle - 78150 LE CHESNAY
Tél. : (3) 954 91 13 - Telex 698 376 F
ASAP : rue des Trois Peuples - Z.A. Montigny-les-Bretonneux
78190 St QUENTIN EN YVELINES - Tél. : (3) 043.82.33 - Telex 698 887 F
RTF: 9, rue d’Arcueil - 94250 GENTILLY
Tél. : (1) 664 11 01 - Telex 201 069 F
DISTRIBUTEUR BELGIQUE
N.V. ARCOBEL : Terlindenhofstraat 36, Bte 7 - P.O. Box 110
B.2060 Antwerpen-Nerksem - Tél. : (3) 646.70.48 - Telex 73026
BRILLANTS QUE VOUS?
Vous faites tout ce qu’il faut pour
conserver l’avance que vous avez sur
vos concurrents. Ne croyez-vous pas
que votre fournisseur de circuits intégrés
doit faire de même ?
C’est notre conviction.
C’est pourquoi, en 1983, nous avons
investi à un niveau record de 18,7 % du C.A.
en recherche et développement, plus que
n'importe quel autre de nos concurrents.
C’est aussi pourquoi 40 % du C.A.
est réalisé avec des produits que nous avons
inventés :
L’Am 8052, contrôleur de CRT qui
permet d’exploiter toutes les performances
d’un tube vidéo.
L’Am 7910, modem universel
programmable aux principales normes
téléphoniques mondiales.
Les Am 7990/7991 À, jeu cohérent de
circuits VLSI pour spécification Ethernet.
La famille Am 29500, premier
et seul ensemble complet de fonctions
pour applications de traitement numérique
du signal très hautes performances.
L’Am 27512, première EPROM 512 K.
Nous sommes aussi innovateurs
lorsqu'il s'agit de qualité
Car nos garanties sont claires et nettes.
The International Standard of
Quality guarantees à 0.1 % AQL on all
electrical parameters, AC and DC,
over the entire AG ÿ'::
" Soyez-en convaincus !
re Si vous voulez que votre produit soit
unit PEAR aussi brillant que le nôtre, appelez nous !
astest 16-bit ,
multiplier. Nous vous positionnerons aussi loin devant
7990/9L A
PT vos concurrents que nous le sommes des nôtres.
Ethernet chip set.
device.
Nous exposons
electronica 84°
11e Salon International pour Composants
et Sous-Ensembles de l'Electronique
Munich, 13-17 novembre 1984
HALL 19 - STAND 19 A24
Advanced Micro Devices
Silic 314, Immeuble Helsinki - 74, rue d’Arcueil - 94588 Rungis Cedex.
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 124 du service-lecteurs (p. 151)
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 33
BIBLIOGRAPHIE
Mathématiques
pour micro-informatique
par W. Barden (un volume de 110 pages au
format 14,8 x 21 cm). Prix : 65 FF.
Si vous n'y connaissez rien en système binaire,
cet ouvrage sera le bienvenu sur votre table de
travail. Les opérations de base, les conversions
Ascii, les nombres en virgule flottante sont
autant de sujets abordés d'une manière simple
et pragmatique.
Le fonctionnement
des microprocesseurs
par Ch. M. Gilmore (un volume de 135 pages
au format 14,8 x 21 cm). Prix : 70 FF.
Un peu d'électronique à l'usage des
informaticiens. « L'avant-programmation »,
comme l'appelle l'auteur, commence à
l'intérieur du système par la connaissance de
l'élément de base : le microprocesseur. Ne
cherchez pas de comparaisons d'instructions
ni de vitesses selon les puces utilisées, ici
l'architecture générale est l'unique thème
abordé et articulé en plusieurs phases : UC,
mémoires, E/S, jeu d'instructions et enfin le
B.A.BA de la programmation.
Le Basic
bien programmé
par A.P. Stephenson (un volume de 110 pages
au format 14,8 x 21 cm). Prix : 65 FF.
Un de plus ! Sur le marché, les ouvrages
traitant du Basic doivent dépasser la
quinzaine. Ce petit dernier n'a rien de plus que
ses concurrents. ni de moins. Instructions,
boucles et sous-programmes, données et
tableaux, mots-clef sont les principales parties
de ce livre qui s'adresse aux tout débutants.
Basic Microsoft
et Basic Ansi
par M. Maiman (un volume de 170 pages au
format 14,8 x 21 cm). Prix : 80 FF.
Les deux formes de Basic les plus utilisées
sont ici exposées clairement pour les
débutants. Après les généralités sur le Basic et
la programmation, l'auteur enseigne une
technique de programmation basée sur
l'exemple et son analyse. Le traitement
graphique est abordé avec la prudence
nécessaire et illustré d'exemples sur HP85 et
en Basic 80.
Editeur : ces quatre ouvrages sont édités
par Dunod qui inaugure une nouvelle
collection « Microdunod » et dont le pompeux
slogan est « la micro version pro » : tout un
pro..gramme !
Dunod, 17, rue Remy-Dumoncel, BP 50,
75661 Paris Cedex 14.
Programmer en Lisp
par H. Farrenry (un volume de 120 pages au
format 15,5 x 22 cm). Prix : 68 FF.
Editeur : Masson, 120, boulevard Saint-
Germain, 75280 Paris Cedex 06.
Initier au Lisp et à la programmation en
général est le but atteint par cet ouvrage. Les
PAGE 34 — MINIS ET MICROS N° 216
fonctions primitives les plus utiles sont
décrites avec, en fin de volume, quelques
exemples d'un intérêt ludique certain.
Lisp mode d’emploi
par Christian Queinnec (un volume de 322
pages au format 15 x 24 cm). Prix : 160 FF.
Editeur : Eyrolles, 61, boulevard Saint-
Germain, 75240 Paris Cedex 05.
Beaucoup plus complet que le précédent, ce
livre s'adresse à un public averti dans le
domaine informatique. Ici, toutes les fonctions
du langage sont décrites et on apprend à
concevoir des petits systèmes. Le second
volume à paraître promet d'être franchement
trapu !
Initiation
à la programmation
par Claude Delannoy (un volume de 177 pages
au format 15,5 x 22 cm). Prix : 90 FF.
Editeur : Eyrolles, 61, boulevard Saint-
Germain, 75240 Paris Cedex 05.
Claude Delannoy est déjà l'auteur d'une demi-
douzaine de parutions traitant du sujet
informatique. Cette dernière est destinée « aux
programmeurs en herbe ou confirmés ». Cette
cible paraît un peu floue car bien souvent « les
initiés » ont utilisé un langage dont ils
connaissent les instructions de base (qui
expliquent le déroulement du programme). De
la même manière, les néophytes sont dans la
plupart des cas intéressés par un langage pour
obtenir des résultats concrets et rapides. De
plus, pas un organigramme n'est représenté
dans ce livre (sauf en page de couverture !), ce
qui reste l'abc de la programmation. Quoiqu'il
en soit, les termes du langage informatique
sont clairement définis et illustrés d'exercices
résolus et d'exemples.
Introduction
à la programmation,
tome 2
par Gilles Clavel et Joëlle Biondi (un volume
de 270 pages au format 16 x 24 cm). Prix :
100 FF.
Editeur : Masson, 120, boulevard Saint-
Germain, 75280 Paris Cedex 06.
Ce second tome est intitulé « Structures de
données » et fait suite à « Algorithme et
langages ». Destiné à des étudiants de premier
cycle des universités, cet ouvrage se lit
comme un cours, sans exemples expliqués ni
«pianotage » sur clavier. Néanmoins, les deux
professeurs traitent des vecteurs, des chaînes
de caractères, des variables dynamiques, de la
récursivité et autres arbres d'une manière
précise et magistrale. Pour affamés aux dents
dures.
Le dBase II
sans embüûches
par G. Grigorieff (un volume de 176 pages au
format 15,5 x 24 cm). Prix : 115FF.
Editeur : Eyrolles, 61, boulevard Saint-
Germain, 75240 Paris Cedex 05.
Si vous possédez un dBase Il, vous devez
savoir que Asthon Tate (le concepteur de ce
logiciel) n'a pas lésiné sur la documentation,
décourageant ainsi de nombreux utilisateurs.
Parti de ce postulat, l'auteur apporte la
solution à tous ceux qui ont abandonné ou
n'ont rien compris ! On aborde les instructions
de base avec lesquelles l'utilisateur peut
utiliser son dBase II. Quelques programmes
d'application (simples) sont proposés pour
faire entrevoir au lecteur les possibilités de
son logiciel. Après lecture de cet ouvrage
pratique, libre à vous d'attaquer le « pavé »
livré avec la disquette, pour plus amples
informations.
Pratique de l’Oric-Atmos
par Henri Lilen et J. Bénard (un volume de
224 pages au format 21 x 29,5 cm). Prix :
100 FF.
Editeur : Editions Radio, 9, rue Jacob,
75006 Paris.
Résistance des matériaux
collection « l'Outil Informatique », par B.
Boumard et F. Lavaste (un volume de 96
pages au format 19,4 x 29 cm). Prix : 78 FF.
Editeur : Delagrave, 15, rue Soufflot, 75240
Paris Cedex 05.
A l'usage des ingénieurs et techniciens des
bureaux d'étude.
Quelques programmes
sur. .
Sharp PC 1500 et TRS 80 (PC2) Module 8K,
en deux volumes, « production de viande » et
« production laitière », par René Champy,
(volumes de 83 et 100 pages respectivement
au format 21 x 29,5 cm).
Editeur : Institut technique de l'Elevage
Bovin.
Le langage Pascal
ucsD
par Jean-Claude Grattery (un volume de 224
pages, au format 15,5 x 23 cm). Prix :
100 FF.
Editeur : Technique et Documentation,
diffusion Lavoisier, 11, rue Lavoisier, 75384
Paris Cedex 08.
Mathématiques par
l'informatique individuelle
tome 4 « graphisme » par Hervé Lehning et
Daniel Jakubowicz (un ouvrage de 112 pages
au format 16 x 24 cm). Prix : 70 FF (ttc).
Editeur : Masson, 120, bd Saint-Germain,
75280 Paris Cedex 06.
Virgule 64
disquette et manuel d'utilisation du traitement
de texte Virgule sur Commodore 64.
Disponible chez Micro Application, 147,
avenue Paul-Doumer, 92500 Rueil Malmaison
au prix de 750 FF.
‘YNG uou ue seeuuop ep
yojsueu e] est[tn ewe}s4s e] Is enb juerA
-JOJUT,U uonno9xe,p eseud ep [e1o1o] 87
“eneueied 89 J1018981 e jo1d }59 £/78
e] enb enbrpui 7879, p eustfel np J4dO 4
e[ 15 enb ejduoo ue srid Jse,u exjeueied
un 'eWguU 8 ‘elqi] J$8 10-890 enb enb
-IPUI ELTB NP 1219,P eusIer np AS4O
ef 1s enb ejduoso ue esuid Jse,u epueuwuoo
oeuf ‘ereuweJed sp e1s1bel 8] SUPP }199,
Inesseooid 2] ‘eJllPsse2au Se oJIPJUOU
-e[ddns uoreunopur sun IS ‘£/78 np enb
-gpe e1SIPeI 8] SUPP SpUuEUWOO 8p 12190
un 109 Jnessoooid e[ enbsio| eouewu
-WO9 epuewuuwo)o 8p eseyd 8p [81910] 27
‘ELT8 NP
1279,p eustPez np errerpeunsquI | Jed ques
-St[qe}9,s enbojerp 89 ‘esISA 8014 J9 £/Z8
®[ SiSA inesseoold np ‘uorjeoIunwumuoo
ep Sepuewwos xnep enbridut [ero1bol] 7
s[et216or sypedsn
‘(114q) eseud ep juewuessralesse p
enbuewunu ejonoq je uoresi[p1Ies ep
senbio] s}INoIto : SUOr98S XN9P us SSIAIP
seguuop sep uOrPSI[PIISS 9P 90[4 Un —
! AnejesI[{N,[ JPd SeIUtJSp SUOTJOUO} se]
je wepou ne sezdoid suorjouo} Se] JIUINO}
mb wepou np e[gijuoo ep 90[q un —
: S00[q Xnep eyodwoo e[j4
Wepour 82D}ISJUI,T
ep [eut uotue}; 8] jueae gmnofe je o1ouop eweuw-m] Jse mb
SOA NP 8[01U09 8p }ino119 e] Jed uondseoe1 e] juepued s29]s8}
JUS seureI} S8T ‘0197 b }Iq Un,p uorssaiddns ep no uorissur p
enbiuyos} e] Jed snus]qo J58 soeuuop sep eouoredsuels} PT
opae[e snjd silo} ZE souenbor ep euoryouise ebojioy eun e
e91908s eseyd Sp JUSWSSSIAISSSE, D e[9n0q eun 1ed seguuop
sep ayed e senusjqo juos ebojioy,p suorsindut seT ‘IZUN
6po9 8] JUPAINS S89IJIPOO9P Je Se9IJIPO ele jueanod seou
-UOP S8] ‘JSIUISP 99 SUB] ‘euosyouise epou us nb euoryouis
epou ue uelq jssne sin one ned I] ‘91 ‘8808 ‘9808 ‘08Z
‘6808 ‘0808 Xne ouysep J5e ‘O'TQH 1 D'TQS Se[000jo1d sep
seinpeooid se] }uBSI]HN UOTPOIUNUIOO 8p INS[QIJUO ‘E/Z8 ST
PS6I AUANALdAS - 9IZ QU « SOIOIU J8 SIUTUI » 8P 8}IP1JX8 YOII ©
“ew9JSÂs np seeuuop ep snq 8] Ans uorxeu
-u09 e] Inod uodwue; ersiber 90[q un —
: VNG HeJsueJ} sUES no 984 : SUOE]
xnep ep ‘uordeoei ue euwuwuoo uoIssiu
-SueJ} ue ‘'ouuelboid exe pned mb ssou
-UOp ep pejsues} ep enbibo] °0[q un
: (OTGH © OTGS 5810207014
S8] 08AP JIOA E US JUO,U S]1) Inesse901d
8[ 19 £ZC8 2I exque enporetp ne soso
je serqesseipe seuJequi seusiboi des
! Jeppnsal
e[ euinojel us je e}n99X,] ‘epUuEUION
eun yoôez [1,nb sep ‘nb eini98 p je ein}
-08[ 8p epuewwos sp enbrbo] °0[q un —
: S20]q
exjenb ep esoduoo es S9PJSJUI 229
messe2oid 2] 28AD 29D}IS}u1,7T
‘(89PHISJU] WepoNW) Wepou 8] 2848
1 (208HeJuU] NdD) Inesseoold 8] 2e4e
: S0PHSJUI,P Se[quesus XNep puslduos ]]
£438 np uorypsrunb1io
*« JIQ UN,P pJeyei »
epou 2] suep jueuweiboid 8j ue ‘MI
einpeosoid e] suep D'TQS 2[0n0q us jus
-guejuesut enpruoo es [| ‘eJlepuooes
no seJtewmd uoneys ewWwuoo se[qesi]l}f]
‘uorne}nJos 8p ut} je (e]pP]) sodey ‘(Hoqy)
eje[duoout eweI] ‘UOIUPX S819)0PIPO
se[ e1Jeuuooe je JoJousb pned €/78 27
‘UOISSIUSUPI}
ELT8
TAINI
Shq 91/8
ANONH3YHdI Id LINOHIO
LEI SO DIU SUDIJOUUQUU
‘S}Iq QI U® g UOISISAUOO 8p
eyiqissod : (spneq (008 ÿ ‘euoiyouis) uot}
-POIUNUWO99]9} Sp S/A,p uod un ‘uorndo
ue : D ZEC SH S/A,P sHod yny no exenb
: (GE SI8POW) sJ8790 A O€ OI NO (97 18 GZ
S8[8POW) 5}800 A] SI E G ep eplbu enbsip
: SJ9700 Y p9Z X [ SHenbsIp : (GE Je 9Z se]
-2POWI) s18700 Y ZIG P 9GZ no (7 e[epowu)
S18/00 Y ZIS P +9 2P WPY ‘ ZHY S808
Jnesseooidoiotu : G£ } 9Z ‘SZ Se[2POW
‘(spneq 008 F ‘euoryouis) uoreoru
-nuWWO9e][8} Inod S/A,p Hod un : 5 ZEZ SH
S/A,P Suod xs ‘ (9£ e[2pOW) 58100 M 0€ P
OI n© (9I e[epou) sJ8790 M 0Z epihu enb
-SIP ‘ $J2J00 M p9Z Se}enbsIp Xnep no eun
: S9700 Y pZO I P 967 8P WPY : (ZHN S)
8808 1n8S58901dOJ0IU : 9£ 9 JI SO[2POW
‘sytq
OI U® 8 UOISISAUOO 8P afiqissod : (spneq
008 ÿ ‘euoiyouis) uorjeorunwuwoo
-8[8} Inod (uorndo us) S/Fp yod un : 9
ZEC SU S/A,p suod zmy no exenb : sj8790
WoOI ePBU enbsip : sj8)00 M pg/XE
seyenbsip : 5J9)90 MY ZIS P ÿ9 ®P We
!: ZHY S808 Inesse00o1doiotu : ÇI S[2POM
se[epOW SJuU219}JIp SP
sonbust19}9D1D9
peuuorsseoid
me}putpio
-ODIN
TOI
HNILYNIQHO-ININ
INAISAS
P861 AHANALdAS - 9IZ QU “ SOIOIM J9 SIT » 8p 8}IPIXE 8YOI ©
{238 ““duui “sUR338)
D zEe su Suit
VOHBNUNUALOISS) 18
D 2EZ Sy sept
‘(T/Td ©
[P9Seq ‘[0q09 ‘uexyo y ‘olseg-q sudwoo À
‘oiseg) sequodsip juos sono4s sebebure]
xnelquou ep ‘suoreordde seidoid sine]
Jeddo[s18p qusyreuynos mb xneo Ino4
"SOJUSIS}
-JIp suoyeorrdde sep unoeuo jueyreuy sin}
-BSI[IN sinelsnid ss1ome 98 W/dO JU91
-INOU0)) 1ISIUISP }n0} 8] ‘SJIQ I Se[epou
se] Ans : sosodold juos 8m91eN j2 W/dIN
‘N/d)D Sewejsis se] ‘syiq g inessoooïd
-OJOIU R S8[8POU Se] InO4 ‘uoreorrdde p
S[e10IPOI xnelquou ep e s209P JIOAP,P
juepeuued ’snpueder sel} uoreylo[dxe p
sewesis sep ins emmddes euryoew eT
‘uorxeuucs e[duis eun
Jed sbeSerisqui,] jueyjeuued se[epouu sel
sno} 8p PIPPUPJS Se1HJOS/S89IUS p $999P
SST ‘TOI NO MAI SeWeJSÀS serne, p be arfel
e1j9 je sejuewrdun no suel9e xis p nbsn(
Je19 pned ‘'euwueb ep jneu 8] enysuoo
mb ‘sq 9 e[epou eT ‘03e ‘uorsep el
P SOJIIPSSO0QU SISTUOIF S8P NO sJuowolstÔ
-oIus sep 9}xeduoo ‘enmpoid e sjuewu
-n00p sp ed4} ‘sdue} eweu ue oweysÂs
8[ 4J9SI[N JuUeAIOp mb seuuosied ep
eIQUOU : 8[8}U81[0 E[ EP UIOSE{ UN ? JUEP
-uodse1109 aunoeuo ’sUOISISA xIS ue esod
-OId 359 TOI,P [euuolssejoid Inejeurpio T
518390 X p9£ XL
no
gro g# Si190 4 p94 XZ
518390 #
LATAS TA
QC Dow
9 pour.
sine M ZLS € GC : GE pou
SiD0 y ZIS € 967 DZ Pour
SHI0 M ZIS € 9: SZ Pour
Sin90 M 719 € +9 GI Pour
ajenusS snow
— la comptabilité Mercure : caractéristi-
Micro-ordinateur
8273 ques multidossiers et multivolumes.
paie EU AN 26 professionnel Outre les programmes classiques de sai-
De duree 01 DRM OU loisir sie, journaux, grand livre, balance, il
Acceptat: OMA en réceptioi : 1, se
Organisations Section leurs, cure + a permet le lettrage automatique, l'édition
Sélecti registres avec WA et FD 4 H :
externe DRE 0 _. pertes ie compte
Dettes ee re Dieiee de dis , . . exploitation personnalisé ;
et interne rer Sens Les écrans de visualisation sont soit du P P
— Ja facturation stock Mercure assure la
facturation directe ou différée, le journal
des ventes, les statistiques de vente,
l'inventaire en quantité et en valeur ;
Contrôie du 8273 an réception et en transmission par ie modem
Demsnde de transmission par le 8273
Port de sortie d'ussge universel
Port d'entrée d'usage universel
type monochrome (24 lignes de 80 carac-
tères plus une 25° ligne d'informations
d'état) ou du type couleur (huit couleurs
Sortie herloge de la boucle d'asservissement digitale de phase
Entrée utilisée pour fournir la reconstitution des impuisions d'horloge en ssynenrone
Alimentation + 5 Vi et masse
Le logiciel de phase de résultat est sans
doute le plus complexe. Pendant la phase
de résultat, le 8273 avertit le processeur
d'un résultat de commande. La phase de
résultat est initialisée par une opération
réussie ou par la détection d'une erreur.
Certaines commandes, telles que lecture
ou écriture des ports d'E/S, fournissent
immédiatement des résultats. D'autres
commandes, comme la transmission de
trames, prennent du temps pour être exé-
cutées complètement et leurs résultats ne
sont pas disponibles immédiatement.
C'est pourquoi ceux-ci sont fournis par
des registres séparés afin de distinguer
ces deux types de commande et éviter le
déclenchement d'une interruption pour
de simples résultats. Les résultats immé-
diats sont fournis par le registre d'état.
Toutes les commandes non immédiates
sont relatives au transmetteur et au récep-
teur. Les résultats de ces commandes sont
et d'écriture
© Fiche extraite de « minis et micros » n° 216 - SEPTEMBRE 1984
[——— Bus interne des données
—.
—— cND
Intertace modem
Imerface processeur
fournis respectivement par les registres
Tx [/R ou Rx [/R.
les commandes du 8273
Le 8273 emploie cinq commandes diffé-
rentes : initialisation/configuration,
réception, transmission, Reset, com-
mande de modem.
Les commandes d'initialisation/configu-
ration définissent les différents modes
d'exploitation ; les commandes de récep-
tion sont au nombre de trois (réception
générale de toutes les trames, réception
sélective de trames associées aux adres-
ses de trames spécifiées, invalidation de
réception) ; les commandes de transmis-
sion sont aussi au nombre de trois (trans-
mission de trame simple, transmission
transparente d'un bloc brut de données,
sans fanion, sans FCS, etc., transmission
incomplète) ; les commandes du modem
sont utilisées pour manipuler les ports À
et B.
d'avant-plan et de fond), avec clavier
profilé conforme aux normes Din, inclina-
ble et orientable (compatibilité mono-
chrome totale).
Les imprimantes connectables sont du
type matriciel (120 cps/80 positions
d'impression ; 120 cps/136 positions
d'impression ; 200 cps/136 positions
d'impression) ou du type courrier (60
cps/136 positions d'impression ; 25
cps/136 positions d'impression ; possibi-
lité de feuilles volantes ou d'alimentation
en continu bidirectionnelle).
Les connexions à des ordinateurs hôtes se
font en interactif ou par lots (ICL CO3,
BSC 2780, etc.).
logiciels
Systèmes d'exploitation : CP/M, MP/M,
Mercure, CCPM 86.
Langages : M-Basic, Cobol, Microbol,
Fortran, Pascal, PLI1.
0
Programmes d'application
associés à Mercure
Rappelons que Mercure est un système
d'exploitation pour micro-ordinateur qui
assure une gestion de fichiers directs,
séquentiels, indexés multiclés. Il com-
prend de nombreux utilitaires tels que tri
paramétrable, aide à la mise au point,
enchaînement des travaux, confidentia-
lité de fichiers. Il est multi-utilisateur,
multitâche. Parmi les programmes tour-
nant sous Mercure, citons :
© Fiche extraite de « minis et micros » n° 216 - SEPTEMBRE 1984
— la paie Mercure : programme multi-
entreprise. Les rubriques (1 à 999) sont
paramétrables, ainsi que le journal.
Système d'exploitation CCP/M 86
CCP/M peut mener de front plusieurs tra-
vaux distincts. Il présente les caractéristi-
ques suivantes : système d'exploitation
multi-utilisateur/multitâche ; environne-
ment de consoles virtuelles ; compatibi-
lité avec le système d'exploitation CP/M
86 ; enregistrement automatique des sup-
ports amovibles sur disque ; gestion des
fichiers avec horodatage et protection par
mot de passe ; manipulations diverses sur
les fenêtres (juxtaposition, superposition,
déplacement, déformation, etc.). CCP/M
86 assure le fonctionnement simultané de
plusieurs environnements de consoles
virtuelles indépendants, chacune étant
active sans interruption, soit pour deman-
der à l'utilisateur des ordres, soit pour
traiter une application. La console physi-
que peut refléter, par simple pression sur
une touche de fonction, toute console de
premier plan. Les consoles virtuelles en
arrière plan fonctionnent suivant deux
modes : dynamique et conservé. Dans le
premier cas, CCP/M 86, à chaque carac-
tère reçu, met à jour une mémoire tampon
et une image écran en Ram. En mode
conservé, le résultat est stocké dans un
fichier disque et, dans ce cas, l'utilisateur
peut voir tout ce qui a été généré depuis
sa dernière intervention.
CALENDRIER
17 au 21
septembre
18 au 21
septembre
19 au 28
septembre
25 au 28
septembre
2 au4
octobre
9 au 13
octobre
29 octobre
au 1°"
novembre
13 au 16
novembre
13 au 17
novembre
14 au 18
novembre
29 novem-
bre au 4
décembre
INFODIAL VIDEOTEX (Conférences et exposition sur les
bases de données et le vidéotex)
Paris - Palais des Congrès
Renseignements : Convention informatique, 6, place de Valois, 75001
Paris. Tél. (1) 261 46 21
JOURNEES DE L'INSA (Présentation de matériel scientifi-
que industriel de l'Insa)
Villeurbanne
Renseignements : Insa, bât. 705, 20, avenue A. Einstein, 69621 Villeur-
banne Cedex. Tél. (7) 893 24 45
SICOB (Salon international d'informatique, télématique,
communication, organisation de bureau et bureautique)
Paris - CNIT La Défense
Renseignements : Sicob, 6, place de Valois, 75001 Paris.
Tél. (1) 261 52 42
CAMP 84 (Congrès et exposition consacrés à la CAO et aux
applications de l'informatique graphique dans le manage-
ment et la productivité)
Berlin
Renseignements : Chambre officielle franco-allemande de commerce et
d'industrie, 18, rue Balard, 75015 Paris. Tél. (1) 575 62 56
EXPOSITION DE MATERIELS DE TEST AUTOMATIQUE
(Exposition et conférences sur les matériels et systèmes de
test automatique)
Paris - Palais des Congrès
Renseignements : Network Events Ltd, Printers Mews, Market Hill, Buc-
kingham, MK18 1JX, England. Tél. (0280) 815 226
EXPOSITION INTERNATIONALE DE L'ELECTRONIQUE
ET DE L'AUTOMATISATION
Oslo
Renseignements : Conseil norvégien de l'exportation, 88, avenue Charles-
De-Gaulle, 92200 Neuilly. Tél. (1) 745 14 90
COMDEX EUROPE (Salon de l'OEM informatique)
Amsterdam
Renseignements : The Interface Group, Rivierstaete, Amsteldijk 166, P.O.
Box 7000, 1007 MA, Amsterdam, The Netherlands. Tél. 31-20-460 201
COMPEC (Salon des petits ordinateurs et des périphé-
riques)
Londres
Renseignements : Reed Exhibitions, Surrey House, 1 Throwley Way, Sut-
ton, Surrey SM1 400. Tél. (01) 643 80 40
ELECTRONICA (Salon international des composants et
sous-ensembles de l'électronique)
Munich
Renseignements : Münchener Messe -und Ausstellungsgesellschaft mbH,
Messegelände, Postfach 121009, D-8000 München 12. Tél. (089) 51 070
COMDEX FALL (Salon de l'OEM informatique)
Las Vegas
Renseignements : The Interface Group, 300 First Avenue, Needham, MA
02194, USA. Tél. 617/449 66 00
BIAS (Foire internationale de l'automation, de l'outillage et
de la micro-électronique)
Milan
Renseignements : EIOM, Segreteria della Mostra, Viale Premuda,
2 - 20129 Milano (Italy). Tél. 796 096
E MANIFESTATIONS 1
[] XX° présentation de matériel
scientifique industriel de l’Insa du 18
au 21 septembre à Villeurbanne. Matériel
présenté : mesure et contrôle ;
instrumentation des laboratoires d'études et
de recherche ; pollution ; automatismes,
logique, régulation, servo-mécanismes,
commande de puissance ; robotique, CFAO,
commande numérique des machines outils ;
informatique industrielle et scientifique ;
matériel d'essais et d’äuscultation génie civil ;
matériel pédagogique. Renseignements :
Cast, Insa, bâti. 705, 20, avenue Albert-
Einstein, 69621 Villeurbanne Cedex. Tél. : (7)
893 24 45.
Unix Systems ’84 du 19 au 21
septembre à Cambridge. Exposition et
conférences couvrant tous les aspects des
systèmes Unix, du logiciel au matériel.
Renseignements : Network Events Ltd.
Printers Mews, Market Hill, Buckingham,
MK 18 1JX, England. Tél. : (0280) 815 226.
[1 Sicob du 19 au 28 septembre au Cnit à
Paris - La Défense. Exposition dans les
secteurs suivants : informatique, télématique,
communication, organisation de bureau et
bureautique. Congrès et conférences dans le
cadre du Sicob : Convention
Informatique (17 au 21 septembre, au
Palais des Congrès), congrès européen du
logiciel sous le thème général « l'informatique,
une aventure où une croisière » (marchés et
tendances, évolutions des techniques,
applications, micro-informatique, aspects
économiques et sociaux) ; Infodial -
Videotex (mêmes date et lieu), congrès -
exposition sur les banques de données et le
videotex. Renseignements : Sicob, 6,
place de Valois, 75001 Paris. Tél. : (1)
261 4621.
A noter que l'Association Française Micado
organise une visite guidée des principaux
fournisseurs CFAO situés dans l'enceinte du
Cnit. Les stands visités présenteront des
applications CFAO dans les domaines de la
mécanique, l'électronique, l'architecture et les
travaux publics. Renseignements : Service
Promotion de Micado, tél. : (76) 90 31 90.
[] Carrefour des applications
microélectroniques les 13 et 14
septembre à Grenoble. Une exposition se
tiendra en parallèle du congrès dont la
première journée sera celle des professionnels
et la seconde celle des utilisateurs.
Renseignements : Bernard Sempé, XCom,
Zirst, BP 116, 38243 Meylan Cedex. Tél. : (76)
41 00 20.
11 au 14 septembre - Montpellier
Infosud
(Tél. : (7) 889 21 33)
19 au 28 septembre - Paris
Sicob
(Tél. : (1) 261 46 21)
25 au 28 septembre - Berlin
Camp 84
(Tél. : (1) 575 62 56)
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 37
L'ÉCRIN
ÉCRAN
Transrack, le spécialiste de l'habillage pour l'électronique, a étudié et mis au
point cette nouvelle console à large champ d’adaptabilité.
Double orientation de l'écran : verticale et horizontale avec blocage.
Accessibilité totale à la partie technique par simple déclippage du capot
arrière.
Socle modulable en hauteur permettant d'augmenter le volume intérieur et
par conséquent l’adjonction de cartes et de composants supplémentaires.
Possibilité de montage de tubes (couleur et N et B) de différentes dimensions
(12° - 14-15”) dans le même habillage.
Maintien mécanique du tube sur l'habillage assuré par un berceau d’une
grande rigidité.
Ventilation par convection naturelle ou forcée.
Facilité de montage de cartes logiques ou analogiques sans aucun accessoire.
Blindage du tube possible par peinture au zinc.
Matière NORYL® autoextinguible selon UL 94 VO.
Des pattes d'accrochage permettent un ajustement précis de l'écran sur la
bonnette et le montage de tubes cathodiques d’entraxes différents.
Poignée de transport intégrée dans la ceinture.
Personnalisation du produit possible.
Artémis
une console à la mesure de vos performances.
SERVICE COMMERCIAL 14 ROUTE DU MOULIN-BATEAU - BP 74 - 94381 BONNEUIL CEDEX - TÉL. (1) 377.11.81 - TÉLEX 220.493 TRANSRÈ
(LSL ‘d) sineyoej-eoiues np GZzL e9ue19ei : snssep-19 ejuosaid jinpoid 2j no #2j9190s e| 1ns suolsisaid sejno} 1n04
LHVI14Nd
OÙ EN QUALITÉ COURRIER
PINWRITER...
CHOISISSEZ VOTRE MEILLEURE OPTION
D'ALIMENTATION DE PAPIER
VOUS POUVEZ LUI EN DEMANDER TROP!
NEC, la société qui a créé la célèbre
SPINWRITER, vous propose mainte-
nant, la même qualité et la même
fiabilité, avec les deux imprimantes
matricielles, à tête 18 aiguilles, les
plus polyvalentes du monde.
Que vous choisissiez la P2 à chariot
80 colonnes ou la P3 à chariot 136
colonnes, les nouvelles PINWRITER
vous offrent au plus juste prix, une
gamme de possibilités qu'on ne re-
trouve dans aucune autre imprimante
de ce type.
TROIS MODES D’IMPRESSION :
un mode vitesse élevée (180 caractè-
res par seconde), un mode écriture
haute densité (90 cps) et un mode
qualité pseudo-courrier (30 cps).
NEC pinwriter P3
Pinwriter P3
QUATRE ESPACEMENTS DE CA-
RACTERES aisément sélectables
par l'opérateur ou par programme :
espacement 10, 12, 17 caractères au
pouce et espacement proportionnel.
HUIT JEUX DE CARACTERES, le
téléchargement de caractères spé-
ciaux, l'écriture en caractères allon-
gés sont disponibles en standard.
UN SUPER GRAPHIQUE où chacune
des 18 aiguilles de la tête d'impres-
sion est adressable directement.
TROIS MODULES D’INTERFACES
ENFICHABLES avec mémoire tampon
de 3.5 k incorporée, permettent de
configurer plus aisément que jamais
votre PINWRITER à votre ordinateur
personnel (interfaces IBM PC, CEN-
TRONICS, RS 282 C).
TROIS OPTIONS D'ALIMENTA-
TION DE PAPIER s'ajoutent à l'en-
traînement par friction standard : un
guide-feuille pour introduction semi-
automatique, un tracteur pour papier
accordéon et une alimentation auto-
matique feuille à feuille pour papier
en ramette. Ils permettent d'adapter
la PINWRITER à tous vos usages.
LA QUALITÉ INÉGALÉE NEC
(MTBF de 4000 heures.)
NEC
NEC
2 NEC
NEC! pinwriter P2
NEC
NEC Corporation
Tokyo, Japan
Pinwriter P2
NEC CORPORATION, Bureau de Liaison, 182, avenue Charles-de-Gaulle, 92200 NEUILLY-SUR-SEINE - Tél. 747.51.09.
MSC, Distributeur pour la FRANCE, 12, place de Seine, 92400 COURBEVOIE - Tél. 774.57.80,.
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 126 du service-lecteurs (p. 151)
Phénomène propre
à Grenoble : l’essaimage
de La Télémécanique,
via Sems,
sur la Zirst de Meylan
La région grenobloise est souvent qualifiée de « Silicon Valley », ee
qui est un tantinet exagéré. Mais il est vrai que la présence de La
Télémécanique, puis de la Sems, a favorisé l’éclosion, dans la Zirst
(*) de Meylan, de plusieurs sociétés qui ont en commun un réel
dynamisme, une grande compétence dans les technologies avancées,
une clientèle et un savoir-faire acquis au sein d'une même entreprise
dont ils sont les transfuges.
fois dans le domaine de recherche et
développement. Une expression est
couramment pratiquée par les « Zirs-
tiens » : « Nous avons le savoir-faire
technique et scientifique, nous le
mettons à votre disposition ».
Dans les activités choisies par la
plupart (voir tableau des activités et
des responsabilités), on retrouve la
double notion de service et de com-
pétences techniques avancées, qui
donnent l'impression «d'’avant-
gardistes fouineurs » proposant leur
savoir scientifique à une clientèle
industrielle et administrative, parmi
laquelle on trouve les grands comp-
tes français, les pouvoirs publics, ou
la clientèle utilisatrice d’un produit
Sems.
Si l'essaimage est un processus Tableau des activités et des responsables
banal aux Etats-Unis, en particulier
dans la Vallée du Silicium, il n’en est
pas de même en France. Sans qu'on
puisse trouver une réelle similitude
avec les pratiques de la côte Ouest
américaine, on verra que la plupart
des entrepreneurs de la Zirst ont
bénéficié d'une synergie provoquée
par ceux que nous avons baptisés
«les enfants de la Sems » ou «les
anciens de La Télémécanique ».
Le bouillon de culture
La création de seize PME par les
cadres transfuges d'une seule et
même entreprise est certainement
un phénomène unique en France.
Les explications de ce processus sont
certes d'origine socio-économique,
mais la raison essentielle est le déve-
loppement considérable des secteurs
électronique et informatique, parti-
culièrement favorable à l'essaimage.
L'innovation, la croissance du mar-
ché, le développement de la micro-
électronique, l'introduction de
l'informatique de plus en plus pous-
sée dans tous les secteurs liés au
développement de la productique et
des automatismes, constituent une
plateforme sur laquelle chacun peut
trouver une opportunité, souvent
dans la prestation de services, par-
(*)Zirst: «Zone pour l'Innovation et les
Réalisations Scientifiques et Techniques », parc
industriel réservé à des activités de haute
technologie situé dans la banlieue verte de
Grenoble à Meylan.
Entreprises
1 — Option 1976
Activités
Recherche électronique, automatisme,
conversion d'énergie
Responsables
PDG : Bernard Sempé
2 — Cerci 1977
Cybernétique industrielle, ingénierie
informatique
Responsable du centre :
Michel Preudon
3 — Périphérique
Assistance 1977
Formation, conseil, systèmes, automatisme
informatique
PDG : Roger Pariel
4 — MC2 1977
Transfert de technologie USA — France,
disque optique numérique. Archivage
électronique
PDG : Charles Malka
— Télématique
1978
Micro-électronique : télécommunication,
automatisme, domaine médical
PDG : Bernard Guinier 33 %,
Palus 33 ,
Aldo Moreau 33 %
— Télémécanique
département
recherche 1979
Recherche en micro-électronique
et méthodes informatisées appliquées
à l'automatisme
Directeur d'établissement :
Christian Thurel
— ADSIS 980
Ingénierie informatique industrielle
automatisme. Réseau Factor
Un PDG : Claude Otrage
8 — Technicon
(USA)
Logiciels d'application médicale (Syslab).
recherche et développemement de logiciels
Responsable du centre :
François Falco
IF
Formation/programmation
Responsables de la Scop :
Christine Moreau
Paul Esmery
X-Com 981
Communication graphique et vocale
PDG : Bernard Sempé
Influx 982
Robotique. Traitement de signaux.
Traitement de parole
Qualité-Conseil
982
PDG : Jean-Pierre Desmoulin
Conseil pour la maîtrise des produits et des
services, assistance organisation et formation
PDG : Jean Meheux
13 — Meddis 983
Activité de service : vente de matériel et de
logiciels micro-informatique
4 — CJB
Informatique
1983
Applications d'automatismes industriels.
16 — Omnis
5 — Cybersis 1983
1984
Etudes, conseils dans le domaine de
l'automatisme, instrumentation scientifique
et productique
PDG : René Robert
Gérant (SARL) :
Louis Bardoulat
PDG : Gilbert Anfossi
Automatismes industriels
PDG : Guy Rossati
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 41
Si ces « risque-tout » de l'informa-
tique et de l'électronique ne partent
pas avec un projet Sems dont ils
avaient la responsabilité, ils en
conservent toujours la clientèle, car
ils ont la maîtrise technique du pro-
duit et sont capables d'en assurer la
maintenance.
Des prestations de service
aux produits d'avant garde
Le choix des activités orientées
vers les techniques d'avant-garde est
lié au marché obtenu au sein de la
Sems. Ainsi, ce choix s’est porté sur
la formation très spécifique (les péri-
phériques et les automatismes) pour
Périphérique Assistance, la program-
mation pour If, ou sur le développe-
ment d'applications industrielles et
le conseil faisant appel à l'ingénierie
informatique, le développement de
logiciels, la commande d'automatis-
mes, la productique, la robotique et
la cybernétique chez les autres.
Peu d'entreprises se lancent dans
l'invention de produits nouveaux,
sinon pour industrialiser et commer-
cialiser une idée issue de la recher-
che. Les transferts de technologie
sont un atout considérable de la
région grenobloise grâce à la pré-
sence de l'INPG, du Cnet et du Leti.
Si, sur la Zirst, bon nombre d’entre
prises sont innovatrices, ce n'est pas
le cas de la plupart des sociétés
citées ici, lesquelles préfèrent com-
mercialiser ou maintenir un produit
né ailleurs. On peut citer en exemple
Cassiopée, système pour le traçage
de VLSI, acheté par Apsis au Cnet et
celui de Syslab, logiciel médical qui
a vu le jour à La Télémécanique
département Informatique (avant la
naissance de la Sems). Développé à
la Sems, ce logiciel a été vendu à
Technicon International (entreprise
américaine, leader mondial des
appareils et réactifs d'analyses médi-
cales).
Un transfuge de Technicon, René
Robert, a fondé Meddis, pour se met-
tre, au départ, au service de la clien-
tèle de Syslab. Ses activités se sont
élargies par la suite vers la vente de
matériels et de logiciels micro-
informatiques. C'est déjà la
deuxième génération des « enfants
de la Sems ».
Parmi les cas particuliers d'entre-
prises créatrices de produits nou-
PAGE 42 — MINIS ET MICROS N° 216
60 70 80 90 100
Option (40)
(4)
1980
- r r —— ——
Cerci (90)
Effectif 1984
CJB Informatique (3)
Cybersis (5)
Date de
création des
entreprises
Quelques remarques
- un effectif global de 450 personnes
- sur 16 entreprises, 6 ont un effectif de moins de 10 personnes
des entreprises de 30 à 50 personnes en moyenne mis à part pour X Com/Option et pour Cerci
_—
Fig. 1 - Les effectifs des « enfants de la Sems ».
veaux, on peut citer Option/X-Com
et l'établissement de recherche de La
Télémecanique dont l'activité est
axée sur l'innovation en micro-
électronique. Ainsi, apparaissent sur
le marché français des produits nova-
teurs tels que Graph 8 (image synthé-
tique faisant appel à la télé-écriture),
ou Séraphine (système de reconnais-
sance de la parole) ou encore Démos-
thène. La plupart de ces produits
sont subventionnés par l'Anvar, le
Cnet, la Daïii ou la DGT.
Apsis, qui a pris pour thème l'ingé-
nierie informatique, a développé une
ligne de produits avec l'appui des
pouvoirs publics (Agence de l'infor-
matique). Ainsi est né Factor, réseau
industriel hétérogène français.
Les sociétés innovatrices évitent
une production industrielle de
masse. Elles ont la compétence tech-
nique et industrielle pour concevoir,
mais font généralement appel à la
sous-traitance. On relève, dans la
quasi-totalité de ces PME, une voca-
tion de bureau d'études et de presta-
tions de services et une volonté de ne
pas dépasser des seuils qui remet-
traient en cause l'organisation du tra-
vail et la stratégie de l'entreprise.
Aucune des entreprises analysées
ne dépasse les cent personnes
(fig. 1). L'effetif moyen se situe dans
une fourchette de trente à cinquante
personnes. Beaucoup parmi les der-
nières nées sont petites et leur effec-
tif croît lentement. Malgré l'expan-
sion de ce secteur, la crise com-
mence à se ressentir au niveau de la
création d'emplois. Il est remarqua-
ble de constater que les « enfants de
la Sems » ont permis la création de
450 emplois, soit environ 30 % des
emplois de la Zirst (en excluant le
Cnet et Merlin Gerin qui représentent
à eux deux la moitié des emplois de
la Zirst : 1 400 personnes).
Naissance de la Sems :
premier essaimage
Une constante sociologique : tous
les responsables de ces entreprises
ont travaillé à La Télémécanique
avant d'être intégrés au personnel de
la Sems (fig. 2). Existe- t-il un « esprit
Télémécanique » particulièrement
favorable à l'essaimage ? On ne peut
le nier. Certains travaillant à La Télé-
mécanique n'ont pas accepté, en
1976, la restructuration de l’informa-
tique française, regroupant le dépar-
tement mini-informatique de La
Télémécanique et le DPOAS (Dépar-
tement de petits ordinateurs d’appli-
cations et de systèmes) de Cll-
Honeywell Bull, pour fonder la Sems
(fig. 3).
Le cas de Bernard Sempé est
représentatif de la première vague
d'entreprises créées depuis la nais-
sance de la Sems jusqu'en 1979. Issu
du Laboratoire d'automatisme du
professeur Perret de l'INPG, pépiniè-
res d'idées et d'hommes à responsa-
bilités industrielles, Bernard Sempé
s'est impliqué dans la société Mors
où est né le premier ordinateur fran-
çais entièrement transistorisé, le Mat
01. Peu après l'intégration de cette
société à La Télémécanique en 1968,
est né le T 2000, premier mini-
ordinateur de conception française,
relativement compact, utilisant les
premiers circuits intégrés compor-
tant des mots de 20 bits et nanti d'un
logiciel d'aide à la programmation
important (fig. 3). Lorsque cette
société a été absorbée par La Télé-
mécanique, elle avait à sont actif
cinq à six cents personnes. Il s'est
écoulé huit ans avant que n'inter-
vienne la restructuration de l'infor-
matique française sous l'égide de
Thomson.
À ce moment, Bernard Sempé
avait fait son choix : « Les objectifs
du groupe, axés sur la production
des mini-ordinateurs Solar et Mitra
ne correspondaient pas à mes sou-
haïits de développement. La micro-
électronique et micro-informatique
allaient conaître un essor sans précé-
dent. C'était le démarrage d'Apple.
En choisissant la voie de l'innova-
tion, je décidais de m'engager dans
les perspectives nouvelles qu'offrait
la micro-électronique et de rester à la
pointe du progrès en créant Option
avec Michel Deguerry ». Depuis, il a
fondé X-Com, en 1981, et après
maintes restructurations entre
Option et le département de recher-
che de La Télémécanique, il est
aujourd'hui à la tête des deux socié-
tés, Option et X-Com, totalisant une
centaine de personnes (voir « minis
et micros » n° 212).
Trois autres sociétés apparaissent
un an après la naissance de la Sems.
La volonté d'indépendance et le refus
de travailler au sein d'un groupe
industriel dont on ne maîtrise pas les
orientations, ont sûrement fait partie
Fig. 2 - L'essaimage de la Sems sur La Zirst depuis huit ans.
1976
1 T
Option
1976
1978
Option
filiale 100 %
Télémécanique
1979
1980
7
Département 1977
informatique
Télémécanique E 2 Con
(établissement)
1977
3
Périphérique
Assitance
(Thomson)
|
1977
;
1980
8 F
Technici &
{établissement}
Département
mini
informatique
CII-HB
Création d'entrepris
Restructuration
Création d'établissel
1980
9
C]
Télématique
1978
es indépendantes (SA où SARL)
ments de grands groupes
OI
(es)
«La deuxième génération»
1984
Entreprises situées à l'extérieur de la Zirst
Les responsables sont des anciens de Télématique
|
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 43
D ACTUALITE
des motivations principales de leurs
créateurs. Ils fondent leur croissance
sur leurs compétences de haute tech-
nologie : cybernétique industrielle
pour Cerci (établissement de 90 per-
sonnes), transfert de technologie
entre la France et les Etats-Unis pour
MC2 (Solar et autres vers les Etats-
Unis, disque optique numérique ou
archivage électronique vers la
France). MC2, qui est une des seules
sociétés avec If à ne pas être située
sur la Zirst, n'emploie que douze per-
sonnes après sept ans d'existence.
Selon son PDG, Charles Malka, « ce
n'est pas l'effectif qui est significatif
de la croissance d'une entreprise,
mais son chiffre d'affaires. ». Uni-
que sur le marché, son entreprise se
révèle tout à fait rentable.
Selon Roger Parriel qui a fondé
Périphérique Assistance : « La Télé-
mécanique est une société propre à
générer des vocations industrielles.
Son dynamisme s'est transporté sur
des personnes qui ont su prendre
leurs responsabilités et qui, pour
beaucoup, utilisent aujourd'hui des
méthodes et des concepts appris à La
Télémécanique. De plus, la Zirst, lieu
d'accueil pour les créateurs d'entre-
prises, offre un choix de locaux,
petits et grands et la possibilité de
construire ses propres bâtiments.
Bien qu'un peu chère, elle est pro-
pice à l'épanouissement de ces socié-
tés qui y trouvent un environnement
intellectuel, une émulation technolo-
gique et parfois une concurrence qui
les rend dynamiques et performan-
tes. Toutes ces sociétés ont une
notion aiguë du service ansi que de
la recherche et du développement.
Du fait de leurs compétences, elles
peuvent accéder aux marchés de
haute technologie les plus divers ».
Roger Parriel a travaillé durant
quatre années à La Télémécanique
département informatique, et une
année à la Sems sous direction
Thomson. Chargé d'évaluer de nou-
veaux périphériques adaptés aux
ordinateurs de la Sems, il constate
qu'aucune formation n'existe sur les
périphériques. Il décide de créer sa
propre société afin de permettre à
des techniciens et à des ingénieurs
de se former à leur utilisation et à
leur maintenance.
Ces entreprises de la « première
vague » ont essaimé à leur tour, et
des entreprises de deuxième, voire
de troisième génération, ont déjà vu
le jour. C'est le cas d'Omnis pour
Périphérique Assistance. Autre
exemple, Option qui donne nais-
sance à trois sociétés : le départe-
ment de recherche de la Télémécani-
que en 1979, X-Com en 1981 et
Influx en 1982.
Fig. 3 - La naissance de la Sems.
Le «non» àla centralisation
ou la deuxième vague
Les choix de Thomson-Sems de
centraliser certains services à Paris
et de ne plus faire d'applications
industrielles, donne lieu à une
deuxième vague, qui se situe entre
1979 et 1982, avant le transfert de la
Sems, filiale de Thomson, à la Com-
pagnie des Machines Bull (CMB).
Pour la Sems, c'est une période
d'hésitations, la direction de Thom-
son et les pouvoirs publics s’interro-
geant sur les grands choix stratégi-
ques de l'entreprise. On se souvient
des tergiversations autour du mini-
français 32 bits et des accords avec
Sel. La décision est finalement prise
de spécialiser Grenoble dans des
activités essentiellement de recher-
che et de production, et de confier le
marketing à Paris, en regroupant cer-
tains services tels que la formation et
la qualité/fiabilité des produits Sems.
Plusieurs cadres, refusant la cen-
tralisation, ont créé, en accord avec
la Sems, leur propre société pour
continuer leur activité sur Grenoble
où se situait le marché. C'est ainsi
que Christine Moreau et Paul Esme-
ray, par le biais d'une Scop (*) bapti-
sée If, continuent les contrats de for-
(*) Une Scop est une sorte de coopérative à
capitaux partagés par tous les employés.
Laboratoire
d'automatisme
du Professeur
Perret
(institut
National
Polytechnique
de Grenoble)
1964
Premier ordinateur
français entièrement
transistorise
CII-HB
DPOAS
(département
petits ordinateurs
applications et
systèmes)
Toulouse
Louvecienne
Restructuration de l'informatique
française (1976)
1962
Télémécanique
département
informatique
Département
M.O.RS.
1969 1971
Unité à Unité à
Crolles Echirolles
1969
Premier ordinateur
français à
circuit intégré
SEMS
{Société Européenne
de mini-informatique
et de système)
sous égide Thomson
Crolles Echirolles
Nouvelle
restructuration
(1982)
SEMS
Compagnie
Machines Bull
Origine US
PAGE 44 — MINIS ET MICROS N° 216
mation qu'ils avaient engagés à la
Sems. De même, Jean Méheux con-
serve son activité de Qualité-Conseil
(activité et raison sociale de son
entreprise) sur des produits Sems
avec la même clientèle dans une
société dont il est le PDG.
La création de Technicon et
d'Apsis relève des mêmes causes :
les choix stratégiques de Thomson
se révélant peu adéquats avec les
aspirations du potentiel humain exis-
tant en son sein. Certains parleront
d'une façon un peu acide « des tech-
nocrates de la restructuration qui,
dans un groupe pyramidal, ne tien-
nent pas compte du capital humain,
les gens pouvant être interchangea-
bles, sans que la pyramide s'écroule.
A La Télémécanique, par contre,
l'organisation n'est pas hiérarchique:
ment pyramidale, et de nombreuses
sphères d'influences permettent à
des équipes indépendantes de
s'exprimer ».
Pour Jean François Feldman,
directeur général d'Apsis : « L'une
des raisons essentielles qui a contri-
bué au départ de beaucoup est le
choix de la Sems, en 1979, de ne
plus faire d'applications industriel-
les. La plupart des responsables de
filières ont décidé de continuer leurs
activités à l'extérieur, quelquefois en
emportant le produit et quasiment
toujours en emportant la clientèle ».
On compte chez Apsis cinq transfu-
ges au moins de la Sems, qui ont des
fonctions de responsabilités. Le PDG
est Claude Otrage.
Le cas de Technicon International
est une peu différent. La société amé-
ricaine faisant une recherche mon-
diale pour l'achat d'un logiciel médi-
cal, porte son choix sur Syslab qui
tourne sur Solar. François Falco,
devenu responsable de l'établisse-
ment de Grenoble, était chef du pro-
duit à la Sems. Il a pu négocier sans
problème l'achat du matériel (Solar)
et de la licence du logiciel pour Tech-
nicon. Une partie de l’équipe, atta-
chée ce produit, s'est vu confier des
responsabilités au moment de la
création de l'établissement sur la
Zirst en 1980.
Nouveau cap pour la Sems
sous l’egide de la CII
Lorsqu'en septembre 1982 la
Sems passe sous la direction de la
CII, elle emploie près de 1700 per-
sonnes : /00 à Echirolles dont les
principales activités sont les études
et la production, tandis qu'à Crolles
(200 personnes) il s’agit plutôt de
fabrication et de tests. Par ailleurs,
500 personnes travaillent dans la
région de Louveciennes, dans des
services commerciaux et de gestion,
et 300 personnes sont dipersées
dans les services commerciaux et
après-vente. Malgré sa taille impor-
tante, la Sems manque de dyna-
misme et de perspectives de crois-
sance, ce qui constitue une source de
blocage dans l’évolution des carriè-
res des Grenoblois qui, de surcroît,
ne désirent pas quitter leur région
pour Paris. Pour un cadre de haut
niveau, l'alternative est claire : quit-
ter Grenoble ou créer sa propre
entreprise.
Depuis huit ans, elle fabriquait la
même gamme de produits (Solar et
Mitra) reflétant une certaine stagna-
tion de l'activité économique. Ces
deux mini-ordinateurs, à peu près
équivalents, ont eu du mal à se pla-
cer sur leur marché. Ils ont de plus
été concurrencés par le Mini 6 de la
CII spécialisée, au moment de la re-
structuration, dans les gros ordina-
teurs, alors que la Sems conservait
les mini-ordinateurs.
Aujourd'hui, la Cl offre de nouvel-
les perspectives de production, et un
regain d'intérêt avec la réalisation de
la SM 90 et du Ridge 32 à Grenoble.
Ce souffle nouveau, et cette nouvelle
orientation politique, vont-ils freiner
ou favoriser l'essaimage ? Déjà (en
1983), on voit poindre deux nouvel-
les sociétés (Cybersis et CJB
Informatique).
Cet essaimage est-il le résultat des
valses hésitations et des restructura-
tions qui font que personne ne trouve
sa place au sein du groupe ? Ou, au
contraire, faut-il y voir la consé-
quence d'une volonté d'entreprendre
exceptionnelle, façonnée au sein de
La Télémécanique ?
Le phénomène fait boule de neige,
la réussite des uns motivant le départ
des autres. La Sems a été très per-
missive en la matière, la direction
n'ayant pas découragé les initiatives.
Il reste néanmoins qu'un capital
humain à hautes compétences tech-
niques s'envole régulièrement, ce
qui risque à terme de poser le pro-
blème de la survie de la Sems... mais
qui garantit le dynamisme d'une
région. Rosalie Hurtado
Féocierés D
[] Analog Devices investira 500 000
dollars dans la société bordelaise 12S
(Imagerie Industrie Système) qui conçoit et
réalise des caméras numériques et des
périphériques de vision « intelligents » pour la
mesure et le contrôle industriel décentralisé.
L'un des aspects de l'accord conclu entre
Analog Devices et 12S est l'échange de
technologies dans le domaine de la VAO.
D'autre part, 128 devient distributeur exclusif en
Europe des produits VAO de Analog Devices,
sous sa propre marque ; réciproquement,
Analog Devices sera le distributeur exclusif des
produits 12S, sous sa propre marque, aux USA
et au Canada.
[] Nouvelles coordonnées de Megatek :
50, avenue des Boveresses, CH-1010 Lausanne,
tél. : (021) 33 50 16.
[] Ordina entre dans le groupe SG2 : la
SSII, SG2 prend la majorité du capital d'Ordina
dont les principales activités sont les études
informatiques, l'assistance d'exploitation, la
gérance de centres informatiques, le
recrutement et la micromation.
ROM INATIONS De
[] Les organisateurs des ICC (Invitational
Computer Conferences, conférences régionales
d'une journée réservées aux constructeurs OEM)
ont engagé une Française, Béatrice Labbé,
pour remplir les fonctions de directeur pour les
conférences tenues en Europe.
[] Donald P.Beadle est promu au poste de
vice-président et directeur général des
opérations semiconducteurs pour l'Europe, chez
National Semiconductor.
[1 Le conseil d'administration de Thomson-
CSF Téléphone a nommé Jean-Pierre
Magnen président directeur général en
remplacement de M. Jacques Darmon. J.-P.
Magnen demeure en outre directeur de la
division commutation publique.
[1 François Benvéniste rejoint Apple
Seedrin en tant que directeur du marketing,
reportant directement à Jean-Louis Gassée,
directeur général.
Ronald Janssens entre chez Altos en
qualité de directeur d'une activité nouvellement
créée, le marketing logiciel.
7 ICL France annonce la nomination de
Jean-Marc Giroud au poste de directeur
administratif et financier. À ce titre, il fait
désormais partie du Comité de Direction d'ICL
France.
©] François Toutain a été nommé
administrateur et vice-président d'Alcatel
Electronique, filiale de CIT-Alcatel qui
regroupe les sociétés du groupe Alcatel exerçant
leurs activités dans les domaines de la
communication d'entreprise, du traitement du
courrier, de l'électronique et de l'optronique, du
service informatique et de l'ingénierie logicielle.
Il vient également d'être nommé vice-président
d'Alcatel Thomson Micro-Informatique
Professionnelle.
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 45
D ACTUALITE,
Hewlett-Packard s'agrandit
en Rhône-Alpes
pour confirmer
son implantation en France
La région Rhône-Alpes est un des plus grands sites industriels en
Europe, avec ses 16 ha à Grenoble, et ses 60 ha retenus pour les
années 1995 sur l'Isle d'Abeau (nord de l'Isère, près de Lyon). Hewlett
Packard a acquis 10 ha à l'Isle d'Abeau, marquant ansi sa ferme
décision de poursuivre son développement européen à partir de la
France. Certains succès l'y encouragent d’ailleurs.
Les activités de Hewlett-Packard à
l'Isle d'Abeau doivent, dans un pre-
mier temps, épauler la croissance de
Grenoble avec la fabrication d'instru-
ments de mesures scientifiques,
développés sur le site industriel gre-
noblois, dont les activités, en 1985,
seront davantage focalisées dans
trois directions : la télématique (ou
réseaux), la bureautique et la mainte-
nance . Par contre, pour Jacques Fer-
dame, directeur du nouveau site,
«l'Isle d'Abeau sera nettement
orienté CFAO et aura deux grands
axes de développement : d'une part
une activité propre d'ordinateurs
industriels intégrant recherche et
développement, d'autre part la pro-
duction de systèmes de tests auto-
matiques ainsi que leurs logiciels
associés ».
Selon Kléber Beauvillain, prési-
dent du Directoire Hewlett-Packard
France, « l'objectif à long terme est
d'en faire un pôle productique euro-
péen et pourquoi pas mondial ».
Une politique de
partenariat très poussée
Depuis 1982, HP a décidé d'assu-
rer son développement européen, en
France. Cette décision a été prise à la
mairie de Grenoble lors d'un conseil
d'administration mondial où étaient
présents David Packard et William.
Hewlett, anecdote qui marque la
volonté de s'intégrer au tissu écono-
mique, politique et social de la
région.
Pour Robert Aydabirian, directeur
général de la division des ordina-
teurs personnels de Grenoble,
PAGE 46 — MINIS ET MICROS N° 216
« Hewlett-Packard est une entreprise
très américanisée dans son style de
gestion (productivité et autofinance-
ment avant tout), mais elle se veut
très intégrée au tissu social et elle est
même en avance sur certaines lois(le
temps de travail à la carte y est de
37,5 h).
L'embauche à Grenoble s'est éle-
vée, cette année, à environ une cen-
taine de personnes, et l'usine doit
s'agrandir d'une unité... Le milieu de
la recherche scientifique grenobloise
est un terreau fertile, en particulier
pour des postes de haut niveau dont
la pénurie est mondiale. »
HP a fait ses preuves depuis ses
vingt ans d'existence en France, avec
une croissance de 19,6 % en 1983 et
un rythme moyen d'embauche de
12 %. D'une activité essentiellement
importatrice en 1964, l'entreprise est
passée au stade de la fabrication,
pour exporter aujourd'hui 80 % de
sa production. Néanmoins, le désé-
quilibre entre importations et expor-
tations demeure, mais l'Isle d'Abeau
devrait en diminuer la différence.
C'est ce capital confiance, accumulé
depuis de nombreuses années, qui a
contribué au choix de la France par
la « maison-mère » (deux autres sites
auraient pu être choisis en Europe :
Angleterre ou Allemagne).
Kléber Beauvillain indique que HP
se veut un partenaire pour les autres
entreprises françaises. Il cite en
l'occurence SCEMI (constructeur de
robots à Bourgoin-Jallieu) et ITMI
(Industrie et Technologie de la
Machine intelligente). L'accord passé
entre les trois entreprises concerne
un robot piloté par une armoire à
commande numérique, intégré dans
une chaîne automatisée d'insertion
de composants électroniques.
Bien d'autres relations de sous-
traitance existent, tant à l'aval qu'à
l'amont. Elles ont été établies pour la
production du dernier terminal HP
2392 qui a été complètement conçu
à Grenoble. Les fournisseurs de cir-
cuits imprimés ont été Matra Corne-
lius, les habillages plastiques sont de
Landry à Oyonnax, et les armatures
métalliques de Feralu à Lyon.
Un accord particulier vient d’être
signé avec Cogelog pour l'acquisi-
tion d'un progiciel de paie et de ges-
tion du personnel fonctionnant sur
HP 3000.
La jeune société Delphia a égale-
ment reçu le soutien de HP : prêt de
matériel pour développer ses pro-
duits et assurer des stages de forma-
tion, mise à disposition d'un sta-
giaire pour développer un éditeur de
texte intégré à l'interpréteur de lan-
gage D-Prolog. L'interpréteur,
implanté sur HP 150, a été mis au
catalogue listé. Déjà, des demandes
importantes sont en cours de négo-
ciations, liées à la vente du 150.
Dans le cadre de cette collaboration,
D-Prolog doit être transféré surles HP
1000 et 9000.
Un terminal à écran
de conception grenobloise
En concevant entièrement le pro-
jet Calypso, qui est devenu commer-
cialement le terminal à écran alpha-
numérique HP 2392A, l'équipe de
Grenoble a relevé de nombreux
défis, tels qu'une diminution des
coûts de la production par deux et un
niveau de fiabilité important (une
panne tous les dix ans en moyenne).
Un des paramètres-clé de la fiabi-
lité étant la diminution du nombre de
composants, ceux-ci ont baissé envi-
ron de moitié sur la carte logique,
pour passer de 78 à 37. Pour la pre-
mière fois, un circuit VLSI (bande et
masques) a été entièrement concu à
Grenoble (mais il est fabriqué à Palo-
Alto).
Dès la phase initiale, l'équipe a
introduit un processus d'automatisa-
tion, pour atteindre des objectifs
agressifs de productivité et de qua-
lité. Résultat : le prix de vente du
2392A est d'environ 12 000 FF, infé-
rieur de 40 % au produit équivalent
précédent.
Son originalité réside dans l'inté-
gration au coffret du mécanisme
d'inclinaison. Le principal avantage
en est la compacité du terminal, qui
comprend un écran de 30 cm (12
pouces) affichant 24 lignes de 80
caractères aux normes Din.
Une attention particulière a été
apportée au choix des couleurs et de
la texture du coffret, afin de minimi-
ser les réflexions de lumière. Le label
d'écran permet l'affichage en dix lan-
gues et le nombre de claviers diffé-
rents s'élève à dix sept. L'intérêt de
ce type de console est la possibilité
de travailler en mode bloc plutôt
qu'en interactif. Le mode bloc auto-
rise le travail en local sur quatre
pages (ou huit en option) et ne solli-
cite l'ordinateur qu'au moment de
l'édition.
Selon Dataquest, HP détient la
deuxième part de marché aux Etats-
Unis (10 %) des écrans mode bloc
entre 1981 et 1982 après Televideo
(19 %). L'équipe grenobloise attend
donc les résultats statistiques qui
émaneront des ventes du 2392A.
Pour la première fois dans l'histoire
de HP, un produit s'est révélé être un
succès dès les premiers mois de
commercialisation. Les ventes enre-
gistrées au niveau mondial ont été de
dix mille unités le premier mois. La
fabrication qui se fait pour un tiers à
Grenoble (desservant toute l'Europe)
et deux tiers à Roseville (Amérique
du Nord, Canada, Australie) ne per-
met la constitution d'aucun stock
(délai de livraison entre deux et qua-
tre semaines).
Ces terminaux sont vendus à des
clients qui possèdent des systèmes
intégrés HP. Mais ils représentent
également une ouverture du marché,
avec le mode de fonctionnement
Ansi et l'émulation de nombreuses
fonctions des VT 100 et VT 52.
La décision de le rendre compati-
ble IBM n'a pas encore été prise,
essentiellement pour des raisons
stratégiques qui ne sont pas les
mêmes pour les ordinateurs person-
nels (guerre froide et possibilité d'uti-
lisation de la bibliothèque de logi-
ciels IBM) et les terminaux. Le mar-
ché auquel s'adresse HP est plutôt de
type industriel, alors qu'IBM est
orienté vers le bancaire et l'adminis-
tratif, que HP envisage d'aborder.
Le testeur de
cartes
HP 3065
La production du testeur de cartes
HP 3065 va démarrer rapidement
dans 4000 m? de locaux loués et avec
l'assistance du personnel de Greno-
ble. La construction du bâtiment n'a
pas encore démarrée et ne sera ter-
minée que début 1987.
L'intérêt de ce testeur de cartes
réside dans le fait qu'il peut se rac-
corder en réseau, afin de pattager les
mémoires et périphériques, et qu'il
peut également être relié à des systè-
mes CFAO pour accélérer l'élabora-
tion des tests.
Le HP 110 aux Etats-Unis
Le portable (dont nous avons
donné les caractéristiques dans notre
numéro 215) se fera attendre en
Europe, où il n'apparaîtra qu'en
novembre au lieu de septembre. Il
semblerait qu'il déclenche aux Etats-
Unis le même type de phénomène
qu'IBM avec les ordinateurs person-
nels.
La commercialisation est retardée
en Europe pour quelques raisons
techniques (modifications du clavier,
traduction de la documentation),
mais aussi par souci stratégique afin
de lancer le produit « tambour bat-
tant », tout en ayant la possibilité de
répondre à la demande.
« Si le HP 110 doit être fabriqué
ailleurs qu'aux Etats-Unis, c'est
encore le site industriel de Grenoble
qui sera choisi» a pu révéler Cyril
Yansouni (directeur général pour HP
de tous les ordinateurs personnels et
terminaux).
Rosalie Hurtado
Salon micro-
informatique
à Francfort
Du 29 janvier au 3 février 1985,
«Micro-computer 85» ouvrira ses
portes dans les nouveaux locaux de
la Foire de Francfort. Achevé il y a
une année, le hall numéro quatre
proposera ses deux niveaux (en tout
43 000 m?) aux 250 exposants déjà
engagés. Dans cette architecture
«high-tech » (murs blancs, baies
vitrées et tubes), 20 000 visiteurs
sont attendus.
Pour l'instant, le public concerné
par cette. exposition reste vague
puisqu'elle est qualifiée par ses diri-
geants, de « grande parade des petits
ordinateurs ». Bien malin celui qui,
en 1984, peut définir ce qu'est un
« petit ordinateur ». De plus, les deux
étages du salon correspondent à
deux catégories de clients: les
«pros» et les amateurs, de quoi
satisfaire tout le monde ! D'ailleurs, à
titre d'anecdote, il est question de
donner un badge à tous les visiteurs
informant les exposants de l'origine
de leur interlocuteur (étudiant, pro-
fession libérale, industriel, privé,
etc.) ; un tri à distance.
Les plus grandes marques d'ordi-
nateurs familiaux et personnels
devraient être présentes, ainsi que
les principaux fabricants de logiciels.
Une politique de marché
Il n'est pas étonnant qu'une place
telle que Francfort s'intéresse à la
micro-informatique sous toutes ses
formes. En RFA, Cologne s'est déjà
engagée avec « Mini-computer 84 »
et Munich prépare un salon équiva-
lent. Il faut savoir qu'Oute-Rhin, une
véritable bataille s'est engagée entre
grandes villes pour organiser de tel-
les manifestations, et ce dans tous
les domaines (mode, industrie, servi-
ces, etc.). Tous les arguments sont
bons: situation géographique,
cadre, facilités, traditions de salons,
etc. Ainsi, à Francfort, un de nos
confrères, «Chip», patronne la
manifestation pour y apporter un
« plus » promotionnel et technique.
En bref, un nouveau salon encore
indécis qui ne satisfera pas au pro-
verbe « coup d'essai, coup de maî-
tre », mais qui gagnera ses galons au
fil des années. #
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 47
M ACTUALITE,
Chez Prime : deux
nouveaux venus
dans la série P50
Prime annonce deux systèmes de
remplacement de ses 550-II et 750
dans la série P50. 11 s’agit des 9650 et
9750, qui bénéficient d'une techno-
logie à réseaux prédiffusés personna-
lisés et de la technologie ECL respec-
tivement.
Le renouvellement de la gamme
P50 continue. Les numéros à retenir
sont aujourd'hui à quatre chiffres, les
2550, 9650, 9750, 9950, au lieu des
trois que nous connaissions. Ainsi, le
550:II est évincé par le 9650, fondé
sur la technologie réseaux prédiffu-
sés personnalisés et une architecture
pipeline à deux niveaux. Il offre des
performances globalement supérieu-
res de 35 % à celles du 550:II. Les
utilisateurs de ce dernier peuvent
facilement passer à une configura-
tion 9650, puisque la compatibilité
est assurée. Outre une configuration
standard comprenant 2 M octets de
mémoire, deux disques fixes de
315 M octets, un dérouleur de ban-
des magnétiques continu, un écran
alphanumérique et Primos, vendue à
1,377 MFF ; tout système Prime ins-
tallé peut être transformé en 9650,
pour un prix minimal de 489 KkFF.
Quant au 9750, comme son nom
l'indique, il remplace le 750 avec une
performance supérieure de 75 %. li
utilise la technologie ECL associée à
une architecture pipeline à cinq
niveaux de traitement des instruc-
tions.
Le prix d'une configuration stan-
dard comprenant une mémoire cen-
trale de 4 Moctets, deux disques
fixes de 315 M octets, un dérouleur
de bandes magnétiques 1 600 bpi,
un écran alphanumérique et Primos
est de 2,364 MFF. Tout système
Prime installé peut être transformé
en 9750 à partir de 921 kFF.
Les caractéristiques techniques
comparées des deux machines sont
décrites dans le tableau ci-dessous.
=
Caractéristiques comparées des deux nouveaux ordinateurs
Prime 9650
Prime 9750
Supermini 32 bits, de capacité mémoire
maximale de 8 M octets
Supermini 32 bits, de capacité maximale
de 12 M octets (mémoire Mos)
Technologie réseaux prédiffusés personnalisés
(« Custom Gate Array »)
Organisation de l'unité centrale de type
« pipeline » permettant l'exécution simultanée
de 2 instructions
Technologie ECL (« Emitter Coupled Logic »)
Organisation de l'unité centrale de type
« pipeline » permettant l'exécution simultanée
de 5 instructions
Mémoire cache bipolaire de 16 K octets
Compatibilité totale, matériel et logiciel
avec tous les systèmes de la Série 50
Démarrage du système pour l'ensemble des
utilisateurs en une seule opération
Détection des dépassements de température
Mémoire cache bipolaire de 16 K octets
Compatibilité totale, matériel et logiciel
avec tous les systèmes de la Série 50
Démarrage du système pour l'ensemble des
utilisateurs en une seule opération
Détection des dépassements de température
Admet 96 terminaux et 255 processus
simultanés
Instructions virgule flottante de quadruple
précision câblées
Processeur de diagnostic avec 2 disquettes
intégrées pour le chargement des microcodes
de diagnostic et opérationnel
Admet 128 terminaux et 255 processus
simultanés
Instructions virgule flottante de quadruple
précision câblées
Processeur de diagnostic avec 2 disquettes
intégrées pour le chargement des microcodes
de diagnostic et opérationnel
Système d'exploitation multifonction Primos
et large gamme de logiciels de base
et d'applications
Système d'exploitation multifonction Primos
et large gamme de logiciels de base
et d'applications
Arithmétique décimale câblée pour
augmenter les performances en Cobol
PAGE 48 — MINIS ET MICROS N° 216
Une nouvelle
version
de MDBS III
Ise-Cegos les Editions du Logiciel,
filiale du groupe Cegos et représen-
tante en France de la société Micro
Data Base Systems, annonce pour ce
trimestre une nouvelle version du
système de gestion de base de don:-
nées sur micro MDBS III.
Créé en 1982, interfacé avec
K-Man, un logiciel d'environnement
intégré à succès vendu en France par
les Editions du Logiciel, MDBS tota-
lise quelque 3 500 copies vendues.
Ce n'est pas grand-chose, si on le
compare à des logiciels tels que les
« calcs », mais ce n'est certainement
pas comparable : l'un fait des feuilles
de calcul et l’autre gère des fichiers
de façon suffisamment élaborée.
La nouvelle version de MDBS II, la
3.06, présente de nombreuses évolu-
tions par rapport aux précédentes :
temps d'exécution trois fois plus
rapide ; espaces mémoire alloués
aux routines du DMS étendues de 30
à 64 K octets ; possibilité d'accéder à
seize bases avec un même pro-
gramme.
Les langages interfacés par MDBS
I sont nombreux (une dizaine), et ce
système fonctionne sous MS-Dos et
analogues. || peut être accompagné
de RDL (Report Definition Lan-
guage), un logiciel que fournit son
créateur, et qui sert à créer des états
de sortie à l’aide d'un éditeur de
texte. RDL est écrit en langage C et le
programme source est fourni à
l'achat.
Les extensions de MDBS III, pré-
vues pour ce deuxième semestre de
l'année 1984, sont un utilitaire de
restructuration de la base de don-
nées DBRS ainsi que quelques autres
interfaces avec des langages de pro-
grammation. Autre bonne nouvelle,
MDBS III voit son prix baisser de
18 %.
Les Editions du Logiciel
Disons enfin quelques mots sur le
représentant français de MDBS. Le
titre Ise-Cegos indique à la fois la
filiale de Cegos et la vocation de
commercialisation de MDBS (le
réseau Îse). Quant à la partie « Les
Editions du Logiciel », c'est le nom
des distributeurs généraux de logi-
ciels (par conséquent, qui font autre
chose que MDBS). Cette société a été
lancée en 1982, son but étant de
commercialiser des logiciels pour
micro dont le prix n'excédait pas
quelques milliers de francs. En 1983,
elle voit son capital augmenter par
l'entrée de trois sociétés de « Ven-
ture Capital» à la française, en
l'occurrence Finovectron (20 %),
Sofinnova (11 %) et Soginnove
(11 %). Elle réalise alors un chiffre
d'affaires de 3,8 MFF contre 0,6 MFF
en 1982. En 1984, sous la présidence
de Yann Houdent, son CA devrait
atteindre 8 à 9 MFF selon les estima-
tions.
Quand à Micro Data Base
Systems, c'est en M$ qu'est estimé
son CA, mais il s’agit bien entendu
d'une société américaine que l'on
peut même considérer comme petite
par rapport à ses compatriotes. Cela
ne l'empêche pas d'être à sa façon
une « success story », puisque son
chiffre d’affaires de 1983 étant de
10 M$, elle passera logiquement à
22 M$ en 1984. Elle est présidée par
Gary Koehler. Ci]
Onyx a annoncé
deux nouveaux supermicros
sous Unix
Onyx + Imi a présenté en France son système € 5012 en deux
modèles, destiné au marché du développement de logiciel en
particulier et des machines Unix en général. Onyx + Imi fait le point
sur son activité tant aux Etats-Unis qu'en Europe.
La réputation d'Onyx, en ce qui
concerne les machines Unix, est
ancienne. L'idée de base de ce cons-
tructeur, est le mariage d'un système
d'exploitation (Unix) et d'un micro-
processeur 16 bits performant (le
Z 8000) pour créer des systèmes
multipostes dans un environnement
professionnel multi-utilisateur.
Un petit historique
Onyx n'est pas inconnu en France.
Commercialisées très tôt par des
intégrateurs de systèmes français
tels qu'Unixsys et CTL, les machines
Onyx ont été rapidement installées
sur le territoire national.
Aujourd'hui, Unixsys, devenu à son
tour constructeur, fabrique des
machines françaises sous licence
Onyx (et Plexus). Ce qui fait que la
filiale française d'Onyx reprend le
flambeau du nom.
La création de la société en 1978
s'est faite avec l’aide financière de la
West Coast Joint Venture qui fut à
l'origine de plus d'une société à suc-
cès. En 1981, Imi est « ajoutée » à
Onyx pour donner Onyx + Imi Inc.
Imi, rappelons:le, est un fabricant de
disques qui a mis au point les pre-
miers disques Winchester 8 pouces.
Elle a actuellement en réserve quel-
ques 5 pouces 1/4 haute capacité.
Plus récemment, c'est-à-dire il y a
dix-huit mois, Onyx + Imi rachète
Mercator, client OEM d'Onyx et
d'Intel. En France, Onyx + Imi est
dirigée par Jean-Marc Bouvier, res-
ponsable pour l'Europe du Sud. Les
résultats du premier semestre 1984
montrent une progression de 25 %
au niveau mondial pour Onyx + Imi
(36,6 M$ contre 29,3 M$ pour la
même période en 1983).
La philosophie Onyx
Le concept fondamental est l'adé-
quation à un environnement multi-
utilisateur. Cela suppose des ressour-
ces de stockage relativement impor-
tantes : bandes magnétiques et dis-
ques rigides sont intégrés. Cela
nécessite un système d'exploitation
multi-utilisateur : il y a Unix. Cela
entraîne des mémoires centrales
étoffées : 1 M octet de Ram sur beau-
coup de configurations.
Les deux lignes de micros Unix +
Z 8000 d'Onyx se divisent comme
suit :
— une ligne avec des disques 8 pou-
ces (35ms), 21 à 80Moctets,
1 M octet de Ram, 11 portes ;
— une ligne « moins lourde » avec
des disques 5 pouces 1/4, 10,
25 M octets, 512 K octets de Ram au
minimum.
Mais Onyx ne fait pas que de
l'Unix. Depuis peu, le constructeur
s'est tourné vers les configurations
8088 et MS/Dos qui, pour l'instant
(1984), ont la part de marché la plus
alléchante. Il propose donc une
machine 8088 ou 8086 ou même
avec MS/Dos, des logiciels standard,
la lecture et l'écriture de disquettes
au format IBM, SMC-Basic, etc. Pour
ne pas faillir à l'objectif multi-
utilisateur, Onyx proposera Oasis 16
et peut-être MS/Dos 04 (ex. 3.0
multi-utilisateur) lorsque cela sera
possible. Un système Onyx 186 avec
trois utilisateurs devrait coûter
80 kFF en prix de base.
Enfin, Onyx ne perd pas de vue la
bureautique, les logiciels d'environ-
nement intégré et, qui sait, un autre
microprocesseur, comme par exem-
ple le 68000 de Motorola. Sa vision
éclectique le mènera probablement à
envisager une machine construite
autour de ce microprocesseur.
Les deux supermicros
Pour le marché américain, ils ne
sont pas vraiment nouveaux
puisqu'ils ont environ neuf mois.
Mais, en France, ils viennent d'être
introduits officiellement il y a quel-
ques semaines. Il s’agit des C 5012 V
et D, des micros de la ligne « de
table », c'est-à-dire avec des disques
5 pouces 1/4.
Leurs caractéristiques techniques :
Unix System Ill, 512 K octets de Ram
(le double pour le modèle V pour
« vertical »), un disque Winchester 5
pouces 1/4 avec 14 ou 21 M octets
(un de plus pour le modèle V), une
bande magnétique en cartouche de
17 Moctets (non formatés). Ces
machines admettent un nouveau ter-
minal ergonomique avec un écran 14
pouces monochrome et un clavier
104 touches dont 28 sont des tou-
ches de fonctions programmables.
Côté logiciel, elles admettront Onyx
Office, le logiciel d'environnement
intégré d'Onyx pour la bureautique.
La cible de ces machines est le
marché des développeurs de logi-
ciels verticaux et l'environnement
multi-utilisateur temps partagé. Les
prix commencent à près de 12 000 $,
logiciels Onyx compris.
Violaine Prince
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 49
D ACTUALITE.
En marge de la NCC : visite
à Dysan, Shugart-Optimem
Envision
et Integrated Automation
Nous reprenons dans ce numéro notre compte-rendu des visites
effectuées dans la Vallée du Silicium avant la NCC. Après avoir vu
Seagate et Maxtor, nous restons dans le domaine des disques, mais
vu du côté média avec Dysan, et nous intéressons au disque optique
avec Shugart-Optimem. Nous terminerons par la présentation de
deux « petits nouveaux » qui promettent mais pratiquement inconnus
en France : Envision et Integrated Automation.
Dysan
Difficile d'avoir des informations
intéressantes chez Dysan; les per-
sonnes qui auraient été les plus à
même de répondre à nos questions
n'étaient pas là: du coup, peu de
choses à nous mettre sous la dent, si
ce n'est un rapport écrit par James
Destefano, manager of business stra-
tegy, sur le présent et le futur des
médias magnétiques. C'est donc ce
rapport que nous allons présenter ici.
Le marché des médias magnéti-
ques est en pleine explosion. D'un
montant total de 1,9 milliard de dol-
lars en 1983, il devrait croître à un
rythme de 25 % au cours des cinq
prochaines années. Les besoins de
plus en plus importants ont accéléré
les développements technologiques.
C'est ainsi que, dans le domaine
des disques rigides, on assiste au
renouveau des techniques autrefois
abandonnées car trop onéreuses ou
trop complexes comme les disques à
film mince (plated media), ou la pul-
vérisation (sputtering), mais les fabri-
cants de médias traditionnels à cou-
che d'oxyde ont encore de beaux
jours devant eux. En effet, la produc-
tion de disques à film mince n'est pas
simple ; cela fait plus de quinze ans
que l'on effectue des recherches à ce
propos et l'on n'est pas encore arrivé
à avoir un taux de rejet des disques
acceptable. Les problèmes afférents
aux disques à film mince sont
légion : problèmes de fabrication ;
problèmes d'interchangeabilité ; pro-
blèmes de corrosion pouvant con-
duire à un écrasement des têtes.
PAGE 50 — MINIS ET MICROS N° 216
Les fabricants de médias à couche
d'oxyde ne sont pas restés inactifs et
proposent des disques avec des den-
sités plus grandes, grâce à une
magnétisation plus intense et à un
revêtement plus épais. Ces disques
permettront d'obtenir une densité
double de celle des médias utilisés
actuellement. D'autre part, l'indus-
trie du disque n'a pas encore exploré
toutes les possibilités de certaines
particules d'oxyde ou d’autres
méthodes d'enregistrement (comme
celles employées dans le domaine
analogique) ; on peut donc s'attendre
à de futurs développements.
De nombreuses recherches sont
effectuées également dans l’enregis-
trement vertical, mais le coût de tels
médias reste encore prohibitif et,
dans le domaine du SSR (Stretehed
Surface Recording), à mi-chemin
entre les disques et les disquettes.
Selon James Destefano, si dans un
‘futur proche la tendance est aux dis-
ques à film mince, il ne faut quand
même pas négliger l'oxyde, avec
méthode d'enregistrement analogi-
que, et les disques optiques. Le pro-
blème, en ce qui concerne ce dernier
point, est l'absence de standard et le
fait qu'ils ne puissent pas encore être
effacés.
Une des dernières caractéristiques
du marché est la diminution du fac-
teur de forme ; les 8 pouces sont en
perte de vitesse alors que les formats
5 pouces 1/4 et inférieurs prennent
de plus en plus d'importance.
Dans le domaine des disquettes, la
tendance actuelle est aux disquettes
double face 5 pouces 1/4. Pour ce qui
est des disquettes de moins de 4 pou-
ces, elles sont encore peu utilisées
malgré la vive controverse qu'elles
ont suscitée. La plupart des porta-
bles intégrent encore des unités de
disquettes 5 pouces 1/4.
Mais, quel que soit le format de
microdisquettes qui sera choisi, il est
douteux, selon Dysan, que ces der-
nières supplantent un jour le 5 pou-
ces 1/4 désormais bien ancré.
On assiste également à une aug-
mentation de la capacité des disquet-
tes avec la généralisation de la dou-
ble face-double densité et l'appari-
tion de disquettes à 3,3 M octets.
Kodak et Hitachi prévoient respecti-
vement, pour le futur proche, des dis-
quettes 6,4 M octets et 9,7 M octets
(en 8 pouces). Elles seront en compé-
tition avec les petits Winchesters.
Dysan propose une nouvelle dis-
quette UHR Il utilisant un substrat en
polyester et le même genre de parti-
cules élaborées que dans les disques.
Ses caractéristiques sont les suivan-
tes: 18 000 bpi; 140 ou 300 tpi
avec asservissement; capacité
5 M octets.
En conclusion, James Destefano
indique qu'avec un taux de crois-
sance extrêmement rapide, faire des
prévisions devient très difficile ;
néanmoins, les fabricants de médias
doivent rester vigilants et ne pas se
tromper dans leur choix de technolo-
gies futures.
Shugart-Optimem
Quittons le domaine des médias
magnétiques pour aborder mainte-
nant celui du disque optique. « minis
et micros » a déjà décrit à ses lec-
teurs le fonctionnement de ce disque
dans son numéro 142. Nous ne
reviendrons donc ici que sur l'aspect
commercialisation.
Larry Fujitani, product marketing
manager d'Optimem, nous a indiqué
que la production d'unités était
actuellement de deux par jour. Opti-
mem est encore en négociation avec
plusieurs sociétés pour la vente de
ses unités. Ces négociations sont
généralement assez longues (de six
mois à deux ans) et la firme n'envi-
sage pas de production en volume
avant 1986 au moins. Le prix de
l'unité est de 12 500 dollars actuelle-
ment.
Pour ce qui est du média, Opti-
mem est actuellement à la recherche
d'une source américaine (de nom-
breux fabricants de médias travail-
lent sur le disque optique) ; Thomson
est à l'heure actuelle la seule source
pour le média.
L'accord avec Thomson est très
important pour Optimem. Larry Fuji-
tani insiste sur le fait que Thomson
et Optimem sont deux vraies secon-
des sources (bien que la compatibi-
lité totale entre les deux unités n'ait
pas encore été testée, mais elle est
prévue) alors que leurs principaux
concurrents jusqu'ici (avec l'arrivée
des Japonais la situation pourrait
bien changer), c'est-à-dire Philips et
Control Data, ont créé une joint ven-
ture et ne constituent donc qu'une
seule société sans seconde source.
Quelques précisions techniques
concernant l'unité d'Optimem. La
firme utilise deux interfaces : une
interface Sasi avec l'hôte et une
interface locale ODI II (Optical Disk
Interface) pour dialoguer avec sept
unités esclaves. Les esclaves n'assu-
rent pas la détection et la correction
d'erreur et n'ont pas d'interface Sasi.
Toujours en ce qui concerne la détec-
tion et la correction d'erreur, Opti-
mem utilise un code Read and Salo-
mon, qui permet de retrouver jusqu'à
320 bits consécutifs.
Envision
Envision, représentée en France
par Théta Systèmes, est une société
relativement récente, puisque créée
en mai 1981, spécialisée dans les ter-
minaux et imprimantes.
L'idée directrice qui a présidé à la
création de la société était de mettre
un terminal graphique relativement
bon marché (4 à 7 000 dollars) sur
chaque bureau et de proposer des
terminaux couleur intégrant texte et
graphique.
C'est ainsi qu'en mai 1982, un an
après sa naissance, la société présen-
tait trois terminaux, les modèles 210,
220 et 230 et une imprimante de
recopie d'écran, le modèle 430. La
livraison des terminaux a débuté en
août 82. Ceux-ci étaient, dans un pre-
mier temps, fabriqués sur place
mais, depuis début 1984, il sont
montés à Taiwan pour faire face à
l'augmentation des ventes. Les pre-
mières livraisons d'imprimantes ont
eu lieu, quant à elles, en été 1983 (un
an environ après les terminaux).
Envision envisage également de les
produire à Taiwan à la fin de l'année.
Parlons un peu des produits, ils le
méritent. Les terminaux proposés
sont à l'heure actuelle au nombre de
quatre : le 210, écran 13 pouces, 8
couleurs, bas de gamme ; le 220, 13
pouces, 16 couleurs texte et graphi-
que ; le 230 version plus évoluée du
220 ; le 239, version 19 pouces du
230. Tous ont en commun une réso-
lution de 640x 409 en graphique
(640 x 480 pour le 239) ; un jeu de
primitives graphiques très complet
(rectangles, arc, cercle, etc.), quatre
fenêtres, un zoom et un défilement
par matériel. Selon les dirigeants
d'Envision le modèle 220 avec sa
définition de 640 x 480 (en option) et
son prix de 3 500 dollars, se com-
pare avantageusement au 4105 de
Tektronix (définition 480 x 360, prix
4 000 dollars).
Du côté des imprimantes, Envi-
sion propose le modèle 430 à
matrice de points (18 aiguilles), fonc-
tionnant à 100 cps en qualité cour-
rier, 1 300 cps en qualité listing et
avec une définition de 144x 144
points par pouce en graphique. De
plus, elle peut être utilisée en traceur
avec le logiciel HPGL (Hewlett-
Packard Graphic Language). Toutes
ces possibilités en font une impri-
mante complète de très bonne qua-
lité, quelle que soit son utilisation.
Avec cette imprimante, vendue
3 500 dollars, Envision vise deux
types de marché, comme périphéri-
que d'un terminal ou pour intégra-
tion dans une station de travail.
Parlons enfin de la société. Comp-
tant soixante personnes et trois
agences aux USA, Envison réalise
50 % de ses ventes en OEM. Parmi
ses références on peut citer, Bur-
roughs, Sord (pour les imprimantes),
Mac Douglass (pour les terminaux).
Dans le futur elle compte se polariser
beaucoup plus sur les imprimantes,
la concurrence devenant trop dure
au niveau des terminaux et recher-
cher avant tout une réduction de ses
coûts de production.
Integrated Automation
Située à Berkeley, non loin de la
celèbre université, Integrated Auto-
mation Inc. (IAÏ) a pour vocation la
conception, réalisation et commer-
cialisation de produits à base de
visuel, et se présente, selon les mots
de son président, comme « /eader in
vision based automation systems »
et comme « une société d'ingénieurs
et non pas de marketing ».
Elle est organisée en trois divi-
sions : « material handling automa-
tion » (produits pour entrepôts) qui
propose un lecteur d'étiquettes
devenu un standard américain;
«reccords management automa-
tion» (systèmes de traitement de
l'information) avec un système com-
plet de distribution et modification
automatique de dessins dans une
entreprise ; enfin, « factory automa-
tion » avec plusieurs systèmes, tou-
jours à base d'image, dont un
système d'inspection de billets (véri-
fie dix billets par seconde, mille
machines vendues), un système de
vérification des plaques de batterie,
un système d'inspection des circuits
imprimés, etc.
IAI est très avancée dans le
domaine de l'optique puisqu'elle pro-
pose un juke-box avec cent disques
optiques pour le « prix modique » de
125 k$. Plus de dix de ces systèmes
ont été vendus : librairie du Congrès
américain ; General Electric ; minis-
tère des Affaires Etrangères du
Koweit ; un aéroport en Arabie Séou-
dite, etc. Le juke-box fait lui-même
partie d'un système baptisé Docuvi-
sion assurant la saisie de documents
(scanning), le traitement (numérisa-
tion 2D), la compression (3/4 de
seconde/page à 200 pts/pouce), le
stockage sur disque optique, la
recherche et la transmission d'infor-
mation.
Créée en 1972, mais réellement
indépendante en 1979, la firme enre-
gistre un taux de croissance annuelle
de l'ordre de 30 % et réalise 16 % de
ses ventes à l'étranger. Son chiffre
d'affaires en 1983 était de 23,5 mil-
lions de dollars avec plus de 15 % de
bénéfices nets après impôt. Elle
escompte obtenir un chiffre d'affai-
res 1984 de 29 millions de dollars.
IAT compte actuellement deux cents
personnes et dispose de bureaux en
plusieurs endroits des Etats-Unis.
Hervé Dornic
Pour communiquer EUTT
minis-micros
Télex rédaction :
214 366 F INFTEST
Télex publicité :
230 589 F EDITEST
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 51
PONT DE VE
Les entreprises de logiciel
pour micro-ordinateurs
aux Etats-Unis
la réussite et l’échec
Un certain nombre d'entreprises américaines de logiciel pour micro-
ordinateurs comme Microsoft, Digital Research, Micropro et autres
Visicorp, ont connu un succès foudroyant pendant plusieurs années
consécutives, ce qui a laissé croire qu'il y avait dans ce domaine un
marché très important, à croissance illimitée. Cet article montre qu'il
n’en est rien et que nous sommes peut-être à la veille de faillites
retentissantes ou, à tout le moins, de regroupements importants. En
fait, l'évolution de cette industrie est classique : après l'anarchie des
pionniers, les échecs de certains, la réussite d'autres, le marché
devient mature, plus tranquille et moins amusant.
L'avenir des entreprises de logiciel
semble assuré à partir du moment où
elles disposent de quelques produits
devenus des «standards de fait »,
pratiquement inattaquables. C'est le
cas pour certains produits de Micro-
soft comme, par exemple, le système:
d'exploitation MS-Dos; mais c'est
aussi le cas de quelques autres
comme Lotus 1-2-3 dans le domaine
des tableurs avec extensions graphi-
que et base de données.
D'autres logiciels ont connu un
grand succès, qui a pu faire croire
qu'il s'agissait de «standard de
fait»; par exemple, Visicalc ou
D-Base Il. Or il n’en est rien. En effet,
un système de gestion de base de
données fonctionne sous commande
d'un système d'exploitation, et un
utilisateur peut très bien disposer de
plusieurs logiciels de gestion de base
— la nécessité pour les plus ancien-
nes de tenir compte de leur passé,
c'est-à-dire d'offrir une compatibilité
entre les nouveaux produits (16 bits)
et les anciens (8 bits), ce qui n'est pas
toujours facile.
Certaines entreprises sont récem-
ment arrivées sur le marché avec de
gros moyens financiers (Ovation par
exemple), ce qui leur permet un
important budget de lancement de
leur produit.
Faiblesses de Micropro
Cette entreprise a connu un vif
succès avec la version de Wordstar
pour micro-ordinateurs 8 bits sous
système d'exploitation CP/M. A l'avè-
nement de l'IBM-PC, la version 16
bits de Wordstar a connu également
31 août 83 29 fév. 84 | 31 mai 84
Chifres d’affaires (M$)
20,6 18,9 15,7
25 27 5
16,4
Bénéfice par action (cents) 26
de données ou passer, après une
période transitoire, d'un logiciel à
l’autre.
Ainsi que nous allons le voir, main-
tes entreprises de logiciel ont des dif-
ficultés. Différentes raisons les expli-
quent, et notamment :
— l'augmentation importante du
nombre d'entreprises de logiciel en
micro-informatique aux Etats-Unis ;
PAGE 52 — MINIS ET MICROS N° 216
un grand réussite. Les autres pro-
duits de Micropro ont une réussite
commerciale beaucoup plus faible.
On constate maintenant que de
nouveaux logiciels de traitement de
textes plus modernes apparaîssent
sur le marché. Ces logiciels consti-
tuent des concurrents importants de
Wordstar, dont la version 16 bits ne
réussit pas à maintenir ses positions
commerciales. Cela explique la dimi-
nution du chiffre d'affaires de l’entre-
prise depuis plusieurs mois consécu-
tifs, ainsi que le licenciement de per-
sonnel.
Parmi les concurrents de Word-
star, mentionnons: Multimate et
Peachtext aux Etats Unis, Word de
Microsoft, Textor et Talor en France,
etc.
Par ailleurs, Micropro a des résul-
tats décevants avec ses autres pro-
duits comme Infostar, Calcstar, etc.
D'un trimestre à l’autre, le chiffre
d'affaires serait passé de 18,9, à
15,7 M$. Le bénéfice a chuté de 3 à
0,62 M$, ce qui a conduit Micropro à
réduire son personnel d'environ
20 %, (de 500 à 400 personnes). Le
tableau ci-contre montre l’évolution
trimestrielle du chiffre d'affaires. On
remarquera cependant que, fin août
83, des commandes à hauteur de
1,7 M$ ont été prises en compte dans
le trimestre suivant. En apportant
cette correction, on arrive à l’évolu-
tion suivante : 18,1, 18,9 et 15,7 M$.
Faiblesses de Visicorp
Cette entreprise a connu un très vif
succès avec Visicalc et notamment la
version pour Apple Il. Le choix initial
d'IBM pour Visicalc a permis un bon
démarrage de la version 16 bits,
démarrage resté sans lendemain
avec le choix ultérieur d'IBM et éga-
lement d'Apple pour Multiplan.
Le recul de Visicalc n'a pas été
favorable aux autres produits,
comme Visifile, Visitrend, etc.
Enfin, le procès qu'a intenté Soft-
ware Arts à Visicorp ne favorise pas
l'action commerciale de cette entre-
prise qui a été amené à licencier du
personnel.
Vision, sur lequel Visicorp fondait
de grands espoirs, a coûté très cher a
l'entreprise, et connait un succès
limité, car il nécessite obligatoire
ment une configuration coûteuse :
disque rigide et dans la pratique
512 K octets de mémoire centrale.
Outre que Vision n'est pas rapide à
l'exécution, c'est un produit assez
fermé, de sorte que l'utilisateur final
peut difficilement développer ses
propres applications avec ce logiciel.
Les répercussions des difficultés
se sont faites sentir sur le chiffre
d'affaires et sur le personnel : alors
qu'au temps de sa grandeur Visicorp
comptait plus de 500 personnes, ce
chiffre est tombé à 55 (démissions,
licenciements).
Situation de Digital
Research
Digital Research se trouve dans
une situation moins difficile pour les
raisons suivantes :
— le système CP/M 80, bien que
vieillissant, continue à rapporter de
l'argent ;
— en outre, Digital Research bénéfi-
cie de contrats de développement
avec différentes entreprises améri-
caines et japonaises, notamment
autour d'Unix, contrats qui permet-
tent d'alimenter les équipes de déve-
loppement.
Cependant, l'échec de CP/M 86, de
MP/M 86, le succès limité de Concur-
rent/86 n'est pas favorable à cette
entreprise. L'annonce de concurrent
PC-Dos, version multitâche et
ensuite multi-utilisateur pour pro-
grammes fonctionnant sous PC-Dos
version 1, sera peut-être un succès ;
mais ce n'est pas sûr car Microsoft
s'apprête à mettre sur le marché la
version multitâche de MS-Dos. Dans
les nouveautés, il faut mentionner
également le Personal CP/M version
8 et 16 bits, version qui peut être
implantée en Rom. Une version
offrant la compatibilité MS-Dos est
en cours de développement.
En outre, les nouvelles versions de
certains produits (Multiplan ou Word
par exemple ne fonctionneront sans
doute plus dans l'environnement
Version 1, afin de rendre la tâche
plus difficile à Digital Research.
Cette société a compris depuis plu-
sieurs mois que le logiciel d’applica-
tion dit « horizontal » allait représen-
ter une part croissante du marché
total du logiciel pour micro-
ordinateurs, et fait un gros effort
dans le domaine des langages,
notamment en les adaptant à l'envi-
ronnement PC-Dos / MS-Dos (PBasic,
CBasic, €, Logo, Fortran). Signalons
en passant que, compte tenu du suc-
cès de MSX au Japon, DRI travaille à
une adaptation de son Logo à MSX.
Différentes décisions ont été pri-
ses pour prendre une place significa-
tive dans ce marché du logiciel
«horizontal ». L'une d'elles a été de
créer la bibliothèque CP/M, biblio-
thèque qui regroupe différents logi-
ciels notamment de Changlab, de
Micropro, etc. Il ne semble pas pour
le moment que cette bibliothèque ait
eu un très grand succès en France, ce
qui amène l'entreprise à consentir
des baisses de prix importantes aux
clients OEM pour vendre, nuisant
ainsi à sa rentatibilité.
En outre, Digital Research tente
une diversification dans le domaine
des logiciels pédagogiques en pre-
nant le contrôle de la petite entre-
prise spécialisée américaine, Owcat.
Enfin, l'entreprise a signé plu-
sieurs contrats importants avec ATT,
Intel, etc., notamment pour le déve-
loppement d'Unix sur des micro-
ordinateurs 16 bits. Espérons pour
Digital Research que ces contrats se
concrétiseront par des produits qui
connaîtront une bonne réussite com-
merciale.
Ashton Tate
Cette entreprise a connu un très
grand succès avec le logiciel D-Base
Il et ensuite avec le logiciel Friday.
D-Base Il existe en version 8 bits
sous CP/M et en version 16 bits sous
CP/M 86 et sous PC-Dos ou MS-Dos.
La version sous PC-Dos est mainte-
nant attaquée par des produits plus
modernes comme par exemple,
R-Base ou par d’autres produits.
L'annonce prématurée de D-Base
Ill a fait reculer de façon importante
les ventes de D-Base Il. Ainsi, le chif-
fre d'affaires trimestriel d'Ashton
Tate est passé de 13,5 à 11,2 M$
entraînant une chute du bénéfice de
1,6 à 0,15 M$.
Cette entreprise espère que Fra-
mework, développé par la petite
firme Forefront Corp va permettre
un nouveau développement
d'Asthon Tate. Il ne sera pas possible
de se faire une idée de l'échec ou du
succès de Framework avant quelque
mois, mais le logiciel semble très
bien conçu.
Lotus
Lotus a été pendant longtemps
une entreprise monoproduit: son
seul logiciel était Lotus 1-2-3, tableur
puissant, destiné aux matériels fonc-
tionnant sous PC-Dos ou MS-Dos,
qui comporte des extensions graphi-
ques et des extensions base de don-
nées. Ce logiciel a connu de très
bons résultats, de sorte que Lotus
fait des bénéfices extrêmement
importants.
Ceux-ci ont été, au moins en par-
tie, ré-investis dans le logiciel intégré
Symphony, produit sur lequel
l'entreprise fonde de grands espoirs
et pour lequel elle fait de gros efforts
de publicité et d'action commerciale.
Il est vraisemblable que Symphony
connaîtra un bon succès. Mais son
échec éventuel aurait des répercus-
sions très lourdes sur le chiffre
d'affaires. De ce point de vue, l'entre-
prise, qui aujourd'hui est très bénéfi-
ciaire, est donc fragile, car elle ne
dipose que de deux produits : 1-2-3
qui sera concurrencé prochainement
par d'autres produits et Symphony
qui a déjà des concurrents. La revue
américaine PC-World n'est d'ailleurs
pas favorable à ce logiciel mais il fau-
dra attendre quelques mois avant de
connaître l'accueil de la clientèle
américaine.
Software Arts
Cette entreprise a développé Visi-
calc, et en a cédé la diffusion à Visi-
corp. Elle a en outre développé TK !
Solver et quelques autres produits.
Le recul de Visicalc a amené Soft-
ware Arts à entamer des actions judi-
ciaires contre Visicorp, actions dont
les conclusions ne sont pas encore
connues, mais dont une première
conséquence est le fait que Visicorp
abandonne Visicalc pour commer-
cialiser un autre produit qui s'appelle
Flashcalc.
TK! Solver n’a pas le succès
excompté et Sofware Arts a égale-
ment été amené à licencier du per-
sonnel.
Softech
Cette entreprise a plusieurs divi-
sions dont l'une d'elles développe et
commercialise des logiciels pour
micro-ordinateurs, en particulier le
P-System plus connu sous le nom de
UCSD Pascal. Ce logiciel comporte
le système d'exploitation et des com-
pilateurs Pascal, Basic et Fortran
ainsi que quelques modules complé-
mentaires.
Le recul du P-System a entraîné le
licenciement de plus de 20 % du per-
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 53
Dilog...
Le contrôleur unique
Dilog est si souvent le premier.
Chaque carte possede un autotest pour verifier son propre
fonctionnement, compense les defauts d'usine des disques et bandes
magnetiques et protege contre les coupures de secteur.
C'est pourquoi vous ne pouvez pas vous tromper en choisissant Dilog.
Des dizaines de milliers sont déjà
Quelles sont les différences en capacité de stockage entre un DEC* mini
ou micro et un gros système? Une seule chose . . . Un Contrôleur Dilog!
Un nombre important de disques et bandes magnetiques peuvent
aujourd’hui emuler des periphériques DEC avec des caracteristiques
supérieures. Îl est pratiquement possible d’avoir une forme de stockage
adapté à vos besoins: Winchester, fixé ou amovible en 5 pouces, 8
pouces ou 14 pouces, disques dur ou disquettes. Cela signifie qu'il est
possible de connecter jusqu'a 600 megabytes comme sur un gros
système.
Cependant le problème est que tous ces disques ont un format differents.
Toutefois Dilog a conçu un programme de Formatage Universel. Un
contrôleur Dilog peut interfacer votre DEC avec une emulation standart,
même si ils sont differents en configuration et en capacité.
De ce fait vous pourrez utiliser les nouveaux disques aparaissants sur le
marché avec le même contrôleur. Quelle economie!
En outre les cartes Dilog sont plus petites donc plus fiables, utilisant de ce
fait moins de composants.
Les contrôleurs Dilog conomment 60% de moins que les cartes
traditionnelles. Ils laissent également plus de place disponible dans le
fond de panier pour d’autres cartes. Ils sont très faciles à installer grâce à
la connectique cables plats.
Le secret de Dilog consiste en une personalité intelligent” incorporé dans
chaque contrôleur dans un micro processeur dont l'architecture à été
concue par Dilog. Il représente 60% de la circuiterie de la carte. La
dernière nouveauté technoloique peut être programmée de manière plus
rapide que chez les concurrents.
C'est pourquoi Dilog est si soubent le premier.
Chaque carte possédé un autotest pour vérifier son propre
fonctionnement, compense les defauts d'usine des disques et bandes
magnetiques et protege contre les coupures de secteur.C'est pourquoi
Pour toutes précisions : réf. 127 du service-lecteurs (p. 151)
en circulation dans le monde.
Recevez la technologie de
demain en contactant Dilog
aujourd'hui.
“DEC est une marque déposée du
groupe “Digital Equipment
Corporation”.
“Universal Formatting est une
marque déposée du groupe
“Distributed Logic Corporation”.
Pour obtenir plus d'informations et notre brochure gratuite sur les contrôleurs
de bandes et de disques pour les minis et micros DEC, n'hésitez pas à contacter
votre distributeur local Dilog ou Dilog International : Chester House, Chertsey
Road, Woking, Surrey GU21 5BJ. England. Tel. : Woking (04862) 70262. Telex
859231 DILOGI G. Telecopieur (04862) 62666.
Der DISTRIBUTED
DAAER LOGIC CORP
nat |
7. INTERNATIONAL
RE
sonnel, ce qui conduit à penser que
cette division aura beaucoup de mal
à rétablir sa situation.
Microsoft
Jusqu'à présent, Microsoft a eu
une politique de diversification :
logiciels pour différents types de
microprocesseurs : logiciels de base
(langages notamment); logiciels
d'application ; des compléments
matériels (d'abord la Softcard, puis
quelques cartes pour IBM-PC, la sou-
ris et enfin une carte d'extension
pour le PCJunior).
Cette politique de diversification
de produits est certainement moins
rentable à court terme que celle qui
consiste à ne vendre qu'un seul pro-
duit à un prix très élevé, comme a
réussi à le faire Lotus, mais présente
une sécurité bien meilleure.
Actuellement, Microsoft dispose
de quelques produits importants :
MS-Dos, interpréteur Basic, quel-
ques logiciels de productivité
comme Multiplan et Word.
La réussite de PC-Dos et de MS-
Dos a porté un coup très dur à Digital
Research (échec du CP/M 86) et le
succès de MSX et bientôt de
MSX/Dos, d'abord au Japon puis cer-
tainement en Europe (choix de Phi-
lips pour MSX) va porter un coup
également très dur au vieux CP/M
80.
Microsoft a fait un gros effort sur
les logiciels pour Macintosh. L'échec
de ce micro serait donc nuisible au
chiffre d'affaires de l'entreprise, mais
le succès lui serait en revanche extré-
mement favorable, étant donné
qu'elle a d'ores et déjà plusieurs pro-
duits fonctionnant sur Macintosch,
ce qui n'est le cas ni de Lotus, ni de
Digital Research, ni de Micropro.
Les constructeurs européens
reprochent généralement à Micro-
soft de pratiquer des coûts élevés (la
plus petite licence de logiciel au tarif
OEM est à 60000 $) alors que
d'autres entreprises de logiciel amé-
ricaines pratiquent des prix très infé-
rieurs. Cela peut dans une certaines
mesure nuire aux ventes en Europe,
mais comme celle-ci pèse d'un poids
très faible sur le chiffre d'affaires glo-
bal de Microsoft, c'est finalement
sans importance pour le résultat
final.
Il semble donc que Microsoft soit
l'entreprise la mieux placée pour tra-
verser la tempête qui s'annonce sur
le marché des grandes entreprises de
logiciels américaines.
Les regroupements
Il existe différentes entreprises
moins connues, souvent plus petites
qui ont démarré plus tard que Micro-
soft, Digital Research, Micropro, etc.
et dont le réseau commercial est très
faible.
Ces entreprises, qui disposent en
général de produits intéressants, ont
l'avantage d’avoir une structure plus
légère et, par conséquent, des char-
ges beaucoup plus faibles, mais elles
ont, en contrepartie, du mal à vendre
leurs produits. Elles essaient donc de
trouver des « diffuseurs » qui peur-
vent être des entreprises bien con-
nues dans les domaines de la micro-
informatique ou de l'informatique
traditionnelle.
Nous assistons ansi à de «grandes
manœuvres» qui ont démarré
depuis plusieurs années, mais qui
sont loin d'être terminées. Par exem-
ple, Software House, située à Hono-
lulu dans le Pacifique, a confié la dis-
tribution de certains de ses produits,
comme Mulsip et Mumath, à Micro-
soft et cela depuis plusieurs années.
Plus récemment, l'entreprise de logi-
ciel américaine, Computer Associa-
tes, a racheté Sorcim ainsi que Infor-
mation Unlimited Software, etc.
Ces fusions sont loins d’être termi-
nées et il est vraisemblable que des
annonces retentissantes surviennent
dans les prochains mois.
La situation en France
En France, il existe peu de déve-
loppeurs de logiciels et peu d'entre-
prises françaises distribuent des logi-
ciels de base pour micro-ordinateurs
au niveau national.
On peut relever cependant quel-
ques exceptions : Memsoft qui com-
prend maintenant trente personnes,
développe et commercialise du logi-
ciel au niveau national, actuellement
pour Apple et bientôt pour IBM-PC,
et a implanté une filiale aux Etats-
Unis. Des entreprises plus petites
comme Talor développent et
commercialisent un traitement de
textes de haut de gamme (Textor)
avec succès ; on pourrait encore en
citer quelques autres (Mercure, Bull-
Prologue etc.).
Mais, on constate que de grandes
entreprises comme Softsel s'implan-
tent en France pour commercialiser
des logiciels sur une base nationale.
Devant un tel contexte, la question
que l’on peut se poser est la sui-
vante : que peut faire l'industrie fran-
çaise pour résister à ce raz de marée
américain ?
Il est évident qu'il n'y a pas de
réponse simple à cette question.
Cependant, il serait souhaitable que
les rares logiciels français, d'une
qualité comparable à leurs homolo-
gues américains, fassent l'objet
d'une bonne promotion nationale, et
éventuellement internationale.
On peut regretter le fait que la
majorité des boutiques micro-
informatiques, même si elles sont la
propriété de Français, préférent ven-
dre des logiciels américains que des
logiciels français. Il y a certainement
quelques chose à faire de ce côté.
On peut prévoir que les difficultés
de certaines grandes entreprises
américaines de logiciel, se répercute-
ront sur les rares entreprises françai-
ses faisant du logiciel de qualité. Il
serait donc souhaitable que celles-ci
essaient de mettre certaines ressour-
ces en commun : soit des ressources
techniques, ce qui est assez difficile,
soit des ressources commerciales, de
façon à mieux résister à la tempête
prochaine.
Cela suppose également que ces
entreprises, tout en fournissant un
gros effort pour maintenir leurs pro-
duits à un niveau de qualité compa-
rable à celui de leurs concurrents
américains, fassent également un
gros effort d'action commerciale en
limitant néanmoins leur frais de
structure.
Il n'est pas impossible qu'il faille se
tourner vers des produits orientés
SGBD et intelligence artificielle,
pour trouver des créneaux intéres-
sants où la concurrence n'est pas
encore trop vive. Il est évident qu'un
choix des grandes entreprises se por-
tant sur leurs produits aiderait consi-
dérablement ces petites entreprises
de logiciel.
Jean-Pierre Lamoitier
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 55
réf. 128 du service-lecteurs (p. 151)
Pour toutes précisions :
LE TIGRE EST LACHÉ,
Vous recherchez une imprimante
pour votre micro :
Elle doit être simple de mise en œuvre et d'utili-
sation (manuels en français, sélection des para-
mètres par clavier, mémorisation permanente des
paramètres — gestion par ligne).
Elle doit être multifonctions et vous permettre
de passer de la qualité listing (180 CPS) à la qualité
courrier et traitement de texte (35 CPS).
Elle doit être connectable et immédiatement
compatible avec votre micro... quel qu’il soit.
Elle doit être le parfait outil de reproduction de
vos programmes graphiques (tête d'impression 9
aiguilles).
Elle doit être très fiable, avoir une probabilité
moyenne de panne seulement tous les 18 mois et
être cependant supportée par un réseau national
de service après-vente.
Elle doit être immédiatement disponible au
travers d’un réseau national de distributeurs et
de revendeurs compétents et à votre écoute. À
Elle doit faire partie d'une gamme compatible,
évolutive et complète (80 col. 132 col. graphique,
couleurs, feuille à feuille manuel et automatique,
scientifique, APL, etc) SÉRIE SPG 8000 “PAPER TIGER”
Elle doittoujours s'inscrire dansle cadre de votre
budget pour vos besoins actuels etceux de demain.
Elle doit être conçue, mise au point, produite l
et commercialisée par le PLUS GRAND
CONSTRUCTEUR MONDIAL INDÉPENDANT
PRESS DATAPRODUCTS - ZA - Bâtiment Evolic 2. Route du Bua
VOTRE CHOIX EST FAIT... 91370 VERRIÈRES-LE-BUISSON ou téléphonez au (6) 920.77.91
JURIDIQUE,
Contrat de fourniture
de matériels informatiques :
les obligations des parties
Avec ce numéro, nous ouvrons cette rubrique « juridique » qui aura
pour objet d'analyser, en termes usuels, différents aspects de la
législation en vigueur dans le domaine de l'informatique, ou
d'expliquer à la lumière de certains jugements, les « finesses » de la
jurisprudence. Naturellement, les suggestions et questions des
lecteurs seront les bienvenues.
L'informatique, du fait de ses parti-
cularités, a des conséquences juridi-
ques originales que le droit contem-
porain a du mal à prendre en
compte. Les litiges, dans ce
domaine, sont en majeure partie
réglés par le droit commun [1] et non
par un droit propre, entraînant dans
les décisions de nos juridictions [2]
une certaine incertitude qui donne
lieu à une jurisprudence [3] floue,
voire contradictoire (*).
Nous allons essayer, malgré ces
difficultés, de dresser un tableau
relativement précis des obligations
des parties dans un contrat de fourni-
ture d'ordinateurs.
Un contrat de vente ou de location
de matériels informatiques fait parti-
(*) NDLR. — Les chiffres entre crochets
renvoient aux définitions du « glossaire » donné
en « encadré »
Utilisateur
Analyse des besoins
dr
Obligation de prendre
livraison
Obligation de paiement
Obligation de collaboration fe %# Obligation d'assistance
ciper deux parties principales :
l'acheteur, futur utilisateur, et le ven-
deur qui est le constructeur où son
revendeur. Ceux-là ont des obliga-
tions respectives lors de l'élaboration
et de l'exécution de ce contrat.
La figure ci-dessous schématise
les liens existants entre l'utilisateur
et le vendeur, ainsi que les obliga-
tions qui en découlent.
Les obligations
de l’utilisateur (client)
Analyse des besoins : c'est au client
de définir ses objectifs avant de pas-
ser la commande [4], sinon, il
s'expose, en cas de procès avec le
vendeur, à voir celui-ci dégagé de
toute responsabilité après un échec
d'implantation informatique.
Choix du matériel : c'est le client
seul qui prend la décision. Il ne peut
Vendeur
Obligation de conseil
Obligation de livraison
et respect des délais
Obligations des parties
dans un contrat portant
sur la fourniture d'un
matériel informatique.
NOTÉ POUR VOUS Æ
se retourner contre son vendeur, s'il
n'a pas procédé à une information
préalable sur le matériel.
Obligation de paiement : l'acheteur
doit payer le prix convenu. Les prix
du matériel et des logiciels doivent
être distingués. Le non-paiement
peut entraîner des dommages et
intérêts pour le vendeur.
Obligation de collaboration entre
les deux parties : lors de l'implanta-
tion du système, le client se doit de
demander au fournisseur une aide
technique. Si le vendeur prouve que
le client n'a pas suivi les directives
techniques du constructeur, il n'est
pas tenu d'exécuter les réparations
consécutives à une mauvaise implan-
tation.
Les obligations
du fournisseur
Obligation de conseil : le construc-
teur se doit de fournir au client les
éléments d'appréciation dont
dépend le consentement. Cette obli-
gation peut être étendue à celle de
mise en garde qui consiste à attirer
l'attention du futur utilisateur sur les
difficultés et les risques d'une infor-
matisation. Enfin, le vendeur a une
obligation de poser des questions à
l'acheteur sur ses besoins. Le ven-
deur peut être tenu responsable des
conséquences d’un mauvais choix de
la part du client.
Obligation de définir les performan-
ces du système: le vendeur
s'engage à livrer une marchandise
avec des caractéristiques précises,
par exemple: délai de mise en
route ; taux d'erreur de traitement de
données ; performances du système
d'exploitation ou du programme
(exemple, taille d'une base de don-
nées); compatibilités diverses ;
temps de réponse d'un multiposte.
Ces obligations sont définies par
les deux parties qui choisiront parmi
toute une gamme de caractéristiques
diverses. En théorie, le constructeur
qui ne se serait engagé sur aucune
obligation (ce qui est rare) ne pour-
rait pas être sanctionné, mais les juri-
dictions françaises demandent un
minimum d'engagement.
Le fournisseur a une obligation de
résultat, c'est-à-dire que c'est un pro-
fessionnel qui est systématiquement
responsable face à ses engagements.
Néanmoins, les tribunaux tempèrent
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 57
La fiabilité maximum
même dans les conditions d'utilisation
les plus sévères!
Nous avons amélioré la qualité dans les moindres détails pour
que vous n’ayez plus à vous soucier des conditions d'utilisation de
vos disquettes.
BLapochette dutypeHR* résiste à une température de 60 degrés C.
BLa couche de particules magnétiques entièrement testée par
ordinateur procure des signaux fiables et constants.
BUn traitement de surface magnétique extrêmement fin pour
une vie prolongée.
Choisissez les disquettes Maxell pour la restitution intégrale de vos
données!
#) (HIGH-TEMPERATURE RESISTANT)
MREL (domd [MEAXEI
Importateur et clientèle OEM Distributeurs et revendeurs
SIÈGE: Z. |. de Buc - Rue Fourny B. P. 40 Val-d'Argenteuil - 1, place Honoré-de-Balzac supports magnétiques
78530 BUC - Tél.: (3) 956.81.42 - Télex: 696 379 95100 ARGENTEUIL - Tél.: (3) 41.54.54.
Maxell Europe GmbH : Emanuel-Leutze-StraBe 1 4000 Düsseldorf 11: Tél 00 49/2: 11/59 51-0 : K.: 8 587 288 mx d Ÿ la fiabilité
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 129 du service-lecteurs (p. 151)
PAGE 58 — MINIS ET MICROS N° 216
Glossaire
‘ [1] Droit commun : droit s'appli-
quant à tous les différends qui ne
sont pas spécifiques ; ceux-ci font
l'objet d’un droit spécial (droit mari-
time, par exemple).
[2] Juridictions : ensemble des tri-
bunaux, des cours d'Appel et de la
cour de Cassation.
[3] Jurisprudence : ensemble des
décisions rendues par les juridic-
tions. Elles ont une force juridique
réelle et sont source de droit.
[4] Décision de la Cour d'Appel de
Paris du 8 juillet 1981.
{5] Résolution d’un con:
trat = disparition d'un contrat pour
l'avenir.
cette sévérité en retenant parfois
l'erreur ou la faute du client. Le four-
nisseur jugé responsable sera con-
damné à des dommages et intérêts
et, parfois, au remplacement du
matériel à ses frais et même à une
réduction [5] sur le prix du contrat de
vente ou de location.
Obligation de livraison du matériel :
c'est le problème très fréquent des
délais de livraison. En général, les
délais sont contractuellement prévus
et le constructeur doit alors les res-
pecter. Le non respect de ces der-
niers peut entraîner le paiement de
dommages et intérêts ou la résolu-
tion du contrat. Mais le tribunal peut
tempérer la sanction, s’il y a faute du
client ou cas de force majeure.
Obligation d’assistance : les deux
parties ont pu s'engager sur une col-
laboration où le fournisseur apporte
une aide technique lors du démar-
rage ou de la mise en œuvre du
système. Les deux parties ont pu
également signer un contrat de
maintenance où le fournisseur,
moyennant une redevance forfaitaire
annuelle (15 à 25 % du prix hors taxe
du système), s'oblige à intervenir en
cas de défaillance du produit. Le non
respect de cette clause peut entraîi-
ner des dommages et intérêts.
François Sartre
[1 Mentor Graphics Corporation va
NOTÉ POUR VOUS =
acquérir la société Sygnergy Dataworks |
Inc. Cela lui permettra de bénéficier des
compétences d'étude du personnel de Sygnergy
et d'incorporer dans sa ligne de produits à venir
certains éléments du premier produit de
Sygnergy, non encore terminé. Sygnergy
Dataworks a été créée en mais 1984 pour
l'étude, le développement, la fabrication et la
commercialisation d'ordinateurs à hautes
performances destinés à améliorer les postes de
travail de CAO et IAO scientifiques et
techniques. Les fondateurs de Sygnergy
proviennent des sociétés Floating Point Systems
et Intel.
[1 IDC (International Data Corporation), société
de conseil et d'études des marchés de
l'informatique, étend ses compétences à
l'analyse des marchés du système d'exploitation
Unix (logiciels, matériels, canaux de
distribution) en acquérant Yates Venture
(société de conseil et d'études spécialisée dans
l'analyse des marchés d'Unix). Yates Venture
propose une série de services d'information
continue (comme IDC), une lettre mensuelle et
une encyclopédie sur Unix ainsi que des
séminaires.
[] « L'assistance parlée à la saisie
informatique » (Apsi). Ordo et Supelec
Rennes ont conçu et réalisé une maquette
permettant une assistance parlée à la saisie
informatique. Un nombre entré depuis un clavier
est aussitôt répété vocalement par
l'intermédiaire d'un haut-parleur. Le contrôle de
la validité de l'information saisie est donc
immédiat.
Maintenant, chez KOVACS,
les imprimantes
ultra-compactes
SEIRO INSTRUMENTS
Série “Micro Thermal"
4 modèles, de 13 à 40 colonnes, sur papier
thermique de 38 mm à 112 mm.Ex. modèle
MTP 201: 24 colonnes sur papier de 58 mm.
Dimensions 92 x 36 x 20 mm. Poids 50 g.
Alim. tout en 5 Vcc. Vitesse 0,8 l/s. Carte de
commande à microprocesseur en option.
Versions graphiques.
.… Et toujours les imprimantes à impact EATON,
STAR, GEMINI, etc.
Éts KOVACS, 177, rue de la Convention
75015 PARIS (1) 250 89 70 TLX 250839
Pour toutes précisions : réf. 162 du service-lecteurs (p. 151)
TRANSBUFFER
LE TAMPON D’IMPRIMANTE
INTELLIGENT
MEMOIRE TAMPON
« 60 000 » caractères
ADAPTATEUR MATÉRIEL
Centronics
Séries
Centronics
Séries
Séries
Centronics
Centronics
Séries
ADAPTATEUR LOGICIEL
Interprétation et adaptation des codes de con-
trôle (Table configurable en EPROM)
FONCTION PARTICULIÈRE
PRIX :
(HT. AU 1e' JUIN 1984)
Transbuffer
Impressions multiples
2 990 FF
Recherchons distributeurs
M i BP 110 — 95021 CERGY-PONTOISE Cedex
Tél.: (3) 073 52 25 +
Pour toutes précisions : réf. 163 du service-lecteurs (p. 151)
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 59
AIT
2 ARCANE Communication ::°
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 130 du service-lecteurs (p. 151)
Genicom. syr la pistedu
arce que nous innovons toujours plus,
nous vous présentons les matériels
que vous utiliserez demain.
Nos imprimantes ont un design unique
et couvrent une vaste gamme
d'applications, telles que le listing,
le code à barres,
la qualité courrier approchée,
le graphisme et la couleur...
GENICOM est le nouveau nom de ( NE mn a / F. a
la fiabilité pour les grands professionnels OEM, … : ILUIVE
et les utilisateurs les plus exigeants. 1.222. 42, avenue Montaigne 75008 Paris
Re CARS he RE OUT Tnt FC
PAGE 60 — MINIS ET MICROS N° 216
EN DIRECT DES USA
Panorama des Ram
dynamiques 256 K bits :
grande capacité
et fonctionnalités nouvelles
Les fabricants américains de mémoires à semi-conducteurs lancent
leurs Ram dynamiques 256 K bits, après la plupart de leurs
concurrents japonais, mais à temps pour profiter de l'accroissement
rapide de ce marché. Le succès prévisible des 256 K bits est lié à la
demande toujours accrue des concepteurs de systèmes ainsi qu'aux
progrès techniques dont bénéficient ces nouvelles puces géantes.
Aujourd'hui, les concepteurs de
systèmes attendent encore que les
prix des Ram dynamiques 256 K
baissent avant de passer des com-
mandes de masse, d'autant que leurs
homologues à 64 K deviennent plus
compétitives à mesure que leurs tail-
les et leurs prix diminuent. Mais la
conception des 256 K est directe-
ment issue de la technologie des
64 K, et grâce aux avantages qu'offre
leur capacité de mémoire, elles vont
rapidement supplanter leurs aînées
qui n'offrent qu'un avantage provi-
soire de prix.
On pense, dans les milieux infor-
matiques, que les 64 K feront leur
chiffre d'affaires maximal en 1985, et
que les ventes des 256 K excèderont
celles des 64 K en 1986. Le chiffre
d'affaires de celles-ci devrait plafon-
ner entre deux et deux milliards et
demi de dollars l'année prochaine ;
malgré la baisse continuelle des prix
des Ram dynamiques, les 256 K
devraient atteindre un chiffre d'affai-
res de cinq à six milliards de dollars
en 1989.
Les 64K sont vendus 3 $, alors
que les 256 K coûtent entre 30 et
40 $. Les experts estiment que le
rapport de prix devra s'établir à cinq
ou six pour que les 256 K deviennent
compétitives au niveau des systèmes
ou des cartes, ce qui devrait se pro-
duire en 1985.
Le prix n'est pas l'élément le plus
intéressant de cette affaire. En effet,
les 256 K accèdent à de nouveaux
stades de développement et de réali-
sation fonctionnelles, à mesure que
leur emploi se généralise. Tandis que
la technologie des semi-conducteurs
permet de fabriquer des mémoires
plus denses, les concepteurs de
systèmes introduisent de nouvelles
méthodes d'adressage et de lecture
des puces mémoires, qui seront com-
munément utilisés dans le futur pro-
che.
Les premières Ram dynamiques
64 K ont soulevé toutes sortes de
problèmes techniques, imposant des
délais de fabrication et des revire-
ments dans la conception. Les 256 K
bénéficieront des solutions adoptées
pour résoudre ces difficultés, de
sorte que leur marché sera davan-
tage centré sur les nouvelles caracté-
ristiques fonctionnelles.
Le remplacement des 64 K par les
256K s'annonce bien. Il existe
aujourd'hui une meilleure entente
entre les fournisseurs sur les métho-
des de rafraîchissement, les brocha-
ges, l'alimentation, etc. De plus, la
disponibilité des 256 K en technolo-
gie C-Mos est un avantage supplé-
mentaire sur les 64 K. C'est tout au
moins ce que pensent les Améri-
cains.
Intel, Motorola, AMD et National
Semiconductor sont nettement en
faveur des 256K en C-Mos. Intel
vient d’ailleurs de lancer ses trois
premiers modèles 256 K en C-Mos,
et s'est entendue avec AMD pour les
produire en masse.
Les Japonais, quant à eux, ont
tous commencé par la fabrication de
puces N-Mos et ne semblent pas don-
ner tant d'importance, même à long
terme, au C-Mos. Néanmoins, tous
les intéressés s'accordent sur le fait
que la génération des Ram dynami-
ques 1 M bit sera en C-Mos.
Jack Foster (Fujitsu Microelectro-
nics) affirme que ses Ram N-Mos
256 K vont servir à de nombreuses
applications et qu'elles ne seront
jamais supplantés par celles en
C-Mos. En revanche, Hitachi a
l'intention de proposer des versions
C-Mos pour des applications grand
public. Oki n'exprime pas l'intention
d'offrir de version C-Mos.
Bref, si certains ont des idées bien
arrêtées, l'avenir de la technologie
C-Mos n'est pas très clair aux yeux de
plusieurs fabricants de Ram dynami-
ques. Ces derniers ne se prononcent
pas sur l'avenir du marché, car nom-
bre de nouvelles fonctions et de nou-
veaux segments d'application sont
trop neufs pour pouvoir être évalués.
Les nouvelles fonctions
Les nouvelles fonctions mémoire
parmi les plus importantes, sont le
double accès, le mode quartet (nib-
ble mode), le mode page, le mode en
cascade (ripple mode) et le décodage
statique par colonnes. Toutes ces
méthodes contribuent à augmenter
les vitesses d'accès et d'extraction
des données. Ces nouvelles fonc-
tions exigent des circuits supplémen-
taires plus rapides qui dissipent
moins d'énergie en technologie
C-Mos qu'en N-Mos, d'où l'intérêt des
C-Mos, en particulier sur le marché
des ordinateurs portables, en expan-
sion rapide.
Le double accès, déjà utilisé par
Texas Instrument avec ses 64 K per-
met à la fois la lecture de données
mémorisées et l'enregistrement de
nouvelles données. Les données sont
en général stockées de façon classi-
que, mais elles sont transférées dans
un registre à décalage au moment de
la lecture. Après lecture, le cycle
mémoire permet l'extraction en série
des données du registre. cette fonc-
tion s'applique en particulier aux
écrans de visualisation où les hautes
définitions exigent des mémoires
rapides et des extractions de don-
nées par trains en série. Elle peut
devenir très importante pour les
systèmes vidéotex et les postes de
travail graphiques.
Dans le mode quartet (nibble en
anglais), l'organisation physique de
la mémoire se fait par groupes de 4
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 61
= IMl: votre WINCHESTER 5%"
) ÎÂrs de Garantie
ad
DISPONIBLE EN 1/2 HAUTEUR
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 131 du service-lecteurs (p. 151)
21 TECHNIQUES INDUSTRIELLES ET INFORMATIQUES
Avenue des Andes - ZI. de Courtabœuf - 91940 LES ULIS (6) 928.85.50 Télex : 691 031 F
Interface standard ST 506 ou IMI
e IMI réinvente le Winchester 51/4 avec sa série
5000H allant jusqu'à 21M-Octets.
eLe plus fiable des Winchester 51/4 jamais construit.
e Garantie 2 ans.
ePlateaux à films plus résistants que le dépot
d'oxide de fer.
e Absorption de 90% des chocs grace à son
montage sur amortisseurs.
e Nouveau système de compensation en
température.
ePréamplis montés directement sur les supports de
tête augmentant le rapport signal sur bruit.
Disques Winchester :
e Disques souples 5 1/4 ‘et 8”
e Sortie : SASI
IEEE 488
SMD
IBM 676
einterfaces avec logiciel pour :
QG-BUS
BUS 100
APPLE PERSONAL COMPUTER
MULTIBUS
IBM COMPUTER
21 TECHNIQUES INDUSTRIELLES ET INFORMATIQUES
Avenue des Andes - ZI. de Courtabœuf - 91940 LES ULIS (6) 928.85.50 Télex : 691 031 F
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 132 du service-lecteurs (p. 151)
PAGE 62 — MINIS ET MICROS N° 216
EN DIRECT DES USA
|
bits. Cela donne quatre zones de
mémoire identiques sur la puce,
mais leurs données sont recueillies
sur une seule broche sous forme,
d'une salve de 4 bits en série. Cette
organisation peut être facilement
transposée en 4 x 4 bits avec une sor-
tie en parallèle, à condition de rajou-
ter trois broches de sortie.
Dans le mode page, on accède à
une ligne de mémoire, que l'on
« maintient » pendant le temps de
sélection des colonnes. Dans une
mémoire de 256K, normalement
organisée en 512X512 bits, une
ligne d'adresses commande 512
points mémoire (ou une page). Dans
les systèmes informatiques, quaniti-
tés de courtes boucles sont rassem-
blées dans des programmes et sont
exécutées de manière répétitive
avant que le programme ne passe à
une autre zone.
Si ces boucles résident en
mémoire sur une page de la puce
mémoire, on pourra y accéder sim-
plement par sélection de colonne, en
maintenant active une ligne de
mémoire. Les temps de décodage et
de verrouillage pour l'activation de la
ligne sont éliminés ; seul le temps de
décodage et de verrouillage de la
colonne sont nécessaires à chaque
accès.
Dans le mode en cascade, (ripple
mode) conçu par Intel, le mode page
est facilité par traitement en « pipe-
line » des adresses-ligne. La lecture
par anticipation accélère la lecture
des pages.
La méthode de décodage statique
par colonne élimine les verrous qui
maintiennent l'activation de la
colonne. L'utilisateur fournit seule-
ment l'adresse de la colonne ; ainsi le
temps de réponse de la puce se
réduit au temps de décodage de
l'adresse et de sélection de la bonne
colonne. Le temps de déclenche-
ment des verrous des colonnes est
éliminé.
Disponibilités
sur le marché
Fujitsu livre ses Ram 81256 avec
mode page et 81257 avec mode
quartet. Sa Ram 64 K (avec déco-
dage statique par colonne) est réfé-
rencée 8281. Ces composants utili-
sent une technologie d'intercon-
nexion à trois niveaux de polysili-
cium, semblable à celle qu'utilise-
ront National Semicondutor et Moto-
rola.
National Semiconductor propose
actuellement sur le marché des 64 K
à double niveau de polysilicium
(technologie de Oki Semiconductor),
mais n'a pas l'intention de passer au
triple niveau pour ce type de pro-
duits. Ce fabricant se concentre
maintenant sur la génération des
256 K, et préfère ne pas compliquer
ses projets avec les nouveaux modes
d'exploitation. Alan Ankerberand,
chef de marketing des mémoires
Mos chez NS, explique que le fabri-
cant veut entrer dans le marché des
256 K avec une stratégie simple. La
première Ram NS, référencée 41257,
sera organisée en 256 K x 1 bit, avec
exploitation en mode quartet. Par la
suite, sortira la 44256, organisée en
64Kx4 bits avec mode page.
Ankerberand ajoute qu'avec l'inter-
connexion à trois niveaux dont la
production va commencer, NS
revient sur le marché des Ram dyna-
miques.
Texas Instruments a augmenté ses
capacités de production de Ram
dynamiques au Japon. Ses deux pre-
mières 256 K semblent prêtes à sor-
tir sur le marché ; elles en sont au
stade de l’échantillonnage. La pro-
duction devrait réellement démarrer
au troisième trimestre de cette
année. Ces unités sont organisées en
256 K x 1 bit, la TMS 4256 fonction-
nant en Ram dynamique classique et
la TMS 4257 fonctionnant en mode
quartet. Elles sont présentées sous
boîtier plastique à double rangée de
connexions. TI ajoutera ensuite, à sa
gamme 256 K, des variantes à x 4
bits et double accès.
Motorola travaille sur ses 256 K
avec quelques clients privilégiés. Ses
Panorama de Ram dynamiques 256 K bits
AA Temps d'accès
(ns)
National
Intel
Texas Instruments
Motorola
Mostek
AMD
Western Electric (*)
Micron Technology (*)
OKI
Fujitsu
NEC
Toshiba
Hitachi
Mitsubishi (*)
Siemens (*)
Taille de la | Géométrie Type de
redondance
puce (mils) (um)
Laser
Fusibles
Laser
Laser/Fusible
Laser
Laser
SR
ECC
SR
Fusible
0
Laser
Fusible
Laser
SR
PHARE Date Date
6229097 | échantillonnage | 1'° fabrication
2e Trim. 84
Fin 83
Fin 83
.2e Sem. 84
Fin 84
Juin 84
2e Trim. 84
ler Sem. 85
2e Tri 84 ler Sem. 85
Début 85 (*) Milieu 85 (*)
1982 1983
Juillet 84 Sept. 84
3e Trim. 82 (*) Juin 84
ler Trim. 83 Milieu 83
2e Trim. 83 Fin 83
4 Trim. 82 Milieu 83 (*)
2e Trim. 82 Début 83
4 Trim. 83 SR
ler Trim. 84 SR
L'astérisque (*) accolé au nom de la société indique que les renseignements n'ont pas été donnés par la société elle-même mais proviennent de sources dignes
de foi dans les milieux de l'industrie électronique. Il en va de même des (*) après les données.
SR = sans réponse ; la société n'a pas voulu communiquer le renseignement.
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 63
un
PASCAL
POUR
UNIX
HCR/PASCAL
HCR/PASCAL est un compilateur
PASCAL spécialement étudié pour
l'environnement UNIX.
HCR/PASCAL traduit le PASCAL
en code C et peut donc être utilisé
comme un translateur de PASCAL
en C.
HCR/PASCAL est disponible sur
PDP11, VAX, Perkin Elmer, et peut
être facilement porté sur toute ma-
chine UNIX basée sur les micros :
16032, 68000, Z8000, 8086.
Principales caractéristiques :
Conforme aux standards ISO et
ANSI.
Accès direct à tous les appels
système et bibliothèques de sous-
programmes UNIX.
Librairie d'interface avec les fi-
chiers UNIX.
Appel direct de sous-program-
mes C.
Manipulation des chaïnes PAS-
CAL UCSD.
Préprocesseur de macros.
Manipulation des arguments
d'une ligne de commande UNIX.
SICOB
Stands N. 4213 à 4219
Niveau 4 Zone B
Association Française
des Utilisateurs d'UNIX
Expo. des 30 et 31 octobre
Hotel PLM St-Jacques
135, rue d'Aguesseau - 92100 Boulogne
Tél. (1) 603.37.75 + Télex 205 977 F
HCR/PASCAL ® HCR
UNIX ® BELL LABS PDP 11 et Vax ® Dec
Pour toutes précisions: réf. 133 du service-lecteurs (p. 151)
PAGE 64 — MINIS ET MICROS N° 216
EN DIRECT DES USA
deux premiers produits seront les
MC 6257 et 6256, organisés en
256 Kx 1 bit, et travaillant respecti-
vement en mode quartet et en mode
page. Le modèle 6257 sera échantil-
lonné dans le courant du deuxième
semestre 1984, et la production
devrait démarrer au premier trimes-
tre 1985. Le modèle 6256 devrait
suivre le même calendrier à quelques
semaines près. Ces deux modèles
sont en N-Mos, mais Motorola tra-
vaille également sur le C-Mos et
devrait adopter le décodage par
colonne et la technique de casca-
dage (ripple mode).
Intel s'est engagée à fond sur le
C-Mos, de sorte que les prix s'en res-
sentent : 115 à 180 $ pièce par quan-
tité de cent.
Le tableau ci-dessus dresse un
panorama de la situation actuelle
(juillet 84) du marché des 256 K.
Stan Baker
Accord AMD /LSI Logic
sur les réseaux prédiffusés
et personnalisés
AMD et LSI Logic (*) ont passé un accord de coopération qui durera
jusqu'en 1990, pour la fabrication à la demande de réseaux
personnalisés (standard cells). L'accord, qui porte sur des échanges
d'ordre technique et technologique aussi bien que d'ordre financier,
donne également à AMD la licence de fabrication des réseaux
prédiffusés 21 de la gamme LSI Logic.
Les réseaux prédiffusés C-Mos fai-
saient déjà parti d'un accord anté-
rieur entre les deux firmes, puisque
AMD avait la licence de fabrication
des réseaux bipolaires ECL qui cons-
tituaient la toute première gamme
des produits LSI Logic. Le nouvel
accord s'étend à d’autres produits en
technologie C-Mos. Le projet de coo-
pération sur les réseaux personnali-
sés s'applique immédiatement, mais
il faudra probablement attendre
deux ans avant que n'apparaissent
les premiers résultats.
D'après Keit Lobo, Directeur du
développement des produits nou-
veaux chez LSI Logic, bien que les
détails du programme restent à défi-
nir, les termes de la collaboration
des deux entreprises sont clairement
fixés.
Le projet prévoit la mise au point
de plusieurs centaines de cellules
SSI, qui contiendront les fonctions
déjà offertes par les réseaux prédiffu-
sés de LSI Logic. À un stade supé-
(*) NDLR.- Rappelons que LSI Logic est repré-
sentée en France par Jermyn. Voir également
«minis et micros », n° 210, où sont analysés les
réseaux de LSI Logic.
rieur, des cellules comprenant des
Ram, Rom et Pla seront mises au
point, qui permettront à l'utilisateur
d'adapter ces fonctions à tous les
types d'architecture. Au troisième
stade de complexité, les « mégacel-
lules », comporteront des instruc-
tions de calcul à grande vitesse, prin-
cipalement des fonctions arithméti-
ques, mais aussi des cellules micro-
processeurs.
Actuellement, les deux sociétés
travaillent sur leur propre pro-
gramme de réseaux personnalisés,
chacune d'elles disposant de petites
bibliothèques pour pièces à la
demande, bibliothèques qui consti-
tueront la base du programme de
coopération. LSI Logic a d'ores et
déjà mis au point des réseaux per-
sonnalisés pour ses clients grâce à sa
bibliothèque.
Keit Lobo insiste sur le fait que,
dans le nouveau programme, les cel-
lules seront dites «structurées ».
Aujourd'hui, les réseaux de la plu-
part des fabricants sont rectangulai-
res et leur taille ne peut varier que
dans une direction à la fois, de sorte
que leur « puissance » est en quelque
sorte figée. Les «cellules structu-
TECHDATA
DATAVUE 80
Le DATAVUE 80 est un ordinateur
à l'architecture avancée. Le sys-
tème CP/M est disponible en confi-
guration multi-utilisateur jusqu'à
8 postes. Dans un environnement
multi-poste DATAVUE met à la dis-
position de chaque utilisateur un
microprocesseur Z80 A et 64Koctets
de mémoire RAM.
Un microprocesseur supplémentaire
assure les fonctions des disques.
De ce fait chaque utilisateur obtient
une réponse instantanée même
quand les 7 autres sont en ligne.
Le Système Multi-utilisateur
3 disques (2 WINCHESTER, 1 mini-
floppy). Un utilisateur peut se voir
attribuer en propre une ou plusieurs
partitions de disque, ou bien deux
ou plusieurs utilisateurs peuvent se
partager une partition commune de
disque.
De plus n'importe quel CPU peut
être consacré au BATCH PRO-
CESSING.
Sur le DATAVUE 80 toute console
présentant la norme RS 232 C est
utilisable.
Nous vous proposons les INTE-
COLOR 2400, 8000, VHR 19 ou le
DATAVUE 132 colonnes.
Chaque utilisateur dispose d'une
seconde sortie RS 232 pouvant
être utilisée pour une imprimante,
un plotter, un modem ou un autre
périphérique. Une sortie parallèle
commune est disponible pour tous
les utilisateurs.
Le DATAVUE 80 peut être configuré
pour de nombreuses applications.
Tous les logiciels standard CP/M 2.2
fonctionnent sur le système incluant
par exemple la gestion de base de
données, le traitement de texte et
le planning financier.
Le DATAVUE 80 comporte jusqu'à
Techdata 40 rue des Vignobles 78400 Chatou - Téléphone ; (3) 952.62.53 - Télex 698 979
TE) (Sud-Est), immeuble L’Orée d’Ecully, chem. de la Forestière - 69130 Ecully. (7) 833.15.44 - Télex 375 964
USA : Techexport, INC. 244 second avenue - Waltham, Mass 02154 - Tel. (617) 894.00.92 - Telex : 951262.
UNITED KINGDOM : Techex, Limited. 5b Roundways Elliott Road - West Howe Bournemouth Dorset BH 118JJ - Tel. (02016) 7 1181 - Telex 4 1 437
W. GERMANY : Techdata GMBH. Wallersheiner Weg 13.19 - D-5400 Koblenz - Tel. (261) 80.10.75 - Telex : 8 62 400 teg d.
SUISSE : Techex AG. Chimli Maert Bahnstrasse 18 CH-8603 Schwerzenbach - Tél. (01) 825 09 49 - Telex : 57033 CH.
ITALIE : Techex S.r.i. ASSAGO (MILAN) Milanofiori - Palazzo A/2 - Casella Postale 3384 - 20089 ROZZANO - Tel. (2) 82.40.313.
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 134 du service-lecteurs (p. 151)
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 65
NOTÉ POUR VOUS
Shughart France annonce la création
de Shugart Assistance (tél. : (3) 946 42 66)
à Vélizy Villacoublay. Ce nouveau service
assurera la réparation de la gamme de
disquettes Shugart et des contrôleurs de disque
de toutes marques.
[] Deux contrats pour Shugart avec sa
micro-disquette SA 455 (double face, 48 tpi,
500 K octets de mémoire non formatée) : le
premier (3 M$) avec Zenith Data Systems pour
sa série Z 100 PC compatible IBM (3 modèles de
bureau et 2 portables) ; le second (8 M$) avec
Mindset Corporation pour son PC compatible
IBM destiné à la CAO.
[] A2M complète son catalogue de
produits compatibles IBM-PC avec les nouvelles
cartes d'interface et d'extension développées par
la société Tecmar. Les cartes proposées sont
des extensions mémoire, cartes vidéo de
synthèse et reconnaissance de la parole, cartes
de communications, interfaces industrielles et
scientifiques, extensions disques. Elles
s'adaptent aux micro-ordinateurs Hyperion,
Columbia, T.I. Professional, Televideo, Corona,
Panasonic, Eagle et Compaq. Développements
en cours pour d'autres modèles de compatibles
IBM-PC.
[] Efisystème et Welect ont signé un
accord de collaboration commerciale et
technique pour créer la première source
européenne de cartes et systèmes industriels au
format Multibus. Cette collaboration consiste à
élaborer en commun les nouveaux produits,
maintenir la complémentarité des gammes,
additionner les deux réseaux de distribution
France et étranger, fusionner les catalogues et
les tarifs. L'ensemble du CA des deux sociétés
devrait atteindre 45 MFF en 1984, l'objectif pour
1985 étant de 60 à 70 MFF dont 20 à 25 % à
l'exportation.
[] Métrologie crée une nouvelle
activité : le « consulting », pour les utilisateurs
de produits Intel (cartes SBC, systèmes 86/3XX,
iRMX 86, 88, 286). Ce service propose
l'intervention d'ingénieurs pour des actions
ponctuelles dans la conduite de projets
organisés dans un environnement Multibus et
iRMX.
[1 Promotion de SGBD sur SM 90. Dans
le cadre de leur stratégie de promotion du
matériel SM 90, l'Agence de l'Informatique
entreprend, avec le soutien du Cnet, une
évaluation et un bilan des produits susceptibles
d'être utilisés sur ce matériel. À cette fin, elle
lance deux actions distinctes, l'une vers les
industriels, l'autre vers les laboratoires de
recherche. La première vise à recenser les
projets de transport d'un système de base de
données déjà commercialisé vers le matériel
SM 90 ; la seconde a pour objet de favoriser la
commercialisation de produits très avancés. Les
industriels et laboratoires intéressés ont jusqu'au
30 septembre 1984 pour faire connaître leur
candidature. Renseignements : Pierre Rotman ou
Jean Croize-Pourcelet au (1) 793 34 98.
[] Accord d'échange technologique
entre Altera et Intel. Aux termes de cet
accord, Intel transfèrera sa technologie CH-Mos
pour les mémoires Eprom à Altera et aura la
possibilité de fabriquer la ligne de produits
programmables électriquement d'Altera.
PAGE 66 — MINIS ET MICROS N° 216
|
EN DIRECT DES USA
rées » permettront de réaliser des
réseaux caractérisés par une puis-
sance variable et une taille qui
pourra varier à la fois en longueur et
en largueur.
Ces différences, simples en appa-
rence, donneront une plus grande
souplesse dans la disposition et le
routage, permettant d'atteindre des
vitesses plus rapides et de réduire la
taille des puces. De même que les
réseaux personnalisés habituels sont
environ 30 % plus grands que les cir-
cuits à la demande (plus faciles à
optimiser), Keit Lobo assure que les
cellules structurées permettront une
économie de silicium, sans pourtant
préciser de combien sera le gain
d'espace.
Regard sur LSI Logic
La gamme des réseaux prédiffusés
LL 7000 de LSI Logic n'a pas encore
atteint un rythme de production
élevé. Ces produits, qui resteront
classés «technologie prototype »
jusqu'à la fin du premier trimestre
1985, atteindront leur rythme de pro-
duction fin 1985. Environ 30 % de
l’activité de conception de LSI Logic
est centrée sur la série des LL 7000
2u (réseaux prédiffusés fabriqués
aussi par Toshiba qui, jusqu'à pré-
sent, a fourni le gros de la produc-
tion).
La nouvelle usine LSI Logic à
Santa Clara (Californie), d'une capa-
cité de production de 4 000 tranches
de silicium par semaine, ne fonc-
tionne qu'au tiers de sa capacité et
devrait atteindre les deux tiers avant
la fin de l’année.
LSI Logic (une des sociétés de
semiconducteurs qui se développe le
plus rapidement), devrait voir son
chiffre d'affaires dépasser 100 M$ en
1984 alors qu'il se montait à 38 M$
l'an passé. Ce chiffre d’affaires en
pleine expansion indique que les
coûts de conception sont à présent
contrebalancés par des productions
de masse.
Stan Baker
Réseaux locaux :
la bataille
entre S Lan et Cheapernet
Les efforts de standardisation de Cheapernet, version économique
d'Ethernet, ont reçu l'aval du comité IEEE 802.3 lors de sa réunion
de la mi-juillet. Le projet Merlan a été abandonné en faveur du projet
S Lan proposé par AT&T, sans qu'il reçoive pour autant le feu vert
du comité pour passer au stade de la standardisation.
Les partisans de Cheapernet ont
acclamé la décision unanime du
comité de soumettre leur projet au
vote de la totalité de ses membres,
vote qui montrera si le projet a
l'assentiment du plus grand nombre
afin de passer au stade supérieur. Les
résultats seront présentés à la pro-
chaine réunion du comité qui se tien-
dra à San Diego, fin octobre.
Rich Brand, chef de produits chez
National Semiconductor, pense que
les résultats seront favorables au pro-
jet, d'autant que les problèmes tech-
niques ont été réglés. NS a soutenu
le projet Cheapernet en annonçant, il
y à quelques semaines, la sortie de sa
puce compatible avec ce réseau. Sa
nouvelle gamme de puces Ethernet,
disponible sur le marché depuis peu,
s'appliquera à Ethernet ou à Chea-
pernet, qui ne diffèrent que par le
matériel, les caractéristiques électri-
ques et de protocole restant identi-
ques (en particulier, ils fonctionnent
à la même vitesse : 10 M bits par se-
conde).
D'après R. Brand, Cheapernet sera
la version principale d'Ethernet et
ses connexions coûteront environ
deux fois moins cher.
AT£&T veut aussi
son standard
L'autre version économique con-
currente est le S Lan ou Star Lan
\
Pa om
péntbié SO :
200 MILLIONS LE
CARACTÈRES ?
MON ŒIL !
151)
référence 135 du service-lecteurs (p.
LMPRIMANTES OKI MICROLINE :
LES INCREVABLES
OKI Microline
C'est la tête d'impression qui fait l'imprimante. C'est à elle
qu'on doit la qualité d'impression et la fiabilité de la machine.
Celles des OKI sont de très haute précision et conçues pour
une durée de vie de 200 millions de caractères.
A l'usage, ça finit par se remarquer. C'est sans doute
pourquoi plus de 50.000 imprimantes OKI ont déjà été
vendues en France par Métrologie.
Renseignez-vous : la gamme Microline est complète et
couvre tous vos besoins.
AMETROLOGIE
L'avance technologique, le support, le service.
Paris : Tour d'Asnières - 4, avenue Laurent Cély - 92606 Asnières Cedex - Tél.: (1) 790.62.40 - Télex : 611448 F
Aix-en-Provence : (42) 26.52.52 - Bordeaux : (56) 34.45.29
Lyon : (7) 801.45.33 - Rennes : (99) 53.13.83 - Toulouse : (61) 59.25.91 - Strasbourg : (88) 34.79.19
BAT-BACHELIER
OKI 1, veuillez m'envoyer votre documentation ou prendre contact avec moi.
Monsieur : _ —— : Société :
Adresse :__
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus :
EN DIRECT DES USA
(réseau local en étoile) proposé par
AT&T en février dernier au comité
IFEE 802.3. A cette époque, un
groupe d'une douzaine de sociétés,
dont Intel, NCR, Wang et Tandem
Computers, essayaient de faire
accepter le concept dit Merlan.
Depuis, ce même groupe a aban-
donné le projet pour se joindre à
ATET et S Lan. Avec un jeu de puces
spécialement conçu pour S Lan, son
prix de revient serait de 50 $ par
nœud alors qu'il sera de 100 $ pour
Cheapernet.
Merlan fonctionne sur le même
principe qu'Ethernet — réseau de
base utilisant un câble coaxial —
mais à une vitesse moindre (1 M bit
par seconde), tandis que S Lan est un
réseau en étoile qui peut avoir
jusqu'à vingt-quatre postes de travail
utilisant les câbles téléphoniques
qui, selon AT&T sont déjà installés
dans 70 % des bureaux.
Les tronçons de S Lan viendront
de l'armoire du système téléphoni-
que et occuperont les lignes déjà ins-
tallées mais non utilisées. Les postes
de travail sont raccordés aux lignes
par des interfaces de type RS 422.
Tout en réduisant les coûts par un
câblage plus simple et des vitesses
modérées, les concepteurs de S Lan
essaient de conserver les caractéristi-
ques du protocole d'Ethernet. Les
branches de l'étoile, qui peuvent
avoir jusqu'à 2 600 m de long, par-
tent du « cœur » du système conte-
nant un bus d'un mètre de long.
Un circuit émetteur-récepteur
constitue l'interface du «cœur »,
mais il n'effectue aucune tâche de
protocole. Trois cœurs peuvent être
chaînés de manière que l'encombre-
ment de bus ne survienne qu'au
cœur de plus haut niveau.
Don Loughry, chef de projet de la
division réseaux d'information chez
Hewlett-Packard et président du
comité, pense que les études sur S
Lan sont en bonne voie et que les
ingénieurs qui y travaillent ont pu
répondre de façon précise à de nom-
breuses questions posées par le
comité. De plus, ils ont choisi une
vitesse de transmission, une topogra-
phie, un type de support de transmis-
sion plutôt qu'une gamme de chacun
de ces éléments.
Pourtant, seulement 35% des
membres de son comité ont appuyé
e Micro-ordinateurs modulables
par micro R 6502
e Extensions par cartes RM 65
e Affichage intég
Pour toutes précisions : réf. 136 du service-lecteurs (p. 151)
NOUS FABRIQUONS TOUS TYPES DE BUS,
FONDS DE PANIER STANDARDS ET SELON
VOS SPECIFCATIONS.
En aremmanonus, DE |
Jacités mémoires 1 K à 48 K Ram
e Unité centrale et pilotage des fonctions
ré: 20 ou 40 caractères |
e Imprimante intégrée : 20 ou 40 caractères |
|
|
1
MICRO-ORDINATEURS
ROCKWELL AIM/65 -AIM/65-40
gratuite sur les micro-ordinateurs
Rockwell
Nom
Fonction
Société
Adresse :
Tél: _ —_—
4 88, av. du Gal.-de-Gaulle - ECKBOLSHEIM
67200 STRASBOURG
Tél. (88) 78.20.89 = Télex : 890 266
famille R6500 - 8 bits-NMOS
PAGE 68 — MINIS ET MICROS N° 216
Ni
R65 La { à 1
R68000-k6 bits -HMOS
le projet S Lan au stade de l'évalua-
tion, l'empêchant ainsi de passer au
stade de la standardisation. Il reste
en effet des questions en suspens : ce
projet répond-il à un besoin bien
défini ? Dépend:il des travaux du
comité? Peut-il être considéré
comme un projet à part entière au
sein du comité ? Est-il économique
ment réalisable ?
Le comité ne désire pas fournir
deux solutions à un problème. Il
estime que S Lan fait double emploi,
car il a déjà donné son accord pour la
standardisation de systèmes dont
l'un fonctionne en bande de base,
comme S Lan. De plus, S Lan est pré:
senté comme un système économi-
que, comme l'est déjà cheapernet.
Cependant, beaucoup pensent que S
Lan est original par rapport aux
autres propositions et standards exis-
tant. Ce n'est donc pas un coup
d'arrêt au projet, mais plutôt une
hésitation avant de donner l'accord
de standardisation.
Les ingénieurs travaillant sur S
Lan doivent se réunir prochainement
pour régler un certain nombre de
questions émanant du comité. Don
Loughry se joindra au groupe de tra-
vail présidé par David White des
laboratoires Wang et participera à
l'évaluation de la validité des critères
selon lesquels ils doivent travailler
pour satisfaire le comité 802.3.
Robert Dahlberg, Chef de produits
de réseaux locaux chez Intel, estime
que le groupe de travail a prouvé la
faisabilité technique et économique
de leur projet. Le groupe soutient
qu'Ethernet et Cheapernet sont trop
chers en regard des applications,
alors que 1 M bit par seconde est une
vitesse tout à fait suffisante. à
moins qu'il y ait, sur le réseau, un
poste de travail CAO à hautes perfor-
mances, connecté à un serveur de
fichiers à grande vitesse. R. Dahlberg
explique qu'il existe un besoin de
standardisation et que le groupe
favorable à S Lan préférerait travail-
ler dans le cadre du comité et de ses
standards, sous-entendant toutefois
que les travaux sur S Lan continue
raient même si le comité rejetait ce
projet.
Dahlberg souligne que S Lan est,
après seulement six mois d'étude, au
même point que l'était Ethernet
après deux äns de travail.
S.B.
O0 0" Ge DOTE OSEO 0: 070
H © ! D OU VU : 3 SL % = © DLLD I RE _ Ve BL |
SÉESSSTELST ESS ÉD SseszdmIcs A SE 253 2 |
S 3 Oo -— CR ss : a X + — € æ
BH RSESLESESE go v-208MwES A E:É2 E£o 3Ë
v=TÉE ‘+ à 2 2 E.= 9 2 E £ LOoSE à =.< £ co eu
D 7 £= 0,9 3 = Se PA 0 & QUE + à e € D E
QD S + by Di Sc ES 43 225: ne à € 4 = = © D *
az 2 VV TEL EANpPE 0 D > ES £Sh.S 82 A SE 9 7, SE EL
ri 9 = D = s ni . = ra
2LREÉS .30 O0 3%es 2x 35273 7-7 ? DS 2H,LE CZ
25576 S-S ho TS L E g.® CES D-= à 0 2 ST: 2 Z <
DGSéLSBpsSsTSTS SE Led SET { 85..2,8s Ge € = Ft)
> SE De x, £a S n © SE Ë TE ss D, O 53 .. AL —'O Œ ©
0. © 2 5 V0 v = ns o Ssmz32".2 pa OU =
LR LSSS ES. LD ms Se LÀ © ss 232% 6 S5A0%©0s = 2 = 2 ©
V5 203360 S à ge VHS V Zen = 2202So3z Z 9 |S=S
< 1 7 9 a cC2a « D 7 D — «O 250 œ 2 de
0 LDEE= MER OF 20 ,É2 0 LSSLE SSÉÈSCSER 34 > © ©@
Doi 5stspmsiers Ed bo s<25ss SULTAN Enm à CLR -
ÉSvVES TR STIET SEM ue s>-mz-e£ LS sn 6 3 D + 4)
ESSÈnsutDsEs DhRÉSZESELSS ES ST LLLE LE ET)
2 3 € 220 9%2ASTEu 2 Z T9 72e. D © 0 5 à 3 & [E]
Pavog 2:2S RCE RLÉS=ÉSLÈXLET 0 LKSST 2 Ë = D'=
LES = STE 520% &.0 ST DTÉE°GE 3 34 = 5 à T2 | = Fund
Lu sLS TOC SrLernSs 200 0 va 2<8xEZz LE S'=
= — EL = &: SES E © = o e + 0 5 Q £ 7 a -—|
O AE d à : A pm 3 Ei D. 50 Qi 53 A D ©
20? DÉÉETDS LS 9 o 2207 s ,mrk 052 6 #8 &0 55 = =
£ É Go = E = ZT ‘ VE ki > 2 ; MES pe)
QT <RASELIN 3 S3MESrEr LeT ; = S 6 LE EZ Z3Z © ©
Eu.2 LOT Er o2s ELDXEC 7 32° ; ) E 5% 7 A
AT S vo SE QU = KXÉE9eZ os: £a LA 5 £ < x
LEVÉE DE OUT SES 2 -SCa7ss0e 4 \ 254 SE œ
2h26 LE. 9 ££0E re 2ZS SO ÿ dE ZE o
DDTTeLsTLSSEÉS«RSGUCHE ; NS 2e 2
DARRLERT RIQRERSSQRU EE. O0 S ” mn Ÿ + l
LL — LL L LL LLDTTOUAOAOÔMOTMMTTWNWLINOWIWi
_ _ _ LD DÎUIN SIVIT LOOHTTAAOOMOAOOINYIWL
777777777777 7 2 7ZZZZZ 1 LD OGGTWNUUa_aNUTUUUWWWWWb
Je
LL, D "EN Li 2 h ns
" ? L
2 .. I | DES
vs EE === EE === = s=—
DE E E=2—=- —— EE
EE ==== = === == === = = + D 22222000
VV V0VW0VWVTIJD 7 / = — / Pd//ODOTI
Di dd | DD _—— re —
2 LOTO } Z
VI OOVWUWWWL LL 7 an \ \ | |} dE
ne 4e gs nr
CZ ___ LD | | € 4 LL ne LLLDODDOOD
WI A CL LU D////DUVUVNTO.SJÜÜÜÜi“L’L“ELEAÀL
W LL
a. DD LLNTL\W
V0 CL
É ii LU
RE LR IEER LUS LURLLRSS tn
151)
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 77
2
E
&
n
Rp EL
7 ,
5 n°0
5 D£RE
RARE
E22e
e0æ&rTL
VIS =X
AQugSY
V VON
D D =
<SSÈE
4 ©
| LS
as
O4
D 2 €
PL
1qNd4 UOIj2917 UOHEIIUNUUOID FINVOHV
référence 137 du service-lecteurs (p.
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus :
D ie CS? QE
DDR PPT PTIT PRO
a ue
SuoniSodxa pue Sa2u31a}u09 O
. te 1e1ndu09 0 129np01d Guipeal s,p1om AU dd à 4 2 :
D BÉS 9e
Z BYLE=S cv
CL Es Ÿ 5 + D £
| OO ssfte ,50
. . ü = £ Sw ME
D A Le] + — O3
2 10 Sins See
/ = U ras
LL O 238550 DÉ % v
E ’ — = +» TV
Sgiss See
10 8 à S v E € ©
Ls k £ D © 5
7. . Ivtsis 858
777 o RSS Sr u,
_— _— - —_— 1508, SL So E v
: JÉ5SSSS ÈS
cc LL O
LDDDO077TOOÔMMÔMMWIIIW | |
777777777770 2 D Ce
L RTE
LOI LD 2 © É.:
LMD TN _ 838
WWWUNomnyOmOm>9v0€%WVWV AO HW 2 0 224
ei 8È8
: + LEE
| | LSSS
0 LD O | ne
— / — a RISE "
hi ii_H_i_iiiL nn a ÉCE >L 10209 Ses 0 da EL 35
_ofed/pieequod | L IN: ee pt 100! ‘0002 *X0g ‘O4 ‘Afipl °SLv 991 oO ur, Ês se
ee —— : SE EN | HR
y, © sé Ts
III 2 À ñ S
WOW Li oe D 7 2 O SE pe
PA) 2555550858: TE pee EME )
£ DHEA LS VD s—s GOT s2520Q 8%8 LoS
(2) VOLÉS Pope, Egset Es pass Bo 27
0 © © & & De K — + £ 2 Lo 'v T Do S=:2
er | [e] SO vEwzLsos DH—-E+vOoS LVLSu x SX 0 5e
n Dai md Sn LDOvSIT Es > Luoiat 85 £oR
pr] Sp UE US ÉS de loss _ Pat, 26688 FSU É
=.2% So) c nIL£V_UYOUSX SEDVS S20D, SL %
CR ZLEsrSinRés lie vs Sr R Es nee Ésesase
02092z>-2 006350 ERV ra vo LE LT SnEoLe£
Fr VO 2 DE Sen Sc 0LE0n" 3 d223589" SL2S5S%S
A) si<Seiiézséoez 22250500, 239520 Pas cie
FA, sénez or 8Sess. BE re puces vas OS AXE
A Sn 5s tonrisé CSÉSÉSÉ en BScs—e AE
EC 58,255," tes 6922359 72So SÉCES,
Z DH Se LRSLRHSVUS 55 23 SU 0 © 5 à © À
Al PH SasESSsDgrt 2Égeronese Sous
É<y 580 $Aa8<$aeu AS ERV25 0 DITES (LSE ‘d) sinejoej-eomnies np 9£1 ‘jai : suoisioeid sejnoz 1n0d
PAGE 68 — MINIS ET MICROS N° 216
Teamcomputer
d’Altos,
ce concept qui fai
la différence.
et nos partenaires
font donc la différence.
ALTOS Computer Systems
4, rue Diderot
92150 SURESNES
Tél. (16.1) 772.26.62
TIx. 614805 ALTOS F
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus :
ARCANE Communication Création Public
Cette notion essentielle développée par
ALTOS met fin à une ère d’individualisme
et de diversité de matériels et permet d'ac-
célérer le flux de travail dans un groupe
en rapprochant les utilisateurs. Chaque
projet est relié à tous les autres au sein de
l'unité de travail, ce qui génère l’efficacité
et l'esprit d'équipe essentiels à la réussite.
Le TEAMCOMPUTER : un nouveau
concept mis en pratique par ALTOS sur la
gamme 586/986, micro ordinateurs multi-
utilisateurs supportant jusqu'à 9 terminaux
grâce au système d'exploitation perfor-
mant XENIX*.
La gamme 586/986 utilise les processeurs,
coprocesseurs 16 bits et contrôleurs de
périphériques d'INTEL.
XENIX* garantit une mise en œuvre sans
problème de votre application, et de l’in-
tégration au sein du réseau de communi-
cations de l’entreprise : les TEAMCOM-
PUTERS peuvent être connectés
aux réseaux TEAMNET et ETHER-
NET**. Ils peuvent aussi dialoguer
avec d’autres unités centrales, avoir
accès à des banques de données,
à partir de
" chacun des terminaux.
2 Le coût? Voici un des points
et forts d’'ALTOS :
| ALTOS propose un système complet
à 2 terminaux pour 124.700 F HT. Un ex-
cellent rapport performances/prix que seul
le TEAMCOMPUTER peut obtenir.
*XENIX est une marque déposée de MICROSOFT Inc
**ETHERNET est une marque déposée de RANK XEROX
partenaire et faire
| aussi la différence.
Société
Code postal Ville
| Adresse
Fonction
référence 137 du service-lecteurs (p. 151)
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 77
ARCANE Communication PARIS
TRACOR : votre
Pour assurer un support réel, seul interlocuteur
vraiment professionnel, ER L . ee en matière
Tracor s'est spécialisé dans assé LE de terminaux.
la distribution de terminaux à
écran, et propose une gamme
complète en performances
et caractéristiques, le conseil
de spécialistes, un service
après-vente efficace, FFE
C-ITOH ; QUME
Le spécialiste du comptabile DEC BEEHIVE Eurobee La performance ‘‘’LOW COST”.
Haute définition, 14”, ET es. L'ergonomie EUROPEENNE. La sou- Le plus petit des grands terminaux.
Graphique compatible TEKTRO- plesse d'adaptation. Le clavier 100% Nombreuses émulations.
NIX. Ecrans noir, vert, ambre et français. Les compatibles: DEC, HP, BUR-
couleur. ROUGHS, IBM. Les émulateurs: ADDS,
HAZELTINE, LSI, TVI, MAI... ANSI3.64/ECMA 48
Divisi CE 1447 - Petite Mont Sud
Tracor France »érriques 4, Aée qu cantai.o1020 evay cenex (0) 079.06.66
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 138 du service-lecteurs (p. 151)
LA PETITE CACHE
BIEN SON JEU
INTRODUCTEUR AUTOMATIQUE FEUILLE A FEUILLE.
14 CARACTERES/SECONDE, MARGUERITE 96 CARACTERES EN CASSETTE.
RECOPIE DE TEXTES, INTERFACES V24 ET PARALLELE.
MACHINE A ECRIRE ELECTRONIQUE.
Grâce à son clavier connectable, la GETEX D-14 se transforme en machine
à écrire électronique avec touche de correction.
GETEX D-14
L'Imprimante à marguerite de
Geveke
electronics
GEVEKE ELECTRONIQUE SA
85/87, avenue J.-Jaurès 92120 Montrouge - Tél. : 654.15.82
l'Agence Sud-Est (Lyon)
2, rue de Savoie 69800 Saint-Priest - tél. : (7) 890.82.12
Société Nom
Adresse
| x
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 139 du service-lecteurs (p. 151)
PAGE 78 — MINIS ET MICROS N° 216
LE SPI CRÉE
LE LABEL 100/
Par lui la Presse Industrielle vous garantit sa diffusion OJD
Depuis dix ans, des mutaïions sans précédent ne cessent de boulever-
ser notre industrie.
La Presse Industrielle, consciente de son rôle, y fait face. En adaptant ses
titres aux besoins nouveaux en information. En se dotant d'équipes du plus
haut niveau professionnel, tant journalistique que technique. En privilégiant
l'innovation.
Aujourd'hui, le pari est tenu. La Presse Industrielle s'avère à la hauteur de sa
vocation : ses titres couvrent à travers leur spécialisation tous les domaines et
secteurs industriels et constituent pour 1 500 000 décideurs l'outil indispensable
de la compétitivité de nos entreprises.
C'est dans le droit fil de cette mission que vient d'être créé le LABEL 100%. Par lui, 1e vous remercie de bien vouloir
désormais, tous les éditeurs membres du Syndicat de la Presse Industrielle, le SPI, vous”. "977976 éperere
garantissent à 100% la véracité de leurs chiffres de diffusion : ils sont contrôlés OJD. ‘. Nm:
Plus que jamais la Presse Industrielle occupe ainsi, à travers sa spécificité, sa juste place ‘ Société .......................
au sein de la presse française. D Adresse ns. nie nsc sshot ns
Le LABEL 100 %. Une nouvelle étape pour que l'industrie se reconnaisse dans sa presse.
Nous aidons à construire l’industrie de demain. : Re
SPJ
SYNDICAT DE LA PRESSE INDUSTRIELLE
6 bis, rue Gabriel Laumain
75484 Paris Cedex — Tél. : 824.98.30
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 140 du service-lecteurs (p. 151)
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 79
68 000 + VIVIE :
L'AVENIR EN MARCHE.
CPU-1 B, CPU-2, CPU-3.
CE er … CONTRÔLEUR WINCH.
A EPROM/RAM STAT.
INTERFACE SAS.
2?
Sico
St o B
‘st nd GS (nivea
and OEM {n° 614 3 D)
a “à
CARTES ET SYSTÈMES 68000/BUS-VME K LE
Une large gamme européenne au standard VME.
Une technologie de haut niveau. Des prix ultra-compétitifs.
CARTES DOUBLE-EUROPE :
e SYS 68 K/CPU-1 :
CPU 68000 8 ou 10 MHz,
128 Ko DRAM, 64 Ko EPROM,
3 RS 232.
e SYS 68 K/CPU-2 :
CPU 68000/68010,
256 K/512 K/1 Mo, Arbitre Bus.
e SYS 68 K/CPU-3 :
CPU 68000/68010, MMU, DMA.
e SYS 68 K/DRAM-1/2 :
512K à 2 Mo.
e SYS 68 K/SASI :
Interface SAS.
e SYS 68 K/S 10-1 :
Entrées/sorties.
Agence Ouest :
1, rue Julien Videment - 44200 Nantes.
Tél. : (40) 48.09.44
Télex : ISO. BUR 710129.
e SYS 68 K/GDC :
Contrôleurs graphiques.
SYSTÈMES :
Basés sur structure
VME.
CPU 68000, 512 K DRAM.
20 Mo winchester, 1 Mo floppy.
Systèmes d'exploitation :
COHERENT (version de UNIX).
P. SOS, moniteur temps réel.
P. DOS, système d'exploitation
temps réel.
UNIX Système V (Janvier 85).
RS
Siège Social :
ZI. rue Fourny BP 40 - 78530 BUC
Tél. (3) 956.81.42 - Télex : 696379 F.
ÉVALUATION
Micro-ordinàäteurs
monocartes Prof-Kit 2,
8 Mhz, RAM 128 Ko,
64 Ko EPROM, 2 voies
RS 232 C, 1 interface
parallèle, 1 interface
cassette, moniteur.
Options logiciel :
FORCEMON/IDEAL,
BASIC, FORTH.
PROF-KIT 2 :
6.670 F
(prix HT. au 1° juillet 84).
Agence Rhône-Alpes :
ZI. de Chesnes-Luzais - 2, rue de Madrid.
38296 La Verpillière Cedex
Tél. : (74) 94.55.99 - Télex : 310655.
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 141 du service-lecteurs (p.
PAGE 80 — MINIS ET MICROS N° 216
151)
mIENLRIL®] communication
Non visible au Sicob : l'ordinateur optique
ou l'information
à la vitesse de la lumière
|: le courant électrique par un faisceau lumineux et faire
fonctionner un ordinateur composé d'éléments de logique photonique,
tel est le but d'expérimentations longues et sérieuses qui se passent tant
aux Etats-Unis qu'en Europe. Bénéfice de l'opération ? Le traitement de
1012 (mille milliards) opérations à la seconde. Le tout est de réaliser
cette circuiterie photonique, et de la faire passer du stade expérimental
au stade industriel.
L'ordinateur optique n'est pas une
vue de l'esprit, comme certaines
autres idées de dispositifs de traite-
ment et de stockage de l'information
qui, par exemple, voudraient utiliser
des supports cellulaires vivants ou des
réactions chimiques complexes. En
effet, depuis de nombreuses années, et
plus particulièrement depuis la fin des
années soixante, les laboratoires de
recherches étudient une technologie
de remplacement de l'électronique
classique, le principe étant de substi-
tuer au courant électrique, agissant
comme transporteur de signal, un fais-
ceau lumineux.
Pour cela, il faut recréer l'équiva-
lent optique des composants électroni-
ques que nous connaissons, en com-
mençant par le commencement, c'est-
à-dire par le transistor lui-même. Le
tout est de savoir si l'on peut non seu-
lement réaliser des transistors opti-
ques, mais plus encore des circuits
logiques fonctionnant avec le principe
de la bascule (bistable optique).
À ces deux questions, on peut
répondre aujourd'hui par l'affirma-
tive ; mais cela ne fut pas sans peine.
Cet article tente brièvement de retra-
cer les objectifs et les déroulements
des expériences concernant la mise au
point d'éléments de circuiterie opti-
que.
Une circuiterie optique
L'idée de la création de circuits
logiques optiques ayant les mêmes
fonctions que les circuits électroni-
ques n'est pas tout à fait nouvelle. Mais
ce sont les premières difficultés expé-
rimentales qui en ont retardé la mise
en œuvre. Des découvertes relative-
ment récentes (1979), que nous déve-
lopperons ultérieurement dans ce
texte, ont permis de réviser la ques-
tion.
Les défauts
de la logique électronique
La technologie moderne est en train
de pousser à ses limites la capacité
d'intégration des transistors, pour
obéir à des impératifs de vitesse d'exé-
cution de plus en plus nécessaires
pour les applications. Or, il est une
limite que l'on ne peut dépasser, celle
du transistor lui-même.
La caractéristique principale qui
nous intéresse ici est la vitesse de
commutation du transistor, passage
d'un état à l'autre. Quelques investi-
gations théoriques dans la physique
fondamentale indiquent que le plus
petit temps de commutation dans un
dispositif à semi-conducteur est de
l'ordre de la nanoseconde pour les
transistors du marché, et du dixième
de la nanoseconde pour les futurs élé-
ments en arséniure de gallium. Il s'agit
donc de l'expression numérique d'une
limite inhérente à la physique du dis-
positif.
En outre, la circuiterie électronique
est fondée sur le passage d'un courant
électrique, c'est-à-dire le déplace-
ment d'électrons qui transporteront
l'information dans un circuit donné.
Ce passage se fait à une vitesse dont
on connaît les limites et qui ne peut
être améliorée.
De telles réserves d'ordre physique
ou inhérentes à la nature du semi-
conducteur (limites de l'intégration,
de la vitesse de commutation, de la
vitesse de propagation de l'informa-
tion), ne sont pas les seules formulées
par divers physiciens à l'égard de la
logique séquentielle binaire actuelle-
ment utilisée.
Certains, comme S. Desmond Smith
[1], lui reprochent d'être « maladroite
et primitive » parce que séquentielle,
et « confinant les signaux (à traiter)
dans le fil électrique conducteur ». De
plus, il lui faut utiliser un grand nom-
bre de commutateurs (ou portes logi-
ques) afin de réaliser, par exemple, un
calcul dans un ordinateur.
Toutes ces considérations montrent
que si l'on veut produire des ordina-
teurs travaillant à des vitesses beau-
coup plus élevées que celles que nous
connaissons, il faut songer à une tech-
nologie différente de celle des transis-
tors actuels.
Le transistor optique
L'idée était donc d'obtenir des com-
mutations avec un rayon lumineux au
lieu du courant électrique, puisque la
vitesse de propagation de la lumière
est la limite supérieure des vitesses
possibles. Cela agirait sur la variable
« vitesse de commutation du transis-
tor » et sur la variable « vitesse de pro-
pagation de l'information dans le cir-
cuit ».
Des réalisations concrètes employ-
ant les propriétés de la lumière sont
connues : les recherches et les déve-
loppements industriels de réseaux de
fibres optiques sont un exemple
d'application de la qualité de « trans-
porteur d'information » qu'est la
lumière. Quant au disque optique
numérique, dont nous commençons à
voir les preniers produits industriali-
sés, il montre qu'il est possible de faire
basculer un élément de mémoire d'un
état final à un autre, les deux étant
bien distincts.
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 81
Ordinateur optique
Avertissement. Alors que Violaine
Prince remettait l'article ci-contre,
nous avons reçu cet autre article de
Pierre M. Häalley, traitant du même
sujet. Cette coïncidence ne signifie
pas cependant que l'informatique
optique est pour demain. Les sujets
traités étant identiques dans ces deux
articles, il s'y produit nécessairement
des recoupements qui nous ont posé
quelques cas de conscience : devions
nous éliminer un des articles (le-
quel ?) ou les publier in extenso,
auquel cas nos lecteurs auraient pu
estimer, avec quelque raison, que
nous « radotions » un peu. Nous avons
pris un moyen terme en coupant ici et
là et en publiant les parties qui, même
si elles traitent du même objet, le font
avec des abords différents de sorte
qu'elles en deviennent complémentai-
res. Nous passons la parole à Pierre M.
Halley.
L'informatique électronique est fon-
dée sur un composant principal, le
transistor, qui exploite le mouvement
ordonné de porteurs électriques, et
qui présente deux (et seulement deux)
états stables pouvant figurer les
symboles « zéro » et « un » du calcul
numérique en base 2. Il permet égale-
ment de composer des portes de type
ET, OÙ, NON, avec lesquelles il est
possible de conduire des opérations
logiques, dans des temps de l'ordre de
10 à 100 ns, voire davantage, suivant
le type d'opérations.
L'informatique photonique sera fon-
dée sur un composant principal, le
W
transphaseur, qui exploite le mouve-
ment ordonné des photons.
L'électron est une particule maté-
rielle (lepton doté du spin 1/2) alors
que le photon est une particule d'inte-
raction à distance dotée du spin I. Il
en résulte que le traitement du signal
électronique est nécessairement
séquentiel, alors que le traitement des
signaux photoniques peut être paral-
lèle. Plusieurs photons, différents par
la couleur, la direction de propaga-
tion ou la polarisation de l'onde, peu-
vent être présents en un même point
au même instant. Ce n'est pas le cas
des électrons.
Le transphaseur est un composant
optique dont la sortie lumineuse pré-
sente une intensité variable en fonc-
tion des conditions d'entrée, par
exemple de l'intensité d'une lumière
dite de pompage et de la présence ou
de l'absence d'une lumière dite de
sondage.
Plus précisement le transphaseur est
une cavité interférométrique Perot-
Fabry, réalisée en matériau solide,
cristallin, non-linéaire.
En présence d'un faisceau optique
incident sur la face plane qui constitue
le miroir transparent d'entrée (voir
figure 1 de l'article ci-contre), la
lumière pénètre partiellement dans la
cavité optique, où elle se propage.
Elle atteint la face plane qui constitue
le miroir de sortie (le cristal assure ces
plans avec des écarts absolus qui sont
extrêmement faibles). Là, elle est
encore partiellement transmise et la
sortie est faible.
Une fonction dite d'Airy relie le
coefficient de transmission de la cavité
à sa longueur optique (L = n.) pro-
duit de l'indice de réfraction de phase
par la longueur géométrique (fig. A).
Mais, si on ajoute au premier fais-
ceau « pompe » fort, un second fais-
ceau « sonde » faible, on passe d'un
creux à un pic de la fonction d'Airy,
par un effet non-linéaire sur l'indice
de réfraction du matériau, c'est-à-dire
sur la vitesse de phase de la lumière
dans le matériau (d'où le nom de
« transphaseur »). Dans ces conditions
la sortie est forte (fig. B).
On voit que le faisceau pompe du
transphaseur joue un rôle analogue à
celui du courant de polarisation du
transistor, qui circule de l'émetteur
vers le collecteur et que le faisceau
sonde a un rôle analogue à celui du
courant plus faible allant de la base
vers le collecteur. Ainsi, le transpha-
seur peut remplacer le transistor.
De plus, il est possible de faire inter-
venir un phénomène d'absorption
saturée, pour déformer la courbe de
réponse de la cavité, à partir de la
fonction d'Airy et d'obtenir des pics
d'amplitude croissante avec l'intensité
du faisceau pompe. Chaque interven-
tion du faisceau sonde fait alors passer
la lumière sortante d'un palier au
palier suivant plus élevé, le rang du
palier dépendant de l'intensité du fais-
ceau pompe (fig. C et D)).
On pourrait ainsi disposer de trois
ou quatre états stables du transpha-
seur, au lieu de deux comme pour le
©
PAGE 82 — MINIS ET MICROS N° 216
—
—
Puissance pompe
(O)
W (entrée)
transistor. Cela permettra le calcul en
base 3 ou 4, et la composition de nou-
velles portes avec lesquelles on réali-
sera de nouvelles opérations logiques
élémentaires, plus nombreuses
qu'avec un transistor.
Le temps nécessaire au changement
d'état d'un transphaseur à deux états
est d'environ une picoseconde (1 ps =
10-125). Les circuits optiques permet-
tront donc des vitesses mille fois plus
élevées que les circuits électroniques.
Enfin, il paraît possible d'utiliser
un même transphaseur sur plusieurs
lumières et de conduire plusieurs opé-
rations indépendantes simultanément.
Quels ordinateurs
pourra-t-on réaliser
avec le transphaseur ?
Il est certainement trop tôt pour le
dire. Avec le laser, le transphaseur,
les fibres optiques et les ressources
déjà connues de l'optique intégrée,
linéaire et non-linéaire, l'avenir de la
photonique est immense. Restent à
faire des efforts de réflexion pour con-
cevoir les premières structures et les
nouveaux fondements d'une informati-
que phototonique. Mais quelles stimu-
lantes perspectives |
On disposait depuis longtemps des
bases théoriques qui ont permis d'ima-
giner et de comprendre sous tous ses
aspects la propagation électromagné-
tique, plusieurs décennies avant toute
réalisation expérimentale ou pratique.
Cela explique le bond en avant qui
vient de se produire avec les guides
d'ondes et les fibres optiques.
Maintenant, on vient d'ajouter à
l'optique scalaire et vectorielle de
l'électromagnétisme linéaire, une
optique vectorielle non-linéaire qui,
depuis quelques années seulement,
apparaît avec l'expression correcte
des premiers termes d'un développe-
ment en série de la polarisation élec-
trique d'un matériau mono-cristallin.
ll reste, bien entendu, beaucoup de
travail pour utiliser convenablement
tous ces acquis et d'abord rechercher
les meilleurs matériaux. De plus, il
faudra réaliser tous les autres compo-
sants (lasers, modulateurs, commuta-
teurs et coupleurs de lumière) pour
aboutir à l'ordinateur photonique, qui
sera peut-être une des vedettes de l'an
2000.
P.M.H.
Fig. 1 - Interféromètre de
Fabry-Perot
Faisceau
incident
Faisceau
réfléchi
Miroir
à réflexion
partielle
Cependant, cela ne signifie pas que
l'on peut directement simuler la logi-
que binaire, de but en blanc. Pour ce
faire, il s'agit de créer un véritable
transistor optique.
Son point de départ a été l'interféro-
mètre de Fabry-Pérot, mis au point par
les deux physiciens français Charles
Fabry et Alfred Pérot... en 1896 ! À
cette époque, ceux-ci avaient cons-
truit un interféromètre pour mesurer
les longueurs d'onde de certaines cou-
leurs. En fait (et là, nous résumons une
grande partie expérimentale qui
alourdirait trop notre propos), leur
dispositif (fig. 1) permet de réaliser
des commutateurs optiques, si le
média utilisé dans la cavité a des pro-
priétés autorisant la commande de la
transmission en fonction de l'intensité
du rayon lumineux incident.
Plus clairement, il faudrait que le
média ait un indice de réfraction
non-linéaire, c'est-à-dire variant avec
l'intensité de la lumière qui le tra-
verse. Un des médias utilisés par les
chercheurs [2] est l'antimoniure
d'indium (composé Sbln), semi-
conducteur ayant un indice de réfrac-
tion fortement non-linéaire. La
rétroaction induite par le dispositif de
miroirs de l'interféromètre de Fabry-
Pérot est appelée rétroaction posi-
tive, lorsque l'intensité de la lumière
augmente dans la cavité, c'est-à-dire
lorsqu'il se produit une interférence
constructive. Ces notions de non-
linéarité et de rétroaction positive sont
essentielles dans l'énoncé du principe
de bistabilité optique.
La bistabilité optique
Si un équivalent du « transistor opti-
que » fut réalisé il y a presque un
siècle (quoique pas dans cette opti-
que, si l'on peut dire, puisque le tran-
sistor n'a été « inventé » qu'en 1947),
la bistabilité optique n'a pu être pré-
vue avant 1969, date à laquelle Abra-
Et inverse
Faisceau direct =—
—
Faisceau
transmis
e- S
Miroir
à réflexion
partielle
ham Szôke et son équipe du MIT en
énoncèrent le principe.
La combinaison de la non linéarité
(de l'indice de réfraction d'une subs-
tance) sous forme d'une absorption
saturante, et d'une rétroaction posi-
tive, fournie par un résonateur opti-
que, devait, d'après eux, permettre de
concevoir un dispositif optique ayant
deux états stables. L'état « faible »
serait atteint dans un interféromètre de
Fabry-Perot avec une couche absor-
bante où il n'y aurait pas d'interfé-
rence et seulement une faible trans-
mission. L'état « fort » correspondrait
à l'apparition d'une interférence cons-
tructive par saturation de la couche
absorbante, avec une forte transmis-
sion et d'importantes intensités inter-
nes dans le résonateur. Un tel état
pourrait être maintenu avec moins
d'énergie qu'il n'en faudrait pour le
produire [1].
Prévu théoriquement, cet effet de
bistabilité optique n'a pu être observé
qu'en 1976, par Gibbs, McCall et
Venkastan aux Laboratoires Bell, avec
de la vapeur de sodium. Le modèle
théorique de Szôke, qui utilisait
l'absorption, est apparu comme plus
difficile à expérimenter que celui créé
par Felber et Marburger (1976) fondé
sur une bistabilité optique réfractive.
En outre, l'expérience de l'équipe
Gibbs a mis en valeur l'aspect réfractif
plutôt que l'absorption : les effets
d'interférence sont beaucoup plus
sensibles lorsque l'on ajuste la lon-
gueur d'un résonateur si son indice de
réfraction est dépendant de l'intensité.
Le transphasor
Le fonctionnement du premier bista-
ble optique a soulevé une vague
d'intérêt dans le monde scientifique
et, très vite, les recherches théoriques
ont permis, la même année (1976), la
découverte d'une réfraction non-
linéaire à bande géante dans un semi-
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 83
ÉTUDE
conducteur à bande étroite à l'univer-
sité de Heriot-Watt (Edimbourg,
Ecosse).
Ce semi-conducteur, l'antimoniure
d'indium, a un indice de réfraction
non-linéaire entre cent et mille fois
plus élevé que celui de l'arséniure de
gallium (AsGa) utilisé par les Labora-
toires Bell, qui continuaient leurs
expériences dans ce domaine. Ces
derniers réalisèrent un transistor opti-
que en 1979 avec des résonateurs de
petite taille. Exactement à la même
date, Heriot-Watt annonçait avoir mis
au point un transphasor (transistor
optique) à base d'antimoniure
d'indium autorisant un gain de dix
avec un signal bifaisceau.
La grande découverte réside dans le
fait que le dispositif de Fabry-Pérot
avait été simulé dans un cristal de
semi-conducteur et que, « l'optique
linéaire est passée de puissances chif-
frées en mégawatts à des puissances
en milliwatts » [1].
La logique photonique
À partir du transphasor, il a été pos-
sible de réaliser des circuits logiques.
Le cycle d'hystérésis entre lumière
incidente et lumière transmise, décri-
vant les zones stables de l'interféromè-
tre, peut être comprimé jusqu'à ne
plus représenter qu'une courbe sim-
ple, qui ressemble à la courbe carac-
téristique de transfert d'un transistor
électronique. C'est en jouant là-dessus
que l'on peut simuler des portes logi-
ques (Et/Ou, Nand/Nor).
L'expérience en a été faite en 1982 à
Heriot-Watt, à une température de 77°
Kelvin, et en 1983 à différents autres
Bibliographie
[1] Optical bistability, Photonic
Logic and the Optical Computer, par
SD Smith, FRS, Nature n° 407, janvier
1984.
[2] The Optical Computer, par Eitan
Abraham, Colin Seaton et S. Desmond
. Smith, Scientific American, janvier
1983.
[3] An Introduction to Optically Bis-
table Devices and Photonic Logic,
par SD Smith, rapport présenté au
Royal Society Meeting on Optical Bis-
tability, mars 1984.
[4] Annonce de Sir Peter Swinnerton-
Dyer FRS (Codest) au colloque cité ci-
dessus.
PAGE 84 — MINIS ET MICROS N° 216
Marche
œ
b
E
ä
€
&
2
ä
€
2
€
Rayon A | Rayoh B
Intensité incidente—
Fig. 2 - Porte logique ET
endroits (Bell, Strasbourg, Berkeley,
etc.). Parmi les substances em-
ployées : CuCI (Strasbourg) Asin
(Université de Californie du Sud), Cd-
Hg-Te (RSRE) à des températures
cryogéniques : Te (Jena), cristaux
liquides (Berkeley), AsAÏGa chez Bell
à 300° Kelvin ; etc. Certains systèmes
(dont Sbln) ont fait preuve d'une com-
mutation vers l'état « marche » (switch
up) en un temps n'excédant pas quel-
ques picosecondes. La commutation
« arrêt » rapide est encore en expéri-
mentation [1]. Le tableau ci-contre
fournit la liste des systèmes et disposi-
tifs de bistables optiques [3].
L'ordinateur optique :
quel intérêt ?
La rapidité n'est pas le seul avan-
tage des circuits photoniques. Elle
aurait été vite contrebalancée par la
difficulté actuelle, probablement due
à la nouveauté, de la mise en œuvre et
de la connexion des divers éléments.
Les commutateurs optiques ont des
propriétés permettant de nouvelles
architectures d'ordinateur.
La première est que l'on peut faire
passer plusieurs rayons incidents dans
un interféromètre sans qu'ils ne se
mélangent. Par conséquent, on peut
utiliser un seul et même cristal (inter-
féromètre) pour plusieurs commuta-
tions séparées, ce qui est impossible
dans un transistor. Ainsi, on pourrait
réaliser des traitements parallèles
réellement simultanés au niveau
même du composant de l'ordinateur
optique. Un tel mode de fonctionne-
ment induirait évidemment une circui-
terie conçue autrement que pour les
ordinateurs électroniques, avec tous
les problèmes que ce changement
pourrait poser.
La deuxième est l'existence de ce
que les chercheurs ont appelé une bis-
Marche]
Intensité transmise.
rer
Intensité incidente —
Fig. 3 - Porte logique OU
Intensité réfléchie —#
Rayon À Rayon B
Intensité incidente——
Fig. 4 - Usage du cycle d'hystérésis non
comprimé pour la simulations d'une fonction
NON
tabilité multiple. Certains cristaux
accusent plusieurs seuils présentant
une bistabilité entre l'intensité trans-
mise et l'intensité incidente, à des
niveaux de plus en plus élevés de cette
dernière. Les niveaux correspondants
d'intensité transmise représentent les
états multiples d'un système logique
[2], qui permettraient la réalisation
d'une informatique, non plus binaire,
mais quaternaire par exemple.
Ainsi, plus encore que la vitesse,
l'intérêt que soulève cette nouvelle
technologie, réside dans le change-
ment de conception et d'architecture
qu'elle entraîne, toutes choses étant
égales par ailleurs (pour prendre les
précautions d'usage). Pour beaucoup
d'informaticiens, le parallélisme par-
fait est la clef du succès dans le com-
bat mené contre ce qu'ils appellent le
« goulot d'étranglement de Von Neu-
man », c'est-à-dire le compromis per-
manent à maintenir entre des canaux
de communication supposés parallèles
et le temps d'interconnexion, dans des
ordinateurs bâtis avec l'électronique
numérique [1].
Comment ?
Pour fabriquer un ordinateur opti-
que, mis à part toutes les nouvelles
considérations théoriques que cela
comporte et les études de conception,
atomes Na
Sbin
Sbin
AsGa
AsAlGa
Ges
Cds.
CuCB
Asin
CdGeTe
source [3]. b.o. : bistabilité optique.
CS, etc. s impulsion .
mW, continu b.o.
kW, impulsion
kW, modulé
W, modulé
Te , impu
, continu b.o.
Si , impu
, continu b.o.
, impu
kW, impulsion
Observations
et commentaires
; grande taille, lent
; grande taille, rapide
: petite taille, rapide ;
transphasor avec gain ; portes
logiques 5 um ; commutation en
lumière incohérente 77°K
limiteur ; b.o. ; 10 um, 300° K,
excitation deux photons
b.o. ; 0,8 am, pas très petit, 300°K
b.o. ; pas de continu
: 300°K, 10 um
: lent photo-réfraction visible
300°K, 1,06 um
b.o. ; lent, thermique
: 5°%K, visible
; 5°%K, biexciton visible
sion b.o.
sion
sion b.o.
b.o. ; 3 um
b.o. ; 12 um, deux photons
Systèmes et dispositifs optiquement bistables
il faudrait maîtriser la technique de
production des composants photoni-
ques.
Les circuits optiques, nous l'avons
vu, sont à base de cristaux très fins :
les techniques de production de cris-
taux et de fabrication de films minces
permettent, aujourd'hui, d'en pro-
duire sous forme de feuilles très fines
et de grande surface. Sachant que le
problème de la température ambiante
est important, puisque c'est de lui que
dépend la réalisation d'une commuta-
tion, il serait indispensable de pro-
duire des composants réagissant à
température ambiante.
Pour cela, l'équipe de Heriot-Watt a
expérimenté un laser à monoxyde de
carbone (CO) à 10 microns sur un
cristal Sbin à température ambiante :
253, rue Lecourbe, 75015 Paris
Métro : CONVENTION ou BOUCICAUT
ouvert tous les jours sauf dimanche
du lundi au vendredi de 8h30à19h
le samedi de9hà19h
Pour toutes précisions sur la société ou
la commutation été effectuée avec suc-
cès [2].
Cependant, ces points positifs ne
permettent pas encore de dire que la
circuiterie optique est sur le point
d'être fabriquée commercialement,
loin de là. Nous sommes aux balbutie-
ments d'une nouvelle technologie,
d'évolution rapide certes, mais n'ayant
pas encore passé le cap d'une pre-
mière réalisation industrielle. Les
résultats, pour l'instant approximatifs,
seront affinés par la recherche de nou-
veaux lasers et d'autres substances
non-linéaires plus adaptées à cet
usage.
Par exemple, la puissance de com-
mutation est une donnée que l'on
cherche souvent à optimiser. Dans le
cas des composants optiques, elle peut
être assimilée au produit de l'intensité
de la lumière incidente par la surface
de la face du cristal qui la reçoit.
« Réduire la surface du dispositif
entraîne, dès lors, une réduction de la
puissance de commutation. Cepen-
dant, le dispositif ne doit pas être trop
petit. à cause de la précision d'ajus-
tement d'un rayon laser... et parce
que la température croît de manière
inversement proportionnelle à la
taille... La taille de l'élément, la
vitesse de commutation et la puissance
doivent être considérées comme des
variables liées » [2].
Ce bref passage en revue de la tech-
nologie optique n'a pas la prétention
d'amener à une conclusion du type
pour ou contre. Ce que l'on peut dire,
c'est que si la recherche donne des
résultats assez satisfaisants au-
jourd'hui, l'industrialisation n'est pas
encore amorcée.
Cela ne signifie pas non plus que
ces recherches seront jetées aux
oubliettes. Elles intéressent certains
milieux politiques, comme la CEE,
dont le but est d'encourager des initia-
tives européennes face aux géants
d'Ouest et d'Est. Et si l'Europe appre-
nait en premier à fabriquer les trans-
phasors, coiffant au poteau Nippons et
Américains ? Le rêve est permis.
Le Codest (Comité européen pour le
développement de la science et de la
technologie) a décidé de tenir le pari :
il a alloué la somme de 1,8 M écu
(désolés, mais nous ignorons la tra-
duction en francs) pour les années
1984 et 1985 à une huitaine d'universi-
tés et de centres de recherche euro-
péens, dont le CNRS de Strasbourg,
comme budget dédié à la bistabilité
optique et à ses applications [4].
Violaine Prince
Librairie Informatique
d'Aujourd hu
ne Livres
DUNOD, EDIMICRO,
EDITESTS, Editions du PS,
ETSF, EYROLLES,
MASSON, NATHAN,
RADIO, SYBEX...
le produit présenté ci-dessus :
référence 142 du service-lecteurs (p.
elles mellewes ALES
OL informatique, Minis et Micros,
Bureau Gestion, Informatique et Gestion,
Déaision Informatique, L'Ordinateur Individuel,
L'Ordinateur de Poche, Médiatique Com’7, ù
L'ordinateur personnel, Votre ordinateur
151)
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 85
Ampex lerminal D 210
En matière de terminaux, on croyait bien que tout était dit.
Et puis vient l'Ampex D 210 qui réunit simplement l’ensemble
des progrès techniques les plus récents sous un habillage excep-
tionnellement élégant . grand écran 14 pouces affichage ambre
ou phosphore vert . clavier profil bas, norme DIN + 14 touches
de fonctions programmables . 2 ports RS 232 C bi-directionnels e
3 modes de gestion d'imprimante . émulation ADDS Reg 20,
Reg 25, Viewpoint Hazeltine 1400, 1410, 1500, Lear Siegler ADM3,
8A, 3A +, 5, Qume QVT 102, Télévidéo 910, 910 +, 925. Avoir quel-
ques-unes de ces qualités, c’est bien. L'Ampex D 210 les a toutes
plus une: son prix très compétitif.
Liste des distributeurs sur demande.
A M -æ. = > _ Ampex, c’est aussi
Ampex Corporation - One of The Signal Companies 9) le terminal bi-protocole 4100
COURCELLOR | -2, rue Curnonsky, 75017 Paris. Tél. : (1) 270.55.00 - Télex n° 620.908. Pour toutes précisions : réf. 143 du service-lecteurs (p. 15
La CAO sur micro-ordinateurs :
à l’heure des leurres,
des heurts et des bienheureux
L.. premiers systèmes micro-informatisés d'aide au dessin de
conception ont fait leur apparition récemment. Ils servent dans toutes
les sciences de l'ingénieur, en électronique comme en mécanique ou en
architecture et en génie civil. Mais ce ne sont pas encore vraiment,
quoi qu'en disent leurs constructeurs, des systèmes de conception
assistée par micro-ordinateur.
Les machines modernes — moteurs,
alternateurs, pompes, compresseurs,
etc. — ont quelque cent à cent cin-
quante ans d'existence. Lorsqu'elles
ont été inventées, développées, indus-
trialisées (ce fut la grande époque de
la révolution industrielle), le rende-
ment intrinsèque de chacun de leurs
organes élémentaires n'était pas bien
élevé. Qu'importe ! La machine exis-
tait et on avait l'éternité — ou presque
— pour la perfectionner.
Aujourd'hui, on sait construire des
machines dont les éléments parvien-
nent à un rendement intrinsèque de 80
à 90 %. Ce sont de bonnes machines
obtenues grâce à plus d'un siècle de.
recherches passionnées,
mais artisanales.
intenses,
La décennie passée nous a enseigné
trois choses : la crise de l'énergie nous
incite à rechercher encore des amélio-
rations au rendement des machines ;
la survie des entreprises passe par
une compétitivité accrue, c'est-à-dire
par la quête aux prix de revient les
plus faibles possibles ; enfin, l'ordina-
teur est là, qui offre sa puissance de
calcul, sa capacité mémoire, et qui
constitue le moyen (idéal ?) pour se
surpasser et donner à chacune des
machines la possibilité d'acquérir
quelques points de rendement en
plus, ceux qui seront justement déci-
sifs lorsque l'acheteur fera son choix.
Il faut optimiser
Il ne suffit donc plus de faire de bon-
nes machines ; il faut qu'elles soient
les meilleures, compte-tenu des tech-
nologies actuelles. On ne va pas, bien
entendu, créer un moteur fonction-
nant à 2000 °C, si l'on ne possède pas
les matériaux qui résistent à ces tem-
pératures.
Le dessin de la forme d'une aile
d'avion ou d'une aube de réacteur
aéronautique par exemple, fait appel
à des programmes très spéciaux
d'ordinateur, exploités par des
p
aérodynamiciens chevronnés. Ils
introduisent, dans la machine infor-
matique, l'évolution des nombres de
Mach qu'ils souhaitent obtenir sur
l'extrados et l'intrados d'une aile ou
d'un aubage ; l'ordinateur leur resti-
tue la forme géométrique appropriée.
Les électroniciens procèdent d'une
manière tout à fait similaire quand ils
conçoivent leurs circuits imprimés.
Des algorithmes d'optimisation déter-
minent le meilleur routage des lignes
métallisées reliant les entrées aux sor-
ties.
Les outils matériels employés sont
alors nécessairement dotés d'une puis-
sance de calcul importante, capable
de traiter des problèmes mathémati-
ques de haut niveau. De plus, ils dis-
posent de possibilités graphiques
interactives pour introduire les don-
nées et traiter les résultats des calculs
de la manière la plus souple qui soit.
Ce sont des Vax, Prime, Gould/Sel,
IBM 4341, parfois même des IBM
30XY, voire de très gros calculateurs
multiprocesseurs ou vectoriels.
Ces importants systèmes offrent
d'autres avantages, qui font de la
CAO un outil véritablement indus-
triel ; c'est en particulier l'existence
d'une base de données centralisée.
Que trouve-t-on dans cette base de
données (fig. 1) ? Tout d'abord la des-
cription géométrique de l'objet en
cours de conception : coordonnées
des points situés aux frontières de cet
objet, description des éléments et des
matériaux constitutifs.
Cette même base de données va ser-
vir ensuite à la fabrication pour réali-
ser les outillages d'usinage, de matri-
cage ou de moulage, préparer les ins-
tructions des contrôles dimensionnels
après fabrication, fournir les informa-
tions requises pour l'ordonnancement
et la gestion de production, établir les
documents pour la maintenance (les
« mainteniciens » pourront eux-
mêmes exploiter la base de données
pour leurs calculs de probabilité de
panne) et les recueils contenant le
mode d'emploi à destination de l'utili-
sateur final.
Selon la situation, on a affaire à la
FAO (Fabrication Assistée par Ordi-
nateur), GPAO (Gestion de Produc-
tion), la MAO (Maintenance...) .. le
tout étant tributaire d'un système inté-
gré de DAO (Dessin).
Les grands systèmes
de CAO
ne font pas encore tout
Les grands systèmes qu'on trouve
sur le marché ne permettent pas
encore d'optimiser les projets. Sans
doute permettent-ils de concevoir de
bons produits, mais pas nécessaire-
ment les meilleurs.
Pour ce faire, il faudrait pouvoir
associer calculs de conception et gra-
phiques interactifs, ce qui paraît sou-
vent incompatible, même sur les gros
mini-ordinateurs (les Vax) ou les uni-
tés centrales de bas de gamme. Les
quelques seuls véritables systèmes de
CAO sont des prototypes unitaires,
utilisés exclusivement par leurs créa-
teurs : grands constructeurs de nacel-
les et de moteurs d'avions, principaux
producteurs de circuits intégrés élec-
troniques. Et ces quelques utilisateurs
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 87
très spéciaux font du dessin, de la
fabrication, de la gesion de produc-
tion ou de la maintenance au moyen
des systèmes (dits, à tort, de
« CFAO ») du commerce : Cadam,
Computervision, Calma, Intergraph,
Applicon, etc.
D'un côté, il existe donc la CAO
dite « scientifique » à base d'IBM,
Cyber, Cray... pour la création ; de
l'autre, la CAO de gestion des inven-
tions. Les investissements requis sont
évidemment extrêmement élevés.
des milliards de centimes.
Demain, c'est-à-dire dans dix ans, le
microprocesseur d'aujourd'hui se sera
transformé en nanoprocesseur, et l'on
retrouvera la puissance de calcul de
nos gros systèmes informatiques
actuels dans les futurs ordinateurs per-
sonnels de bureau. Il sera alors possi-
ble d'exécuter les logiciels de notre
vraie CAO sur du matériel relative-
ment bon marché.
On n'en est point là, et les micro-
ordinateurs d'aujourd'hui ne sont en
mesure d'effectuer que certaines
tâches limitées de CAO : du calcul sur
des modèles simples, du dessin, de la
programmation de machines outils.
Le dessin assisté
par micro-ordinateurs
(ou DA,0)
Le DAyO existe vraiment, et on a pu
le rencontrer par exemple au premier
Forum de l'IBM PC, ou au « Spécial
Sicob » sur d'autres micro-ordinateurs
tels que les Canon AS-100, Victor SI,
Bull-Micral, etc. Le traditionnel tire-
ligne du dessinateur est remplacé ici
par un crayon électronique, un cur-
seur ou une souris ; le papier-calque
se transforme en écran cathodique ;
l'armoire de rangement des dessins
(éventuellement microfilmés) devient
la mémoire de masse de l'ordinateur.
Les constructeurs et fournisseurs
annoncent des gains de productivité
de cinq à dix en heures de dessinateur
pour un travail donné. En vérité, il
serait plus juste de nuancer ce propos.
Pour les travaux de conception de
matériels totalement nouveaux, il est
d'usage, dans les bureaux d'études,
de travailler à la gomme et au crayon,
et jamais à l'encre... sauf bien entendu
au moment de la mise au propre du
dessin. À ce stade de l'avant projet,
l'emploi d'un système informatique est
pénalisant, à moins que l'ordinateur
ait un temps de réponse quasi immé-
diat (une fraction de seconde) — ce
qui n'est pas encore le cas en micro-
informatique — et que le projeteur ait
une forte capacité de concentration
personnelle devant un écran pendant
plusieurs journées consécutives.
Par contre, lorsque la phase de
création est achevée, l'informatique
joue pleinement son rôle d'assistance
à la conception en effectuant les
tâches les plus fastidieuses : cotations,
hachures, mise en place des indica-
tions relatives aux tolérances, tracé
des cartouches.
Certaines éléments ou familles
d'éléments des machines — vis,
écrous, ressorts, pignons, par exem-
ple — sont normalisés (ou normalisa-
bles au sein d'une entreprise) : la
démarche consiste à dessiner un des
composants de la famille et à coter
cette pièce de manière paramétrique
en distinguant les cotes « figées »
(quel que soit le composant de la
famille) et les cotes variables qui
dépendent de l'individu de la famille.
Un module de paramétrage, propre au
logiciel de DAO, va générer le sque-
lette de l'objet paramétré, et en
déduire une méthode de tracé à partir
des données stockées sur disque dans
la bibliothèque des éléments paramé-
trés.
Une fois achevé, le dessin est mis en
mémoire, ce qui permettra de le rap-
peler ultérieurement, ou de le copier
sur d'autres fichiers numériques, en
vue de modifications ultérieures. Là,
le gain de productivité est sensible.
En effet, comment procède-t-on
dans un bureau d'études traditionnel
pour effectuer une modification ? Le
projeteur réalise d'abord une copie de
l'original, ce qui consomme du temps,
alors qu'en informatique, l'opération
de copie est quasi instantanée. Puis,
lorsque le travail commandé est
achevé, il archive le dessin modifié,
sans toutefois détruire le dessin initial,
ce qui consomme de l'espace, alors
qu'en informatique, on ne stocke que
des fichiers numériques sur disques,
disquettes, bandes ou cassettes
magnétiques.
Fig. 1 — Système complet de CAO : on exploite au maximum les ressources d'une grande unité centrale.
Numérisation des formes
existantes
CT D Calculs
éléments
Base de
données
Machine à dessiner
©
Machine outil à
commande numérique
Définition
interactive
de formes
nouvelles
ED
Services annexes
Gestion de production
Contrôles de qualité
Maintenance
PAGE 88 — MINIS ET MICROS N° 216
Le dessin proprement dit ne pro-
cède pas selon le processus scientifi-
que d'optimisation des formes géomé-
triques. On se sert en fait d'un curseur
qui, au départ, se trouve au centre de
l'écran. On le déplace, au moyen de
touches ou d'une souris, sur toute la
surface de l'écran, en créant des
points qui seront les points de départ
ou d'arrêt de lignes dessinées ultérieu-
rement, les points de référence, ou
encore les points désignant les centres
d'arcs de cercles ou les foyers de cubi-
ques.
Vient ensuite le tracé des lignes : on
relie un point de départ à un point
d'arrêt par un trait plein ou tireté. On
peut également demander à l'ordina-
teur de tracer un cercle, une cubique,
une surface plane, concave ou con-
vexe, un volume en fournissant les
données des grandeurs caractéristi-
ques (centre ou foyers, rayon ou lon-
gueur d'axes, points où l'entité à dessi-
ner doit passer, direction des droites
tangentes à ces points).
Du DA,0 à la CFAO :
qu'y a-t-il
sur le marché ?
Le dessin assisté par micro-
ordinateur a trouvé de fervents utilisa-
teurs dans le monde des mécaniciens,
mais aussi des architectes et des ingé-
nieurs du Génie Civil. La schémati-
que (implantation de tuyauteries,
schémas électriques et électroniques)
fait aussi appel à des ressources de
systèmes de dessin assisté. Chaque
corps de profession dispose bien
entendu de ses logiciels particuliers.
Lorsque ceux-ci deviennent par trop
gourmands en ressources informati-
ques, ou quand plusieurs projeteurs
veulent travailler simultanément sur le
même système informatique, on a
recours au moins à des mini-
ordinateurs de bas de gamme, comme
le Vax 11/725 de Digital Equipment ou
le Domain 300 de Apollo Computer,
pour ne citer que ceux-là.
Commençons par le commence-
ment : la mécanique, qui la repré-
sente ?
Tout d'abord l'Adepa (Agence
nationale pour le développement de la
production automatisée) qui, voici
plusieurs années, partant d'une étude
statistique sur les activités des bureaux
d'études traditionnels (70 % des acti-
vités pour le travail de recopie, 20 %
pour les modifications de plans exis-
tants, 10 % pour la conception) a
développé des logiciels d'aide à la
conception et à la fabrication pour
PMI. Ainsi, l'Adepa a participé, en
collaboration avec Renault et Peugeot,
au développement du préprocesseur
Unisurf de numérisation et définition
mathématique de surfaces complexes
en vue de la programmation de leur
usinage sur machines-outils à com-
mande numérique (fig. 2).
Pour couvrir la plage des 90 % des
activités hors conception proprement
dite, l'Adepa a ensuite créé un outil de
production et de modification de des-
sins assistés par ordinateur : c'est Pro-
des, langage alphanumérique de com-
mande de mini-ordinateurs (fig. 3).
Le stade suivant a été la mise en
place d'un système de DAO fondé sur
l'interactif graphique : c'est Dameca,
(dessin assisté en construction mécani-
que) dont l'utilisation consiste à mettre
en œuvre des fonctions regroupées
sous la forme d'un menu, dans la zone
supérieure d'une tablette graphique
(digitaliseur). La zone inférieure est
en correspondance avec l'écran gra-
phique, et permet d'y travailler.
Le menu est composé de. cases.
Chacune contient un texte ou un gra-
phisme représentatif de la commande
qui lui est attribuée. Dameca doit être
complété par des applications d'assis-
tance à la conception (résistance des
matériaux, cotations fonctionnelles,
cinématique), ainsi que par la con-
nexion avec des logiciels de « techno-
logie de groupe » : Multiclass (outil
Fig. 2 — Demi crochet traité sur Unisurt.
EI
D 1 1
D 7 1 17/1
1]
Z
227
7
eZ
SES
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 89
de codification et de classification) et
Multigroup (outil d'analyse de don-
nées).
Dameca est l'une des composantes
du système de Secapa, Conceptor:-I,
vendu clé en main, composé d'un
écran graphique et d'un écran alpha-
numérique, ainsi que d'une tablette
graphique, d ‘une imprimante et, en
option, d'une machine à dessiner.
L'unité de calcul est bâtie autour d'une
unité centrale à mots de 16 bits, de
256 K octets de mémoire vive (extensi-
ble à 1 M octet), et d'un disque rigide
(20 M octets) pour la constitution
d'une bibliothèque de dessins.
Apollo Computer vend des mini-
ordinateurs 32 bits (les Domain DN
300, 320, 460 et 660) qui ont été adop-
tés par plusieurs fournisseurs de systè-
mes livrés clé en main: Alpia
(système Neptune), Esia (logiciels Gri
2D de Micado, Protop de Technip),
GE-Calma, Auto-Trol, ainsi que par
des sociétés développant des progi-
ciels spécialisés dans le domaine
mécanique : analyse de structures par
éléments finis (MSC/Nastran de Mac
Neal-Schwendler), simulation et plani-
fication (PSS/E de Power Technolo-
gies), conception de tuyauteries (Adl-
pipe de Dis, Tepipe de Tractionel).
Applicon exploite les mini-
ordinateurs de Digital Equipment (du
PDP 11/34 avec 216K octets de
mémoire principale associé à un pro-
cesseur graphique Applicon à struc-
ture 32 bits, au processeur unique
Vax), dans sa Série 4000 de
CAO/FAO fondée sur le logiciel
Synthavision de modélisation des soli-
des.
L'investissement minimal pour
l'exploitation d'un tel logiciel est de
l'ordre du million de francs. On peut
alors envisager le recours à une base
de données intégrée pour la mise en
œuvre de tous les services informati-
ques allant du dessin à la fabrication et
au contrôle.
Une pléthore
de systèmes
Assigraph a développé, pour les
mini-ordinateurs Vax, Prime ou Mini
6, une famille de logiciels intégrés et
spécialisés, appelée Saphirs (fig. 4) :
c'est un système ouvert, avec un tronc
commun (base de données relation-
nelle et jeu de commandes pour gérer
les fonctions de visualisation, d'affi-
PAGE 90 — MINIS ET MICROS N° 216
DEMI-COUPE B-B
ÆRIN DE BRIOAGE
PIECE PORTE CANON 11552
ECROU EN TE 730%
PIECE DE BRIDAGE
HALDER 11101
en
LEON Do 11941 /
PLATEAU HALDER 110046
Fig. 3 — Prodes est un langage, et l'opérateur procède par instructions ; en vue de l'usinage par
commande numérique, il permet le tracé précis de pièces de géométrie bidimensionnelle.
Base de données relationnelle
Schématique
ingénierie
électronique
Mécanique
Cartographie
urbaine et
agricole
Dialogues spécialisés - interface utilisateur
langage de requête
Fig. 4 — Architecture générale de Saphirs de Assigraph.
chage, de création, de transformation
graphiques et d'archivage) et des logi-
ciels propres à chaque profession.
Bull, pour sa part, s'est associé avec
des sociétés ayant une expérience
reconnue dans les domaines de la
CFAO pour offrir des logiciels d'aide
à la conception (Strim 100) sur sa
gamme Mini 6.
Benson : la « planche à dessin élec-
tronique » qu'avait annoncé ce fabri-
cant avec son modèle 2000 de DAO au
Sicob 83, exécute toutes les fonctions
nécessaires à la construction et à la
modification d'un plan : il dessine,
cote, hachure, efface des éléments
d'un dessin.
Calcomp-Sanders : deux proces-
seurs 16 bits (émulant le PDP 11) sont à
l'ouvrage dans chacun de ses systèmes
de DAO, Graphic 7 et Graphic 8, tan-
dis que son système interactif graphi-
que, IGS 500, est construit autour
d'un Solar 16 et d'un écran à balayage
télévision.
Cert-Deri (Toulouse) : un Mitra 125,
doté d'une console graphique Tektro-
nix 4014 et d'un terminal alphanumé-
rique de dialogue, sert à son système
Sicam (réducteurs de vitesses, boîtes à
engrenages, etc.), qui gère une base
de données contenant un catalogue
d'éléments technologiques standardi-
sés (engrenages, roues, vis, arbres)
qu'on assemble pour réaliser le méca-
nisme souhaité.
Delta, société britannique, diffuse,
sur mini-ordinateurs Prime, Vax ou
Apollo dotés d'écran graphique Tek-
tronix, Westward ou Sigmex, le
système de DAO Deltacam, suscepti-
ble d'être marié au logiciel Duct de
préparation des moules de fonderies.
Prix de 500 000 FF environ pour un
système monoposte.
GST (Gerber Systems Technology)
a présenté, aux Etats-Unis, le système
Autograph doté d'un mini-ordinateur
Hewlett-Packard HP 1000 F avec 512 à
1024 K octets de mémoire centrale, 27
à 132 M octets sur disque rigide, et un
écran (couleurs ou noir et blanc) ayant
pour définition 1 280 x 1 024 points.
Son prix, outre Atlantique, s'étend de
75 à 120 K$.
Chez Gixi, on apprécie particuliè-
rement le langage APL pour l'écriture
de conception. Un logiciel graphique
(GRF), manipulable en APL, constitue
l'outil de base pour la réalisation de
logiciels de dessin même en 3D (sphè-
res, cylindres, cônes, parallélépipè-
des) sur divers mini-ordinateurs 16
bits du marché. Rappelons, pour
mémoire, les terminaux graphiques
Radiance (dont le 2000 À de haute
définition) et la bibliothèque graphi-
que GKS$S aux normes Iso.
DAO sur mini-ordinateurs égale-
ment chez beaucoup d'autres fabri-
cants : IDI (Information Displays Inc.)
diffusé en France par MCP ; Graphael
(système Datagrid 2) sur MP 100 de
Data General ; IRD (système Cadbird
I) sur PDP 11; Logware (logiciels
Dogs, Boxer, Pafec sur la gamme
Apollo) ; Photogay (Imtec-Cadd orga-
nisé autour d'un PDP 11/23 avec 128 K
octets de mémoire centrale) : Quest
Automation (Q-Draft sur Nova 3D de
Data General) ; Rhône Poulenc Systè-
mes (Regma Bruning ED2 fonction-
nant avec du matériel Hewlett-
Packard) ; RSI (Sirena fonctionnant
sur minis Norsk Data et Vax 11/780) :
Socori (dont le logiciel de DAO, Car-
dan, écrit en Fortran 77, est portable
sur quasiment tous les minis) ; Tektro-
nix (système de DAO sur ordinateur
de table graphique 4054 À) ; Quest
(logiciel Quad sur calculateur Data
General) ; Racal (système Radian
avec ordinateur Tektronix 4054 et
Concept sur PDP 11); Vector Auto-
mation (système Cadmax-Il) : Versa-
tec (Expert 2000 sur poste de travail
Xerox 8010).
Et les micros ?
Les premiers progiciels interacitfs
de DAO pour IBM PC, Victor S1 ou
Victor 9000, calculateurs de table
Hewlett-Packard ont fait leur appari-
tion.
AutoCad de AutoDesk Inc. fonc-
tionne sur Victor 5000, IBM PC et tout
micro-ordinateur pourvu du système
d'exploitation CP/M 80, et supportant
une tablette graphique Summagra-
phics où Houston Instruments, ainsi
qu'une machine à dessiner Hewlett-
Packard ou Houston Intruments. Aux
Etats-Unis, ce logiciel coûte 1 000 $.
Prose (Cenam Informatique SA) est
un progiciel évolutif pour Victor S].
L'utilisateur crée, modifie complète,
annule ses propres bibliothèques de
symboles. Des commandes spécifiques
peuvent être créées par le fournisseur,
et la base de données peut être utilisée
par des logiciels développés sur
mesure. Son prix : 15 ou 30 000 FF
selon la version.
CadCal Product Inc. a développé
CadPro-2, système de DAO pour IBM
PC/XT (512 K octets de mémoire vive,
10 à 52 M octets sur disque Winches-
ter).
Le Cetim (Centre Technique des
Industries Mécaniques) diffuse plu-
sieurs progiciels pour micro-
ordinateurs, destinés à apporter une
aide aux travaux techniques tels que le
calcul de la résistance de structure
(Castor), l'élaboration des devis
(PRE-TC), le chiffrage des temps de
fabrication (Temps 3). Ils s'exécutent
sur des matériels tels que les HP 9845,
HP 9836, HP 9816, Commodore-CBM
8000.
Picador est un système de DAO dif-
fusé par Selig sur l'ordinateur de table
HP 9836 avec 1,7 M octet de mémoire
centrale, tablette graphique HP 9111
À, traceur HP 7580 B ou 7585 B et
unité de disque.
Ankersmit SA vend le système de
dessin bidimensionnel Superdrait
pour IBM PC doté d'une machine de
recopie d'écran Watanabe/Graphtec.
D'autres progiciels ou systèmes de
DAO pour micros sont commercialisés
par : Control Data (station de travail
PCAD basée sur l'utilisation du PC
d'IBM) ; CR Informatique (système
DAO Gestingraph) : Grid Systems
Corp. (Condor) ; Logidisque (Le Des-
sinateur) ; MG Entreprises (ESS
Draw) ; Micro Computer Graphics
(MGI/CAD) ; Personal CAD Systems
(CAD plan sur IBM PC ou PC/XT) ;
Procep Commodore (CAD Système 3
de calcul de structures et portiques) ;
Serbi (Conception 3D) ; Unic Systè-
mes, Valid Logic systèmes (Scald) ;
Zenith Data Systems (Auto CAD).
Nous poursuivrons notre survol du
domaine de la CAO dans notre pro-
chain numéro, avec d'autres types
d'application relevant de l'architec-
ture et de l'électronique où, là aussi,
les matériels disponibles sont fort
nombreux.
François Cinare
Pour vos stages de formation ou séminaires
UTILISEZ
LA RUBRIQUE FORMATION
ve MiIniIS-MIcros
Prix du module de base (86 mm x 52 mm) 1 000 F ht (frais de composition compris)
Réservation d’espace auprès du Service Publicité
Tél. : 240 22 01
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 91
PÉRIPHÉRIQUE
Les lecteurs de cartes
magnétiques
1ère partie : les méthodes de codage
B.. que très proche parente des supports d'enregistrement
magnétique courants (bande ou disque souple), la carte magnétique a
une spécificité particulière : il ne faut pas la considérer comme un
simple morceau de bande 1/2 pouce appliqué sur un bout de carton ou
de plastique. Son domaine d'emploi et ses conditions d'utilisation lui
confèrent des contraintes particulières qu'il est bon de connaître avant
de concevoir des systèmes à base de cartes magnétiques. Ce premier
article analyse plus spécialement la carte elle-même ; un second article
abordera les problèmes d'interfaçage avec les unités de traitement.
L'utilisation des cartes magnétiques
se généralise de jour en jour et tout le
monde est appelé à en manipuler plus
ou moins fréquemment. En effet, les
applications de ces mémoires sur car-
tes plastiques sont très variées :
— automates bancaires DAB (distri-
buteurs automatiques de billets) et
GAB (guichets automatiques de ban-
que) ;
— terminaux bancaires de guichet ;
— caisses enregistreuses (terminaux
point de vente) ;
— distributeurs automatiques (livres,
boissons, cassettes, pompe à es-
sence) ;
— contrôle d'accès (salles d'ordina-
teurs, parkings, bibliothèques, pisci-'
nes, pointage d'horaires souples,
camions) ;
pour ne citer que les plus importantes.
Leur succès tient à leur commodité
et à leur rapidité d'emploi. Leur usure
à long terme, qui pourrait être un
inconvénient, n'intervient pratique-
ment pas car, par leur fonction même,
les cartes sont remplacées, au moins
annuellement.
Complémentaires des cartes magné-
tiques de crédit, les «cartes à
mémoire » de paiement électronique
s'introduiront, dans un proche avenir,
dans les applications de monétique
(achats chez les commerçants, cabines
téléphoniques, abonnements, télé-
paiement). Ce sont des cartes à micro-
circuit intégré inséré dans l'épaisseur
de la carte plastique. Huit contacts
PAGE 92 — MINIS ET MICROS N° 216
superficiels donnent accès à une
mémoire de plusieurs milliers de bits,
protégée par une logique de contrôle.
Mais cette technique en est encore au
stade de l'expérimentation.
Les différents types
de lecteurs
Les lecteurs et codeurs de cartes
magnétiques ont, suivant leur usage,
des présentations mécaniques diffé-
rentes. La figure 1 montre les quatre
modèles les plus fréquemment mis en
œuvre :
— Manuel de passage : l'utilisateur
passe sa carte dans une rainure à une
vitesse ni trop lente, ni trop rapide
(entre 10 cm/s et 150 cm/s), c'est une
lecture à la volée :
Lecteur-codeur de badges
magnétiques motorisé
DDM 831 (distribué en
France par Tekelec-
Airtronic). Ce modèle
automatique à tête fixe,
effectue l'enregistrement
et la lecture sur les trois
pistes Iso 3554
— À insertion manuelle : on intro-
duit la carte dans une fente, puis on la
retire. La carte n'étant pas introduite
en totalité, la piste n'est pas utilisée
entièrement ;
— Automatique à tête fixe : dès que
la carte est présentée à la bouche
d'entrée, un moteur se met en marche
et « avale » la carte qui disparaît dans
l'appareil. Puis, la carte est soit resti-
tuée, soit absorbée à nouveau (défini-
tivement, si le contrôle est négatif) ;
— Automatique à tête mobile : la
carte est introduite partiellement dans
une fente par son grand côté, celui qui
est le plus proche de la piste magnéti-
que. À ce moment, elle est verrouillée
mécaniquement, bien que l'utilisateur
puisse encore la tenir entre les doigts.
Dès qu'elle est bloquée, une tête
magnétique interne est déplacée
linéairement au moyen d'une vis-mère
le long de la piste.
Seuls les deux derniers modèles,
qui sont motorisés, peuvent effectuer à
la fois la lecture et l'enregistrement.
Avant d'examiner le fonctionnement
et l'interfaçage des lecteurs et des
codeurs, il est utile de bien connaître
la normalisation du codage des pistes.
C'est ce à quoi nous nous attacherons
dans cette première partie.
PÉRIPHÉRIQUE
Constitution
de la carte magnétique
Manuel
de passage
La carte magnétique est générale-
ment en chlorure de polyvinyle : elle a
une épaisseur de 0,76 mm. Les dimen-
sions normalisées de la carte sont indi-
quées en figure 2. Elles sont définies
par la norme Iso 2894.
À insertion
saut Trois pistes parallèles, de largeur
élémentaire 2,8 mm, peuvent être
exploitées sur la couche d'oxyde
———— magnétique déposée sur une largeur
de 10 à 12 mm (suivant les fabricants).
La figure 3 montre leurs emplace-
ments respectif, par rapport au bord
supérieur de la carte. On notera que
: le bord d'entrée normal de la carte
utomatique
à tête fixe dans le lecteur est tel que les pistes
(carte amovible) gi A
magnétiques sont lues de la droite vers
la gauche.
Moteur
Dans la norme Iso 3554, la définition
exacte des caractéristiques de la cou-
che magnétique est pratiquement élu-
dée. Il est simplement recommandé
que « le niveau du signal de lecture
soit compris entre 80 et 130 % de celui
qui correspond à un enregistrement
effectué avec un courant compris
naaue entre 350 et 500 % sur la bande étalon
{carte fixe) 1/2 pouce SRM 3200, spécifiée dans la
norme Iso 1864 ». Cette bande est
enregistrée avec une densité de 8 tran-
sitions de flux par millimètre (soit 200
ftpi) et lue à la vitesse d'utilisation de
la carte.
En
1!
!
l
‘
!
!
'
!
!
!
!
!
‘
n
n
'
!
!
Û
'
!
!
1
!
1
'
!
‘
:
4
Le
Concrètement, ces conditions abou-
tissent à obtenir, à l'enregistrement,
une aimantation d'au moins 0,1 tesla
(ou 1 000 gauss) pour un matériau de
champ coercitif supérieur à 48 kAt/m
(ou 600 œrsteds).
Fig. 1 - Les quatre modes principaux d'utilisation d'une carte magnétique.
Dans les deux premiers, c'est l'utilisateur lui-même qui déplace sa carte le plus régulièrement possible
Fig. 2 - Dimensions normalisées (exprimées en millimètres) d'une carte magnétique courante
Couche magnétique
(représentée côté observateur) …. | Caractéristiques
d’entrefer de la tête
re Il est conseillé d'utiliser une tête
d'entrée magnétique dont l'épaisseur d'entrefer
de la carte A
: soit de l'ordre de 13 um, de façon à
obtenir une résolution d'au moins
95 %. Cette dernière est définie par le
rapport des amplitudes lues en densi-
tés 20 et 8 ftpmm (ou 500 et 200 ftpi) :
roux: 6910 Anar eenee eur par conséquent, l'atténuation de (sin
x)/x = 0,95 correspond à une diffé-
Surface disponible pour rence angulaire de x = 0,55 radian.
autres inscriptions
On voit que l'épaisseur d'entrefer ne
doit en aucun cas dépasser À.x/T =
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 93
PÉRIPHÉRIQUE
Sens de lecture
Bord supérieur
Piste 1
Couche
magnétique
Bord d'entrée
de la carte
Fig. 3 - Positions respectives des trois pistes normalisées (cotes en millimètres)
on 17,5 um, puisque la longueur d'onde
l'enregistrement équivalente À des transitions magnéti-
ques est de 100 um, en 20 ftpmm.
0° #10’ pistes 1 et 3 ; à
HR Pour permettre une interchangeabi-
lité aisée des cartes, la tolérance sur
l'angle d'azimut de l'entrefer de tête
est de + 10 mn (ou 3 millièmes de
radian) pour les pistes l et 3, et de +
20 mn pour la piste 2 (fig. 4).
0° + 20’ piste 2
Notons que la largeur de la tête de
lecture (1,6 à 2 mm) est toujours infé-
rieure à celle d'enregistrement (2,8 à 3
mm). Une erreur d'inclinaison de 3
milliradians représente pour la piste |,
par exemple, une perte de niveau à la
Fig. 4 - Un azimutage précis de l'entreter des fréquence 2F (longueur d'onde équi-
têtes d'écriture ; la lecture est nécessaire pour valente de 60 um) de l'ordre de 3%
garantir une parfaite interchangeabilité des i
car, dans ce cas, x = 0,44 rad et
cartes sur les lecteurs
(sin x)/x = 0,97.
La méthode
d'enregistrement des
cartes magnétiques
La méthode d'enregistrement est
celle qui avait été proposée par Aiken
en 1954 : c'est un codage de phase,
plus connu sous l'appellation de F-2F,
dit « à deux fréquences ». L'horloge
est imbriquée dans les données.
Cette technique de codage est
caractérisée par la présence d'une
transition, c'est-à-dire une inversion
de flux magnétique, à chaque cellule
de bit. Un « 1 » est représenté par une
transition à mi-cellule, que ce soit
dans un sens ou dans l'autre. Un « 0 »
a une transition en début de cellule
(top d'horloge) et reste à saturation
positive ou négative en cours de cel-
lule (fig. 5). Autrement dit, une transi-
tion située entre deux tops d'horloge
signifie un « l » et une absence de
transition un « 0 ». Une suite de « 0 »
est à la fréquence F et une suite de
« 1 » à la fréquence 2F.
Au moins une demi-période de cel-
lule de bit doit séparer les transitions :
il en résulte que les transitions « 1 »
qui suivent immédiatement un «0 »
sont retardées (décalage de phase
d'une demi-période), d'où le nom que
l'on donne aussi à ce type de codage :
Delayed Modulation DM (*).
Fig. 5 - Technique de codage des éléments binaires enregistrés sur une carte magnétique
Cellule
de bit
Informations binaires à écrire
Données et horloge à coder
Courant de saturation
dans la tête d'écriture
Aimantation de la piste LL LOL
H
Impulsions de tension
sur la tête de lecture
(transitions de flux)
Fenêtre de séparation
des données
Données décodées
à la lecture
| Bit d'horloge
] Bit de données
PAGE 94 — MINIS ET MICROS N° 216
Les utilisateurs de disques souples
reconnaîtront la méthode à modula-
tion de deux fréquences à l'octave
l'une de l'autre, employée en simple
densité d'enregistrement (méthode
FM).
Lors de la restitution des données, il
faut employer un circuit séparateur,
dont la tâche est d'extraire les signaux
d'horloge et ceux de données. Bien
entendu, s'agissant d'un enregistre-
ment à champ longitudinal, l'aimanta-
tion entre les transitions est à satura-
tion dans l'une ou l'autre polarité.
La densité d'enregistrement et le
code des données n'étant pas les
mêmes pour les trois pistes, la capa-
cité utile pour le message est diffé-
rente pour chacune des pistes :
Nombre de bits
par caractère
(parité impaire incluse)
Piste 1 : 76 caractères alphanuméri-
ques ;
37 caractères numériques ;
104 caractères numériques.
Piste 2 :
Piste 3 :
Le tableau 1 résume les caractéris-
tiques fondamentales des pistes, con-
formes aux normes Iso 3554, Iso 4909
et Ansi X4.16-1983.
Caractéristiques
de la piste 1
La piste |] est aussi désignée sous
l'appellation Ilata (International Air
Transportation Association), car elle a
été normalisé, à l'origine, par les
transporteurs aériens dans les applica-
Nombre de
caractères
(capacité utile)
76 alphanumériques
37 numériques
Tableau I
Caractéristiques fondamentales des pistes
[@p)
TV
£
ÉLILI THEME + FF
CÉRLEEHERE EEE Let
CPELEEÉEREEEEEREE He
(e}
mem le le
oi | | |N
PRE See ER)-|e er.
le]
SI Oo | [ON |
Ce
en
Nota :
% caractère de début de texte
? caractère de fin de texte
A caractère de séparation de zone
SP espace blanc entre caractères (Space)
Tableau II : code
Ascii réduit pour
codage des
lecteurs de
cartes
PÉRIPHÉRIQUE
tions de réservation des places et des
billets.
La densité moyenne de bit est de 210
bpi ou bit par pouce (8,27 bits par mil-
limètre). On tolère une variation de +
5 % sur cette valeur de densité. C'est
ainsi que la distance entre les transi-
tions de flux contiguës est de
120 + 6 um (soit + 5 %) pour un « 0 »
et de 60 + 4 um (soit + 7 %) pour un
« 1 ». Si l'on enregistre une suite con-
tinue de « 1 », la densité des transi-
tions est de 2xX210 = 420 ftpi (16,5
transitions de flux par millimètre).
Les caractères sont codés en 7 bits
(parité incluse). C'est le bit de plus fai-
ble poids (le plus à droite dans la
numération binaire) qui est codé le
premier et transféré sur la piste
magnétique. La parité des caractères
‘est impaire, le bit de parité étant codé
le dernier. Pour la vérification du
groupe des caractères du message,
c'est un contrôle de parité longitu-
dinale qui est effectué, le caractère de
contrôle du nombre pair de bits appa-
raissant à la fin du message. Il faut
bien prendre garde que le propre bit
de parité impaire de caractère ne
représente pas la parité du message,
mais seulement la parité de ce carac-
tère lui-même.
Format du message
Le format comporte au total 79
caractères, qui sont répartis ainsi : 1
caractère de DEBUT (%) ; 76 caractè-
res alphanumériques de données ; |
caractère de FIN (?) ; 1 caractère de
contrôle longitudinal d'erreur (LRC =
longitudinal redundancy check cha-
racter).
La capacité utile est donc de 76
caractères codés en 7 bits. Un enregis-
trement complet utilise une longueur
de piste de (79x7)/8,27 = 66,9 mm
(ou 2,63 pouces). Un caractère
occupe 0,85 mm environ.
Le codage est dérivé du code Ascii
X3.4-1968 (Iso 1320) en restreignant
l'usage de ce dernier aux colonnes 2,
3, 4 et 5, et en supprimant certains
caractères (une quinzaine), comme on
peut le constater sur le tableau II.
Position du message
sur la carte
La normalisation prévoit que la
séquence des données débute à
(*) Les codes Miller M et Miller au carré M? en
sont dérivés.
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 95
PÉRIPHÉRIQUE
Tops d'horloge
(bits à zéro)
6,93 mm min.
Axe de la
dernière
cellule
de bit
Tops d'horloge
(bits à zéro)
7,44 + 0,51 mm
Axe de la
première
cellule
LÉ !
debit y
Fig. 6 - Positionnement du message complet par rapport aux bords d'entrée et de sortie de la carte
droite, si l'on regarde la carte avec la
piste magnétique en haut. Le premier
caractère (pour-cent) doit être écrit à
7,44 mm + 0,5 mm du bord droit de la
carte (fig. 6). Quant au dernier carac-
tère (point d'interrogation), il doit être
placé à moins de 6,93 mm du bord
gauche de la carte. Toute la zone exté-
rieure au message précédant le pre-
mier bit et suivant le dernier (LRC)
doit être pourvue de bits d'horloge
(suite de « 0 »).
Caractéristiques
de la piste 2
La piste 2 correspond à la normali-
sation des banques ; elle est souvent
désignée par l'abréviation Aba (Ame-
rican Bankers Associations), car elle a
été définie par les banquiers pour les
transactions financières. Elle est main-
tenant exploitée dans de très nom-
breux domaines extérieurs au secteur
bancaire. Des trois pistes, c'est la plus
largement employée.
Pour cette piste, la densité moyenne
de bit est de 75 bpi (soit 2,95 bits par
millimètre). La tolérance sur la densité
est de + 3 %. Par suite, la distance
entre les inversions de flux contiguës
est de 339 + 10 um (ou + 3 %) pour
un «0» et 169,5 +7 um (ou + 4 %)
pour un « 1». Lorsqu'on enregistre
une suite continue de « 1 », la densité
des transitions est de 2x 75 = 150 ftpi
(5,9 transitions de flux par millimètre).
Le format comporte au total 40
caractères de 4 bits (en code BCD ou
« binary coded decimal »), plus le bit
de parité impaire : l caractère de
DEBUT (;) ; 37 caractères numériques
de données ; 1 caractère de FIN (?) :
l caractère de contrôle longitudinal
d'erreur.
Le caractère de début (point-
virgule) et de fin (pointd'inter-
rogation) doivent être inscrits dans les
PAGE 96 — MINIS ET MICROS N° 216
mêmes limites géométriques que cel-
les indiquées pour la piste 1 (fig. 6).
Notons que, dans le cas du lecteur à
insertion manuelle, où la carte n'est
que partiellement engagée dans le
lecteur, la capacité est réduite à 20
caractères.
Le codage des caractères
s'effectue sur 5 bits
Le tableau III fournit le codage Aba
normalisé. On peut, hors normalisa-
tion, utiliser les trois combinaisons
binaires restantes : 11010 deux points
DOO0D
EE EE EE EE
et EE
À A EE
ee ee EE
ee a
bit de parité (impaire)
caractère de début
caractère de séparation de
zone
caractère de fin
Tableau III
Codage Aba normalisé
(:) ; 11100 plus petit que (<)
plus grand que (>).
: 01110
Les 5 bits du caractère de contrôle
longitudinal d'erreur (LRC) sont obte-
nus en vérifiant les bits de même poids
de chacun des caractères par parité
paire (y compris les caractères de
DEBUT et de FIN). Par exemple, au
message ; 61 = 1984 ? correspond un
caractère de contrôle 11010.
Comme pour tous les autres caractè-
res, c'est le bit de plus faible poids (le
plus à droite) qui est enregistré le pre-
mier sur la piste magnétique. Un
caractère occupe 1,7 mm environ.
Caractéristiques
de la piste 3
La piste 3 est aussi connue sous le
terme de Thrift, car elle a été intro-
duite pour des besoins commerciaux
(Thrift Industry). On utilise fréquem-
ment cette piste lorsqu'il y a un réen-
registrement à effectuer pour actuali-
ser une opération ou une transaction.
Le terme Mints est quelquelois utilisé
par les constructeurs japonais.
La densité moyenne de bit est de 210
bpi, comme pour la piste 1. La diffé-
rence réside dans le codage qui
s'effectue sur 5 bits par caractère
(parité incluse). Ici, les caractères
sont exclusivement numériques,
comme pour la piste 2, et non plus
alphanumériques. Chaque caractère
occupe une longueur de 0,6 mm envi-
ron. La capacité utile est plus élevée :
104 caractères, le format comportant
au total 107 caractères.
Précautions
de manipulation
Comme tout support magnétique, la
carte bénéficie de facilités d'efface-
ment et de réécriture ; pour que cela
ne devienne pas un inconvénient, il
est nécessaire de la manipuler avec un
minimum de soin.
Les utilisateurs de disques souples
connaissent bien les gestes à éviter, à
savoir :
— approcher la carte d'une source de
champ magnétique supérieur à 50
œrsteds (soit 4000 A/m), c'est-à-dire
d'un combiné téléphonique, d'un
moteur, d'un électro-aimant ou d'un
haut-parleur ;
— exposer la carte à une forte chaleur
(température supérieure à +50° C) ;
— poser un objet métallique sur la
carte ;
— plier la carte plastique.
Robert Miquel
APPLICATION
Réalisation d’un décodeur
Antiope
I — Partie matérielle
C: article traite de l'étude d'un décodeur de télétexte Antiope de
deuxième génération, structuré autour d'un micro-ordinateur monopuce
EF 6805 CT. Elle est basée sur une réalisation qui visait à utiliser au
maximum les capacités de ce circuit afin de concevoir un décodeur qui
soit le plus compact possible et qui puisse être intégré directement à un
téléviseur, sans surcoût important et bien sûr sans diminution de
performances. Après avoir brièvement rappelé les principes généraux
d'Antiope, nous décrirons aujourd'hui la partie matérielle du décodeur
et nous traiterons de son logiciel dans un numéro ultérieur.
La télématique, réservée jusqu'à ces
dernières années aux professionnels,
touche maintenant les particuliers
grâce, entre autres, aux ordinateurs
personnels, à l'annuaire électronique,
etc. L'impact de ces nouveaux moyens
de communication et d'échanges cul-
turels (rendu possible grâce au déve-
loppement de l'électronique intégrée
de grande diffusion et de faible coût)
va devenir considérable dans les pro-
chaines années, par suite de la diver-
sification des supports de transmission
utilisés, et en particulier grâce aux
futurs canaux de télévision (satellites,
câbles). Ils permettent déjà de trans-
mettre en remplacement d'un pro-
gramme, où en supplément à celui-ci
(pendant les temps morts de transmis-
sion, retours de trame), des données
numériques.
Celles-ci peuvent représenter des
pages d'écriture (textes typographi-
ques ou schémas simples) à afficher
sur un téléviseur dans le cas du télé-
texte. Les pages d'écriture, groupées
en magazines, peuvent être consultées
par tout téléspectateur possédant un
décodeur et un clavier de commande
appropriés, ces pages étant numéro-
tées.
Le téléspectateur sélectionne la
page pour qu'elle s'affiche sur l'écran
et qu'elle y reste aussi longtemps qu'il
le désire. Le télétexte pourra ainsi
remplacer n'importe quel texte
imprimé et en particulier les journaux.
On note ici l'utilisation nouvelle
d'un canal de télévision qui ne sert
plus exclusivement à transmettre des
images « analogiques », mais des don-
nées numériques codées avec un débit
qui peut être considérable puisqu'il
atteint 4 M bits par seconde à plein
canal (à comparer au vidéotexte qui
utilise les lignes téléphoniques n'auto-
risant que 1 200 bits par seconde).
Le service Antiope de Télédiffusion
de France (TDF) émet actuellement
des pages de télétexte expérimentales
sur TF1 et A2 en même temps que les
programmes TV normaux. Ces pages
contiennent des informations météoro-
logiques et des informations nationa-
les diverses. Les pages émises le matin
sur les canaux TV le sont à titre de pré-
sentation du service Antiope. Il s'agit
de pages défilantes sur la présentation
desquelles le téléspectateur ne peut
avoir aucune action. Le « vrai » maga-
zine Ântiope est diffusé l'après-midi et
ne peut être accessible qu'au travers
d'un décodeur.
TDF envisage de diffuser dès 1986
dix mille pages de texte sur les canaux
nationaux et quelques milliers sur les
canaux régionaux.
Elles contiendront diverses informa-
tions d'intérêt général (nationales et
locales), des programmes pédagogi-
ques, des petites annonces et, à moyen
terme, une multitude de renseigne-
ments émanant d'annonceurs (publi-
cité) ou d'associations privées. Dans
ce dernier cas, les consultations pour-
ront être payantes (en utilisant la
future quatrième chaîne).
Le système de télétexte n'est pas
interactif. Il n'y a pas de dialogue ser-
veur/utilisateur possible (le serveur
est TDF qui possède donc le mono-
pole), mais des millions de téléspecta-
teurs à la fois peuvent le regarder.
Une application particulièrement
intéressante du télétexte est le sous-
titrage systématique des images de
télévision à l'intention des sourds et
des mal-entendants ; le sous-titrage
apparaissant, à la demande, en
incrustation en bas de l'écran.
Le système de télétexte
Didon-Antiope
La superposition des données numé-
riques sur un canal vidéo est réalisée
par le système Didon et le codage des
pages de télétexte se fait suivant les
normes Antiope.
Didon
(diffusion de données)
La figure 1 montre le schéma de
l'acheminement des données numéri-
ques de la source à l'utilisateur avec le
système Didon. Un canal de télévision
est formé par le multiplexage temporel
d'un signal vidéo analogique et de
plusieurs sources de données numéri-
ques. À la réception, un décodeur
réalise l'extraction et le traitement des
données. Le système est totalement
transparent. On peut transmettre des
informations de natures diverses
simultanément.
La diffusion des données est cycli-
que, le codeur les réémettant périodi-
quement dans leur totalité, ce qui per-
met à l'utilisateur de disposer. de
n'importe quelle page de données à
n'importe quel moment sans avoir à la
stocker. Il doit simplement attendre
son émission, ce qui dépend de la fré-
quence de réémission. L'attente est
généralement de l'ordre de la
seconde.
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 97
APPLICATION
Antiope-servicel
Edition
Sources
de
données
Multiplexage
image/
données
Bourse
——)
|
K|
EE)
Données
par câble
Réseau de distribution
par voie hertzienne
Réseau de distribution
———————————
Emission et diffusion
Emetteur
de télévision
Clavier de
commande
Réception
Fig. 1 - Acheminement des données numériques de la source à l'utilisateur avec le système Didon.
La diffusion peut toutefois être uni-
que, notamment dans le cas des sous-
titrages.
— Organisation des données : les
données numériques sont organisées
en paquets. Chaque paquet, formé
d'un groupe d'octets, est transmis pen-
dant la partie active du signal vidéo
(hors des intervalles de retour ligne)
mais seulement pendant les retours
trames (soit sept lignes). Le signal est
obtenu par modulation du signal de
luminance, les états logiques étant
codés par un code Non Retour à Zéro.
La fréquence d'émission des bits est
adaptée à la bande passante du canal
UHF et vaut 6,20 MHz.
— Structure des paquets (fig. 2).
Chaque paquet comporte un prélixe et
un bloc de données. Le préfixe (de 8
octets) permet d'assurer la gestion du
paquet:
— une salve de 16 bits permet au
démodulateur Didon de synchroniser
son horloge pour la réception des bits
suivants ;
— un mot de synchronisation (octet)
sert de référence pour la reconstitu-
tion des octets suivants ;
— trois octets identifient le numéro de
voie numérique (ou de magazine) et
permettent de trier les paquets d'une
voie donnée parmi toutes les autres ;
— un octet d'indice de continuité est
incrémenté à chaque fois qu'un
paquet appartenant à la même voie
numérique est transmis, ce qui permet
de détecter les pertes de paquets ;
— un octet de format indique la lon-
gueur du bloc de données.
PAGE 98 — MINIS ET MICROS N° 216
Ces cinq derniers octets sont codés
en Hamming afin de détecter et corri-
ger d'éventuelles erreurs de transmis-
sion. Chaque octet du bloc de don-
nées est protégé par un bit d'imparité
(bit de poids fort) transmis en dernier.
Pour le système de télévision en
couleur français, on aura un débit de :
32 octets/ligne x 8 bits/octet x 600 li-
gnes/image x 25images/sec= 4
M bauds à plein canal. Si on utilise
seulement le retour de trame (sept
Fig. 2 - Décomposition de la structure des paquets
Ligne télé
4 us
A ———
SL ——————————]
Signal d'image
Top synchro ligñe
Paquet de données
numériques
Position du paquet dans le signal vidéo
{multiplexage image/données)
Préfixe
Bloc de données
Le
Format du bloc < 32 octets
Indice de format (1 octet)
Indice de continuité (1 octet)
Code voie (3 octets)
Synchronisation octet (1 octet})
Synchronisation bit (2 octets)
Structure d'un paquet de données
1101101101 010101010111 00111
Salve de synchro bit Mot de synchro octet
T=1/F F-6,203125 MHz
F = fréquence du bit
Séquence de synchronisation d'un paquet
Signal
vidéo
analogique
Synchro ligne
Fig. 3 - Système Didon Antiope :
Données
Sous-articles
Données numériques
N
Page 7 R Page 8
S
APPLICATION
Préfixe (8 octets)
R| Page 5
S
multiplexage de deux magazines avec un signal vidéo
Articles
Message
Fig. 4 - L'émission des pages est structurée au moyen de séparateurs d'information tels que STX, RS, etc
lignes utilisables par demi-trame) le
débit sera de 90 K bauds.
Le système
Antiope
Le sigle Antiope signifie Acquisition
Numérique et Télévisualisation d'Ima-
ges Organisées en Pages d'Ecriture.
Ce système permet la diffusion de
pages composées de textes typogra-
phiques ou de figures simples en utili-
sant le système Didon.
Les pages étant organisées en
magazines, la structure de diffusion
est la suivante (fig. 8) :
Magazine — Voie Numérique
Page — Article
Ligne — Sous-article
Une page étant composée de 25
lignes de 40 caractères, une ligne cor-
respond à peu près à un ou deux
paquets de données (de 32 octets).
La page entière nécessite entre 500
octets et 2 K octets de données. Le
temps moyen d'attente pour une page
dépend donc des caractéristiques
d'émission (tableau I).
Les magazines, repérés par leurs
numéros (numéro de voie numérique)
peuvent regrouper plusieurs dizaines,
voire plusieurs centaines de pages.
L'émission des pages est faite de
manière très structurée (fig. 4).
Le début et la fin d'une page sont
respectivement désignés par les codes
Ascii RS et ETX. Chaque page débute
par un en-tête (fig. 5) où l'on trouve le
numéro d'ordre de la page : Q,, O»,
Q,, un octet de liaison (permettant
de relier entre elles plusieurs
pages), puis une séquence d'inter-
prétation de longueur variable.
Celle-ci est importante pour la des-
cription de la page. On y trouve toutes
les informations indiquant le protocole
d'émission et le langage utilisé, des
indications de types (pages de garde,
par exemple) et éventuellement de
chiffrement. On peut aussi y trouver
les attributs de visualisation par défaut
de la page (couleur de fond, taille de
Tableau I
Caractéristiques d'émission (standard « L »)
Octets utiles par ligne TV
Capacité pour une ligne TV
(bits par seconde par trame)
Nombre de caractères par rangée
Nombre de rangées par page
32
12 800
40
25
Pages par seconde pour une ligne de données par trame 2
Capacité maximale avec programme
(sept lignes utiles si pas de ligne-test)
Capacité maximale plein canal (295 |)
Capacité pour un temps d'attente moyen de :
14 p/s
590 p/s
1 trame Plein canal
20 5 900
40 11 800
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 99
APPLICATION
caractères, etc.). Ces attributs de
visualisation sont définis à trois
niveaux : par défaut pour la page
entière, pour une ligne et pour un
caractère.
Le champ de données (fig. 5) com-
porte la description du contenu de la
page. Celle-ci est faite ligne à ligne,
puis au sein d'une ligne, caractère par
caractère. Chaque début de ligne est
signalé par un code Ascii US, suivi
des coordonnées de début de ligne.
Cette structuration est intéressante car
elle permet, en cas d'erreur de trans-
mission, de limiter l'erreur à une seule
ligne, et par la suite de ne rechercher
que cette ligne et de la corriger indé-
pendamment.
Les données sont codées en ÂAscii.
Les codes inférieurs à 20,, sont des
codes de commande qui sont soit
des séparateurs (RS, US, ETX...),
soit des codes de mouvement (CR,
LF, VT...), soit des fonctions spé-
ciales dè répétition (REP...), soit
enfin des désignateurs de
tableaux.
Les caractères sont en effet regrou-
pés en plusieurs tableaux : tableaux
alphanumérique, semi-graphique et
d'accentuation. Il existe enfin un
tableau d'attributs de visualisation
permettant de déterminer les couleurs
et tailles des caractères, le clignote-
ment où le masquage de ceux-ci, etc.
(voir tableau Il).
Il est à noter qu'Antiope permettra
dans un proche avenir l'utilisation
d'alphabets dit « mous » grâce aux-
quels des décodeurs évolués pourront
générer des caractères spéciaux tels
que cyrilliques, arabes, grecs, etc.
Les fonctions
du décodeur
Le décodeur peut être décomposé
en plusieurs parties ayant chacune
leurs fonctions particulières (fig. 6).
Démodulateur Didon
Celui-ci est chargé de récupérer les
données numériques superposées au
signal TV. On l'appelle aussi « extrac-
teur de données ». Il a pour charge
de reconnaître la salve de synchroni-
sation bit, puis le mot de synchronisa-
tion octet propre à la norme utilisée. Il
fonctionne en continu de manière tota-
PAGE 100 — MINIS ET MICROS N° 216
En-tête
Champs
de données
Fig. 5 - Structure d'un article et son en-tête
lement autonome et fournit aux autres
circuits du décodeur les données bru-
tes en série.
Le démultiplexeur
de voie numérique
Le rôle de ce circuit est plus com-
plexe. Recevant les données en série,
il doit les mettre en parallèle, les sto-
cker dans une mémoire tampon de
type Fifo qui lui est associée et enfin
commencer à les décoder. Il est
notamment chargé de trier les paquets
de données concernant une même
voie numérique (magazine), et pour
cela il doit lire le numéro de voie figu-
rant dans l'en-tête de chaque paquet.
Ce rôle correspond bien à un démulti-
plexage.
Parallèlement, dès que le magazine
recherché a été trouvé, l'unité cen-
trale va récupérer, à son rythme, les
données dans la Fifo qui est ainsi peu à
peu vidée. Cela permet, entre autres,
pour peu que l'unité centrale aille
assez vite, de stocker en Fifo la page
émise à la suite de la page demandée
(qui se trouve la plupart du temps être
la page suivante de la page deman-
dée, bien que l'émission ne se fasse
pas toujours dans l'ordre). Cette parti-
cularité se révèlera intéressante pour
la gestion multipage (voir plus loin).
Le décodage
proprement dit
Celui-ci consiste tout d'abord en la
recherche au sein d'un magazine
d'une page donnée, puis en l'acquisi-
tion des paramètres décrivant la page.
Cette première partie est faite de
manière synchrone (au fur et à mesure
de la réception des pages). Ensuite, il
faut lire les codes reçus, déterminer
s'il s'agit de commandes ou de codes
visualisables et agir en conséquence.
Toute cette partie est exécutée par
le microprocesseur de manière pure-
ment logicielle et fait appel à de nom-
breux sous-programmes spécialisés.
Une fois une donnée décodée, l'ordre
d'affichage est envoyé immédiate-
ment.
L'affichage
Celui-ci est assuré par différents cir-
cuits automates gérant l'affichage
Tableau Il
Attributs de visualisation
Couleur forme :
noir
rouge
vert
jaune
bleu
magenta
cyan
blanc
Clignotement validé
Clignotement invalidé
Etat latent validé
Etat latent non validé
Simple taille
Double hauteur
Double largeur
Double taille
Fond noir
rouge
vert
jaune
bleu
magenta
cyan
blanc
Masquage validé
Lignage invalidé
Lignage validé
Positif
Négatif
Fond transparent
Masquage invalidé
Note : le code 5/B n'est pas utilisé dans la présente norme.
d'une page. Il utilise une mémoire
d'affichage (ou de page).
Ces circuits doivent parcourir la
mémoire de page et commander l'affi-
chage effectif sur l'écran du télévi-
seur, par l'intermédiaire des sorties
RVB d'une prise Péritel ; d'autre part,
ils doivent modifier ou créer les carac-
tères de cette mémoire.
Il sera donc nécessaire au départ
d'initialiser l'écran (fond noir uni-
forme) et il suffira par la suite, pour
inscrire des caractères aux endroits
désirés, d'aller modifier par endroits
la mémoire de page.
La gestion multipage
Ainsi que nous l'avons vu, l'acquisi-
tion d'une page peut prendre plu-
sieurs secondes. Il est dès lors utile
pour le confort de l'utilisateur
d'essayer d'anticiper ses demandes.
Comme il s'agit souvent d'acquérir la
page suivante de la page affichée, il
est souhaitable que le système
acquière de lui-même cette page
durant ses temps morts, ce qui peut se
faire sans attente. Les pages étant émi-
ses séquentiellement (sauf les pages
de garde et de sommaire), la page sui-
vante sera automatiquement stockée
en mémoire tampon associée au
démultiplexeur, à la suite de la page
demandée, pour peu que celle-ci soit
traitée rapidement. Cela correspond à
une gestion bi-pade.
Une fois cette page acquise et sto-
ckée, il suffira de la décoder, ce qui
est quasi-instantané. On peut toutefois
envisager de décoder aussi cette page
suivante et de la mémoriser en
mémoire d'affichage, prête à être
visualisée. Il est possible d'envisager
des gestions multipages ainsi que de
stocker d'office des pages particuliè-
res : sommaire, page de garde ou
même page quelconque à la demande
de l'utilisateur.
La correction d'erreurs
Par suite de parasites divers qui
peuvent affecter la réception (bruits
atmosphériques ou industriels), il peut
arriver que la page affichée soit enta-
chée d'erreurs. À ce niveau, la puis-
sance des réémetteurs TV, le pointage
des antennes ou simplement l'accord
des récepteurs sont des facteurs sensi-
bles.
Il est donc nécessaire de prévoir des
mécanismes de détection puis de cor-
R, V,B
synchro
Unité de
visualisation
Extracteur
de données
(démodulateur
Didon)
Données série
APPLICATION
Unité de
traitement
Données
en parallèle
Clavier
Démultiplexeur
de voie
numérique
Fig. 6 - Bloc-diagramme général du décodeur à Antiope
rection d'erreurs. Ceux-ci seront pris
en charge par le logiciel.
Le clavier
Celui-ci joue un rôle important
puisqu'il est l'organe de commande du
décodeur. Il doit transmettre des
ordres ou des numéros. Hormis donc
les touches numériques de 0 à 9, il doit
disposer des touches suivantes :
— Anti/TV : passage du mode TV au
mode Antiope et retour ;
— Mag : choix d'un magazine ;
— Page : choix d'une page ;
— Exec : validation d'un numéro de
page ou de magazine envoyé (après
avoir appuyé sur «Mag» ou
« Page ») ;
— Page +
vante ;
— Page — : affichage de la page pré-
cédente ;
— Som : affichage de la page som-
maire ;
— Revel :
quées ;
: affichage de la page sui-
révélation des zones mas-
— Incrust : affichage du télétexte
Antiope incrusté sur une image TV
normale (sous-titrage par exemple) ;
— Veille : identique au mode TV mais
avec détection et affichage des pages
d'alarme en incrustation (flash d'infor-
mation) ;
— Auto : défilement automatique des
pages par numéros croissants ;
— Arrêt : fin du défilement.
Pour la liaison du clavier avec le
décodeur, il a été choisi d'utiliser une
liaison infra-rouge. Ce choix reste
relativement indépendant des fonc-
tionnalités du décodeur.
Réalisation du décodeur
Le synoptique détaillé du décodeur
est donné en figure 7. Le raccorde-
ment du décodeur au téléviseur se fait
par l'intermédiaire d'une prise péri-
télévision.
Nous décrivons ci-après les princi-
paux circuits utilisés et leur fonction
au sein du système.
L’extracteur de données
Il reçoit le signal vidéo (provenant
du démodulateur du récepteur TV)
par la prise Peritel et remplit les fonc-
tions suivantes :
— extraction des données numériques
présentes dans un signal vidéo pou-
vant être pertubé par des bruits para-
sites ;
— remise en forme du signal de don-
nées ;
— génération de signaux d'horloge en
phase avec les données.
Les deux circuits TEA 2585 et 2586
ainsi que quelques composants dis-
crets réalisent ces fonctions. Ils utili-
sent une technologie bipolaire pour
une question de bande passante (fré-
quence bit de 6,2 MHz). Ils fournissent
les signaux suivants :
— SLT : signal de synchro-ligne et
salve de synchro-trame ;
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 101
APPLICATION
Luminosité
Antiope
Prise péritélévision
Téléviseur
Extracteur
de données
TEA 2585
+ TEA 2586
Commutateur
12,40625 MHz
Ü
Clavier
Modulateur
PPM
UAA 4000
D CT EN ES
Compteur
Adresses
Démultiplexeur
EF 9240 (SEN)
Do
Ram |
Fifo
2Kx8
AQG.
n.
Extension du générateur
de caractères
EF 9341
(GEN)
Circuit de visualisation
EF 9340 (VIN)
Horloge
——— Ram 1"
Le nat at 2Kx8 — ""
Adresses Données
Latoh (8 bits) |::.
: À A7
Données
AS Port D
Préampli
IR
Micro-ordinateur
EF 6805 CT
4,9152 MHz
Fig. 7 - Synoptique complet du décodeur à base d'un 6805 CT et des générateurs de visualisation (EF 9340/41)
PAGE 102 — MINIS ET MICROS N° 216
— HR : horloge de référence bit à la
fréquence de 6,20 MHz (HR n'est pas
automatiquement en phase avec les
données) ;
— HD : horloge de données (en phase
avec celle-ci mais absente entre les
paquets) ;
— VAL : validation des données ;
— DS : données séries.
L'extracteur de données travaillant
à un fréquence élevée, il est néces-
saire de soigner son implantation sur
le circuit imprimé. Un schéma type de
circuit est d'ailleurs donné dans la
documentation des circuits TEA
2585/86. Cette partie nécessite un
réglage soigné au niveau de l'accord
des circuits.
Le démultiplexeur de voie
numérique EF 9241
Il reçoit les trois signaux de don-
nées, d'horloge et de validation four-
nis par l'extracteur de données et réa-
lise :
— la conversion série/parallèle des
données :
— la reconnaissance de l'adresse de
voie numérique programmée par le
microprocesseur et le tri des paquets
en conséquence ;
— le traitement du bit d'imparité sur
les données reçues ;
— la gestion d'une mémoire tampon
Fifo de 2 K octets contenant les don-
nées relatives à un page de télétexte.
Le circuit EF 9241 (SEN) assure ces
fonctions et la transmission des don-
nées vers le microprocesseur sous
forme d'octets. Le « switch » (fig. 7)
assure la continuité de l'horloge
(HR + HD) et permet donc la conti-
nuité du rafraîchissement mémoire
entre les réceptions de paquets.
Le circuit EF 9241 peut assurer une
fonction « Tri » afin de ne délivrer les
données qu'à partir d'un début de
page (reconnaissance du code RS),
ceux-ci pouvant, suivant la norme
Didon, se trouver au milieu d'un
paquet. Une fois ce code reçu, la Fifo
associée au circuit est chargée à
grande vitesse par le SEN. Le micro-
processeur commence alors la lecture
des données à son rythme et dispose
de 700 us pour décoder l'en-tête de la
page et décider si elle correspond ou
non à la page désirée (700 us = inter-
valle minimal entre deux paquets de
pages différentes).
Pour le traitement de la page, il est
nécessaire de connaître la position du
code RS dans le paquet reçu (afin de
récupérer les indices de continuité IC
et de format N). Cela implique la pré-
sence d'un compteur incrémenté par
les signaux R/W du SEN et bloqué par
SLT, la RAZ ayant lieu à chaque initia-
lisation du circuit. Celui-ci compte le
nombre de données reçues entre le
code RS et la fin du paquet et permet
ainsi au microprocesseur de savoir où
se trouve la frontière du paquet sui-
vant. Ce compteur est relié au bus de
données par des portes trois états.
L'unité de visualisation
L'unité de visualisation reçoit les
informations (codes visualisables et.
commandes) provenant du micropro-
cesseur et gère l'affichage à l'écran en
contrôlant les signaux Rouge, Vert et
Bleu et les signaux de synchronisation
ligne et trame. Après passage dans
des circuits d'interface, ces signaux
sont envoyés au récepteur TV via une
prise péritélévision.
L'unité de visualisation fait appel à
deux circuits intégrés EF 9340 et 934]
(VIN et GEN) et à une Ram de 16 K
bits.
— Le circuit EF 9341 (GEN) est un
générateur de caractère à Rom inté-
grée fournissant 128 caractères alpha-
numériques et 128 caractères semi-
graphiques.
— La Ram sert de mémoire de page et
stocke les codes visualisables corres-
pondant à une page entière. Les
caractères sont stockés avec leurs
attributs de visualisation ; il faut 8 bits
pour coder un caractère et 8 bits pour
ses attributs. Pour une page de 24
lignes et 80 caractères/ligne, il faut
donc 1 KX16 bits. On utilise deux
Ram statiques de type 6116 de 1 K
octet, cela fait donc 2 KX16 bits ; il
est par conséquent possible de stocker
éventuellement deux pages.
— Le circuit EF 9340 (VIN) est un pro-
cesseur de visualisation qui balaye la
mémoire de page et fournit directe-
ment les signaux RVB et les signaux de
synchronisation.
La liaison avec le microprocesseur
est assurée par une interface asyn-
chrone intégrée à GEN. Il est possible
de créer des caractères ayant des attri-
buts de visualisation quelconques :
taille et largeur simple ou double,
inversion vidéo, soulignage, clignote-
ment, et cela conformément aux nor-
APPLICATION
mes Antiope. Il est par ailleurs possi-
ble de travailler en incrustation, c'est-
à-dire en écrivant par-dessus une
image TV normale, ce qui est utilisé
pour le sous-titrage.
À l'aide d'une Rom de 2 K octets et
de trois circuits TTL de décodage, il
est facile de constituer une extension
du générateur de caractères et donc
de visualiser jusqu'à 192 caractères
supplémentaires. Cela permet de res-
pecter pleinement les normes TDF et
de suivre leur évolution. Par ailleurs,
l'utilisation d'une Ram au lieu d'une
Rom permet de traiter les alphabets
« mous » prévus par TDF (ces alpha-
bets « mous » comporteront des carac-
tères définis point par point à l'émis-
sion).
La liaison du décodeur avec le télé-
viseur se fait par l'intermédiaire d'une
prise péritélévision après passage
dans des circuits d'adaptation (transis-
tors). À l'intérieur du téléviseur se
trouve un multiplexeur permettant de
commuter les signaux issus de la prise
Peritel avec les signaux issus du
récepteur TV. Ce multiplexeur est
commandé par les signaux CL (com-
mutation lente) et I (incrustation) de la
prise.
La commutation lente permet de
passer soit en mode TV normale, soit
en mode Ântiope. Le signal d'incrus-
tation est un signal de commutation
rapide permettant de multiplexer les
images TV normales et les images
Antiope pendant leur affichage
(fig. 8).
La broche CL est commandée par
un des ports de sortie du microproces-
seur (PA). Si CL=]1, seule l'image
télétexte est affichée (mode
Antiope) ; si CL=0, c'est l'image
TV (mode TV) tant que I=0. Dès
que I=1, l'image Antiope est
incrustée sur l'image TV. I sert
donc de délimiteur d'inscrutation.
Ce signal est géré automatique-
ment par VIN, le passage en
incrustation étant commandé par
un attribut de visualisation.
Afin que l'image incrustée soit sta-
ble (horizontalement), il faut que les
impulsions de synchronisation ligne,
sortie TL, délivrées par VIN soient
synchronisées sur celles du signal
vidéo issu du téléviseur, fournies par
la broche SLT de l'extracteur de don-
nées. Cette synchronisation est assu-
rée par un circuit PLL, utilisant un
quartz, qui ralentit ou accélère légère-
ment l'horloge de VIN (3,5 MHz) sui-
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 103
APPLICATION
vant que TL est en avance ou en retard
par rapport à SLT.
Par ailleurs, le signal de synchroni-
sation trame du signal vidéo est
reconstitué par l'intermédiaire d'un
intégrateur (circuit RC) et attaque
l'entrée SYT de VIN afin qu'il n'y ait
pas de décalage vertical de l'image
incrustée.
Le clavier
L'émission des commandes est réali-
sée à l'aide d'un circuit UAA 4000
capable de coder (en modulation
d'impulsions codée en position PPM)
jusqu'à 32 touches (seules 22 touches
sont utilisées) et d'attaquer un émet-
teur infrarouge.
La réception fait appel à un pré-
amplificateur envoyant les signaux sur
le microprocesseur.
La reconnaissance des commandes
clavier passe par le décomptage du
temps écoulé entre deux impulsions
émises (fig. 9). Le « timer » intégré au
6805 est utilisé à cette fin. Les bits D et
l émis sont reconnaissables d'après
leur durée ; puis, comme il faut recon-
naître les intervalles entre mots (ces
derniers sont trois fois plus longs
qu'un | et une fois et demie plus longs
qu'un 0), le pré-diviseur intégré au
timer est réglé pour que celui-ci
dépasse sa durée totale de décomp-
tage (passe de 00,, à FF, ) lors d'un
intervalle entre mots, et ainsi
génère une interruption interne
« timer » IRQT.
Ainsi que nous le verrons plus loin,
il est pratique de traiter l'interface cla-
vier en mode interrompu. De ce fait, il
suffit de brancher la sortie du récep-
teur IR sur l'entrée IRQ du micropro-
cesseur pour que chaque bit reçu
génère une interruption IRQ et cha-
que fin de mot une interruption IRQT.
Le décodage devient alors assez
facile. Toutefois, il importe que le pro-
gramme de traitement d'interruption
IRQ soit le plus bref possible afin de
ne pas gêner le déroulement du pro-
gramme principal.
L'unité de traitement
Le cœur de celle-ci est le micro-
ordinateur EF 6805 CT, processeur 8
bits auquel on a adjoint sur la même
puce :
— une Rom programmable à la fabri-
cation ;
— 240 octets de Ram ;
PAGE 104 — MINIS ET MICROS N° 216
Intérieur du téléviseur
Signaux
issus
de VIN Sync
Multiplexeur
Vers tube
cathodique
Commande
du multiplexeur
Fig. 8 - Détail de la commande d'incrustation
Emission du code «11010»
Début de mot
SFF
Valeur
du timer
Fin de mot
Bit
reçu = «1»
Timer = 8 90
bit7=1
IRQT généré
Fig. 9 - Reconnaissance des commandes du clavier
— un « timer » avec pré-diviseur pro-
grammable ;
— une interface asynchrone (UACC)
programmable ;
— des ports d'E/S parallèles.
Ce composant est intéressant pour
les raisons suivantes :
— Je « timer » permet de gérer direc-
tement le clavier ;
— pour peu qu'il ne soit pas trop
important, le programme de gestion
pourra être situé sur la puce (valable
pour une fabrication industrielle seu-
lement) ;
— l'UACC permettra, si on le désire,
de connecter une imprimante, un cla-
vier, etc.
Le jeu d'instructions du 6805 corres-
pond à celui du 6800, à quelques
modifications près. Certaines instruc-
tions ont été supprimées, d'autres ont
été ajoutées.
Les instructions ajoutées permettent
de travailler au niveau du bit sur des
registres ou des mots mémoirés (mise à
un où à zéro d'un bit quelconque).
Elles sont intéressantes pour la pro-
grammation, mais ont l'inconvénient
d'être longues (dix à douze cycles soit
3 us en moyenne).
Pour mettre sur une seule puce de
silicium tout ce qui a été énuméré plus
haut, les concepteurs du 6805 CT ont
dû supprimer des registres notamment
le registre B, et «raccourcir » le
registre d'index qui n'a plus qu'une
capacité de 8 bits.
Cette dernière modification consti-
tue l'inconvénient le plus sérieux. En
effet, il devient impossible d'adresser
plus de 256 octets en adressage indexé
en une seule passe. L'adressage de
taille mémoire supérieure nécessite un
sous-programme spécialisé avec une
table de saut et une réservation de
variables d'indexation auxiliaire en
Ram. Toutefois, ces restrictions ne
sont pas trop pénalisantes et ne font
guère qu'augmenter un peu la taille
du logiciel.
Cela étant, le 6805 CT dispose de
plusieurs modes d'adressage et peut
utiliser jusqu'à quatre ports d'en-
trée/sortie, l'un d'eux étant spécialisé
UACC.
Le microprocesseur est utilisé en
mode d'adressage étendu pour avoir
jusqu'à 14 K octets de mémoire adres-
sable. Dans ce mode, les données et
les adresses basses (A, à À,) sont
émises sur le même port, ce qui
conduit à réaliser un multiplexage
à l'aide de huit bascules D com-
mandées par le signal AS issu du
6805.
Le programme de gestion complet
tenant sur 4 K octets, on peut avoir
jusqu'à sept pages stockées en Ram (à
raison de 2K octets par page en
moyenne) et ainsi avoir une gestion
multipage intéressante.
En réalité, on peut se contenter dans
la plupart des cas de quatre pages : le
sommaire, la page courante (deman-
dée par l'utilisateur), ainsi que la page
précédente et la suivante. Notons que
l'on peut stocker une page en mémoire
de visualisation et que l'on peut utili-
ser la Fifo associée au démultiplexeur
pour stocker la page suvante. Il est
donc possible de se limiter à deux Ram
de 2 K octets.
Le décodeur complet
La version la plus élaborée du déco-
deur (sept pages stockées, extension
du générateur de caractères) néces-
site 36 circuits intégrés et quelques
dizaines de composants discrets, le
tout tenant sur une carte de 15x 15cm
ou double Europe.
Une version plus modeste mais suffi-
sante (deux pages sotckées) ne néces-
site que 29 circuits. L'utilisation de
circuits Mos permet de limiter la con-
sommation à 1 À pour l'alimentation
5V et à 0,1 À pour l'alimentation 12V
(circuits Didon et pré-amplificateur
IR).
Bruno Varale
et Hervé Piquant
Peur ven ère
eu acheter, des
Matériels douasien,
©
utilisez les petites
annonces de
INIS
m ae
informatique electronique
Pour transmettre votre texte :
e le télex EDITEST 230 589 F
e le télécopieur (1) 240 22 01 (Rank Xerox 400)
e le courrier : 5, place du Colonel-Fabien, 75491 Paris Cedex 10 -
(1) 240 22 01
Date limite :
le lundi précédent la date de parution
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 105
Elles tournent et s’inclinent
pour mieux vous servir
les nouvelles consoles WY 50 et WY 75
La nouvelle génération des con- soles de visualisation
WY 50 et WY 75 est une véritable réussite ergonomique.
Elle associe les caractéristiques d’un gros terminal aux prix et aux
dimensions d'une petite console. Son clavier extra plat est déportable.
L'écran de 36 cm orientable et inclinable assure un très grand confort.
TEKELEC AIRATRONIC
Cité des Bruyères, rue Carle Vernet, 92310 SEVRES Tel. : (1) 534.75.35 - Telex : 204 552 F
Puu12 1010
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 144 du service-lecteurs (p. 151)
PAGE 106 — MINIS ET MICROS N° 216
Panorama
des circuits et coprocesseurs
pour calcul arithmétique
Le sont correctement programmés, les microprocesseurs savent
tout faire, même les calculs les plus complexes. Mais, ils prennent leur
temps, ce qui est proprement inadmissible à notre époque. En
conséquence, on leur adjoint des circuits spécialisés dans le calcul
arithmétique ou des coprocesseurs mathématiques qui se font une joie
de jongler à toute vitesse avec les nombres. C'est à ce type de circuits
qu'est consacré cet article qui, après avoir défini les critères de choix,
dresse un tableau des caractéristiques des principaux circuits existants.
Ainsi va la vie, pour les circuits
arithmétiques comme pour le reste :
plus large est le choix, plus complexe
est la décision. Expliquons-nous : là
où naguère — quelques années tout
au plus — pour un calculateur l'alter-
native se partageait entre la présence
d'une bibliothèque de sous-
programmes mathématiques ou l'assis-
tance d'un encombrant opérateur
matériel fait de bons vieux SSI-MSJ, il
existe aujourd'hui quantité d'autres
voies, parmi lesquelles le logicien par-
fois se perd. C'est que la solution
appropriée, le « bon choix », n'est pas
identique pour tous, mais dépend de
l'importance relative accordée aux
caractéristiques suivantes :
— Performance : temps d'initialisa-
tion et vitesse de calcul ;
— Complexité : nombre d'opérations
effectuées, formats acceptés, contrôles
et comptes-rendus ;
— Compacité : taille du composant et
volume du matériel complémentaire
pour réaliser l'ensemble de la fonction
voulue :
— Parallélisme : possibilité d'exécu-
ter les calculs pendant le déroulement
des programmes dans le processeur
central ;
— Programmabilité : enchaînement
d'opérations élémentaires pour la réa-
lisation de calculs complexes, et possi-
bilité d'implantation d'algorithmes
propres à l'utilisateur dans le compo-
sant ;
— Adaptabilité : présence d'options,
et facilité de ré-utilisation dans
d'autres configurations ;
— Testabilité : présence d'un auto-
test, simplicité de mise en œuvre de
tests externes et, si possible, exhausti-
vité ;
— Compatibilité avec l'environne-
ment : technologie, consommation et
encapsulage (packaging) ;
— Disponibilité : crédibilité du fabri-
cant et secondes sources ;
— Coût : du composant et de la solu-
tion globale.
Quelques remarques s'imposent
pour justifier l'importance de ces cri-
tères.
— Performance : il ne faut pas se fier
à la seule vitesse de calcul. Ainsi,
pour les multiplieurs 16 bits les plus
rapides, le chargement des
opérandes-sources et le prélèvement
du résultat sont plus pénalisants que le
temps de multiplication.
— Compacité : lorsque s'offrent plu-
sieurs solutions, la comparaison
d'encombrement ne doit pas porter sur
la taille du composant de calcul seule-
ment, mais sur l'ensemble du matériel
nécessaire : logique de décodage,
étage de mémorisation éventuel, logi-
que d'interface, etc.
— Programmabilité : les mécanismes
de chaînage d'opérations vont de
l'accumulateur des multiplieurs (du
type TDC 1010 de TRW) au décodage
direct des instructions, concurrem-
ment au CPU, comme l'a fait le pre-
mier le coprocesseur 8087 d'Intel. La
programmabilité s'exprime aussi par
la liberté offerte à l'utilisateur d'établir
ses propres algorithmes à l'intérieur
même du composant : l'exemple-type
COMPOSANT
est le TMS 320 de Texas Instruments,
destiné en priorité aux applications de
traitement de signal, mais tout à fait
utilisable pour des applications
d'arithmétique générale (contraire-
ment à ses concurrents directs).
— Adaptabilité : c'est une notion
parfois essentielle puisque la volonté
d'utiliser à nouveau une même unité
arithmétique sur deux microproces-
seurs différents, par exemple, péna-
lise fortement les circuits trop spéciali-
sés, comme le 8087 déjà cité.
— Disponibilité : elle recouvre di-
vers aspects : l'annonce d'échantillons
n'implique pas une commercialisation
immédiate ; la disponibilité aux Etats-
Unis n'est pas preuve de disponibilité
en France ; la diversité des sources
d'approvisionnement résulte du suc-
cès d'un produit, et le succès de
celui-ci est lié à la présence de secon-
des sources.
Pour clarifier une situation parfois
complexe, nous avons classé les cir-
cuits arithmétiques en deux catégo-
ries: d'une part les multiplieurs,
d'autre part les composants multifor-
mats et/ou multi-opérations. Ne figu-
rent pas ici les unités arithmétiques et
logiques (ALU) pour la bonne raison
que leurs fonctions de calcul sont sim-
ples — addition et soustraction — et
ne représentent qu'une part limitée de
leurs possibilités logiques. Les juger
selon leurs seules performances de
calcul serait injuste. Ne sont réperto-
riés, en outre, que les circuits d'arith-
métique générale (à l'exclusion par
exemple des composants monolithi-
ques trop spécialisés de traitement
numérique du signal).
Les multiplieurs
Nous ne faisons figurer sous cette
rubrique que les multiplieurs à opé-
randes entiers ou à virgule fixe, les
multiplieurs « flottants » apparaissant
dans la catégorie suivante, au titre
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 107
COMPOSANT
d'opérateurs. Les multiplieurs ont
quatre caractéristiques essentielles.
— Le format des opérandes manipu-
lés : il est très rarement inférieur à 8
bits. Les quelques survivants (par
exemple l'Am 25505) sont dépassés
tant en vitesse qu'en consommation.
Les formats les plus courants sont
16x16, et aussi 8x8, 12X12 et
24 x 24, ce dernier étant destiné essen-
tiellement à la réalisation d'opérateurs
flottants.
— Le mode de fonctionnement :
pour les multiplieurs dits parallèles,
les deux opérandes-sources sont char-
gés en mode parallèle, et le résultat est
disponible lui aussi en bloc. En
interne, la multiplication s'effectue
soit de manière matricielle, (et l’on a
affaire à un multiplieur combinatoire),
soit de manière séquentielle. Le pre-
mier type est bien entendu plus rapide
que le second. Pour les multiplieurs
dits parallèles/série, ou plus simple-
ment série, le multiplicande est
chargé en mode parallèle, et le multi-
plicateur en série. La multiplication
s'effectue séquentiellement, et le pro-
duit est élaboré progressivement et
sorti en série. Ces multiplieurs sont
plus lents que les multiplieurs combi-
natoires, mais se cascadent à moindres
frais : le doublement de largeur des
opérandes ne nécessite que deux mul-
tiplieurs séries, contre quatre multi-
plieurs parallèles et quelques addi-
tionneurs (ou trois multiplieurs et
d'autres additionneurs).
— Le mode de sortie du résultat : il
est tantôt direct, tantôt mémorisé, tan-
tôt accumulable. Cette dernière
option permettant le cumul du résultat
à une valeur antérieure, trouve de
nombreuses applications, dans les
opérations de type polynomial par
exemple. Le TDC 1010 de TRW en est
le représentant le plus connu. Pour les
multiplieurs 16x16, différents choix
s'offrent quant au nombre de bus
d'entrée et de sortie : seul le 74 S 556
de MMI propose deux ports d'entrée
de 16 bits et un port de sortie de 32
bits, au prix d'une encapsulation 84 ou
88 broches (en Chip-carrier ou Pin
Grid Array). À l'opposé, l'ADSP-1110
d'Analog Devices utilise un seul bus
de 16 bits, bidirectionnel, et se pré-
sente en circuit 28 broches. Tous les
autres multiplieurs 16X16 sont des
composants 64 broches ne disposant
que de trois ports 16 bits. Pour les cir-
cuits du type MPY 16 de TRW, un des
trois ports est bidirectionnel : entrée
PAGE 108 — MINIS ET MICROS N° 216
Tableau I - Caractéristiques des multiplieurs
Forma] fre [Fareon] lue | rune TE) [bee
AMD bip
Fairchild
14 F 557/558
SE
TRW
Parallèle
sans accu
Analog
Devices
Parallèle
avec accu
Analog
Parallèle
sans accu
Analog
Devices
8x 8| Série 25 LS 14A > 50 MHz 0,25/0,35 16
25 LS 2516 bip. > 17 MHz | 1,5/2,1 40
TI___] 74 LS 384 bip. > 25 MHz 0,5/0,8 16
Parallèle | AMD 1255S557/558 |bip. 75 1/1,5 40
sans accu
Analog | ADSP-1080 J | C-Mos [TS 0,06 max. 40
Devices
ADSP-1080 K |C-Mos 100 0,06 max. 40
ADSP-1081 C-Mos 90 0,065 max. 40
1,1/1,5
40
1,1/1,5 40
0,9/1,3 40
0,06 max. 48
0,06 max. 48
0.06 max.
48
MMI 1745557/558 |bip. 60
TRW | MPY 008 H/HU | bip. 65
Parallèle | Analog | ADSP-1008 J | C-Mos 35
avec accu| Devices ADSP-1008 K |C-Mos 00
À C-Mos
ADSP-1008 AK | C-Mos
0,06 max.
MC 2008
ADSP-
AD
29516/517-1
29516/517 À
29 L 516/517
29 C 516/517
ADSP-1016J
ADSP-1016 K
ADSP-1016 AJ
TDC 1008 bip.
1,3/1,9
48
48
0,2/0,5
1,25 max.
48
1,25 max.
2,1/3
1,4/2,2
C-Mos
C-Mos
ADSP-1016 AK
IDT(*)
TMC 216 H
7216/7217
145 556
74 ALS 1616
MPY 016H
MPY 016K
C-Mos 0,25/0,5 oct. 84
WTL 1516
WTL 1516 À
WTL 1516 B
WTL 2516 D
NMes
août 84
août 84
WTL 1016
WTL 1016 A
: . Performances) Consom. |Nombre
Pom] pe Pom] éoue | ru J'me) ce en ap,
6 x 16 Parle ee us Pa
RE
Che Datsun à La fau
Cat |
st
bases Lam] Cha] 26 | Gsm
D Lanspaoor | cos | 150 | oismx
L'ADSP101 A] CM | 115 | oimx |
SPA Ch | oisen
Luis poser + Pa
nt er
| zx |
RES
ETS
eitek (9) WTL100 | NMos |
RES
(*) IDT et Weitek sont distribués respectivement par REA et — ec. Les autres fabricants ont un bureau
commercial en France. Les produits sont disponibles sauf indications contraires (valables en juillet dernier).
Tableau I (suite)
d'un opérande ou sortie des 16 bits de mière s'attribue l'avantage de la
poids faible du produit. Les circuits du
type 29516 d'AMD offrent, en plus de
cette fonctionnalité, la possibilité de
sortir les poids forts et poids faibles du
produit sur le même port : ainsi les
trois bus sont monodirectionnels.
— La technologie : aujourd'hui deux
familles s'affrontent : bipolaire et
C-Mos (seul Weitek propose égale-
ment des produits N-Mos). À la pre-
vitesse (logique interne en ECL si
besoin est) : à la seconde celui de la
consommation. Si la lutte est serrée,
ont peut toutefois prévoir sans risque
là victoire du C-Mos: le rapport
actuel de vitesse est voisin de deux,
celui de consommation à vitesse maxi-
male de dix.
À titre d'exemple, la figure ci-
dessous donne les caractéristiques
Caractéristiques performance/puissance des multiplieurs parallèles 16 x 16
Bipolaire
faible consommation
N-Mos et bipolaire
AD = Analog Devices
EF = Efcis
W = Weitek
© : sans accumulateur
200 T max.
160 180
(ns)
® : avec accumulateur
© : produit annoncé
COMPOSANT
vitesse/consommation des principaux
multiplieurs 16X16. Le tableau I,
quant à lui, présente les multiplieurs
disponibles — ou prochainement dis-
ponibles — sur le marché, classés
selon leurs caractéristiques.
Les opérateurs
multiformats
ou multi-opérations
Par opposition aux multiplieurs,
nous entrons ici dans un domaine de
grande dispersion. Il n'existe pas de
chef de file, seulement deux catégo-
ries : celle des opérateurs génériques
(c'est-à-dire adaptables à tout type de
CPU), et celle des opérateurs dédiés,
optimisés pour le couplage à un
microprocesseur donné. On peut
observer chez ces derniers une grada-
tion permettant à certains de se rac-
corder, au prix d'une baisse de pertor-
mance, à un autre CPU que celui
d'origine.
La famille des opérateurs généri-
ques est la plus ancienne. Elle a été
longuement représentée par le 9512 —
Floating Point Unit — et surtout par le
9511 — Arithmetic Processing Unit —
d'AMD. Au terme d'une belle car-
rière, ils vont devoir laisser la place
aux autres, en raison, d'une part, de
leur interface 8 bits, d'autre part de
leur fonctionnement interne micropro-
grammé trop lent, enfin, pour le 9511,
de sa non conformité aux normes IEEE
sur les nombres flottants.
Cette conformité est désormais un
« sine qua non » pour toutes les appli-
cations générales. Les formats non
standard, tel que le format 22 bits
(16+6) de TRW, sont réservés à des
traitements particuliers dans des systè-
mes spécialisés.
De nouveaux venus, compatibles
avec la norme IEEE, se présentent.
Toujours chez AMD, un opérateur flot-
tant 32 bits, le 29325, doit être échan-
tillonné vers le mois d'octobre. De son
côté Weitek commercialise, depuis fin
1983 aux États-Unis et depuis peu en
‘France, les circuits 1032 et 1033, réali-
sant respectivement la multiplication
et l'addition/soustraction de flottants
32 bits. Le couple 1064, 1065, travail-
lant sur flottants 64 et 32 bits, ou
entiers 32 bits, est prévu pour la fin de
cette année. Analog Devices, enfin,
annonce avant mi-1985 le couple
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 109
COMPOSANT
Tableau II - Opérateurs multiformats ou multifonctions
9512 F 32,F 64 | Add., Sous., Mul.,
Div.
29325 RE Add., AA. Ses. MAL | Mul.
Analog | ADSP 3210 | F 32, F 64 | Mul.
Devices | 1psp 3220] E3%2 |add., Sous.
Add., Sous., Mul.,
Div., Log., Exp. :
; Tang, Racine carrée
9511 A F 3 Add., Sous., Mul.,
E 16, E 32 | Div., Log., Exp.,
Ti, Racine
carrée
, | Add., Sous., Mul.,
Div., Log., Exp.,
Tang, Racine carréel
Motorola| 6888] F 32, F 64, | Add., Sous., Mul.,
F80, BCD | Div., Trigo, Log.,
Exp., Racine carrée
F 32,F 64 Add,, Sous., Mul.,
- |
TMS 32010 | E8,E 16,
E 3
Weitek | WTL 1033 pue] | Add., Sous.,
REA
REA F 64
(*) Formats :
PAGE 110 — MINIS ET MICROS N° 216
Add., Sous.,
Mul.
à 4 MHz
Add./Sous..
Mul.
à 3 MHz
Add./Sous..
Mul.
Div.
en ys
E16lE 321|F321|+12V: 1,2W] N-Mos Format F 32 incompatible
+5V: 0,5W IEEE.
Interface microprocesseur
8 bits
+12V: 1,2W! N-Mos
10 Mop/s
F3:
F64:
E 32:
10 Mop/s
2 Mop/s
10 Mop/s
à 8 MHz F 32
Add./Sous..
Mul.
Div.
F 64
à 5 MHz
Add./Sous..
Mul.
Div.
Mu. :
Div. :
Mal. :
Div. :
08 us
2,2us
1,5 us
3,5 us
à 10 MHz
Add./Sous..
Mul.
Tcycle = 200 ns
Mul. 16x16 = 200 ns
Oct. 84 | Trois bus 32 bits.
Division flottante en 8 cycles
Début 85 | Deux bus 32 bits
Format interne 80 bits.
Interface 8/16 bits
Interface microprocesseur
8 bits
144
96
Version définitive disponible
fin 1984
Version 8 MHz fin 1984
bipolaire Multiplieurs/diviseurs
séquentiels
bipolaire
Format interne 80 bits.
Nombreuses instructions.
Interface 8, 16, 32 bits
Interface 16 bits. Version
10 MHz : juillet 1984
(version
6 MHi)
Rom et Ram interne.
Décaleur à barillet ALU 32
bits. Multiplieur 16 x 16.
Interruption
Version 10 Mop/s : juillet
1984
Add./Sous., : 8 Mop/s
Mul. F 32 : 4 Mop/s
Mul. F 64 : 2 Mop/s
Fonctionnement possible sur
1, 2, ou 3 bus
E et F suivis d'un nombre indiquent des entiers ou flottants et le nombre de bits. BCD = binaire codé décimal.
ADSP 3210/3220, aux fonctions sem-
blables à celles des circuits de Weitek.
La famille des processeurs dédiés,
parfois appelés coprocesseurs, date
des microprocesseurs dits 16 bits. Le
premier représentant fut le 8087
d'Intel, coprocesseur du 8086 ou 8088.
Il s'accomode de huit formats d'opé-
randes (dont le format flottant 80 bits
cité dans la norme IEEE) et de multi-
ples fonctions arithmétiques, trigono-
métriques, exponentielles et logarith-
miques. Son homologue 80287, copro-
cesseur du 80286, est d'ores et déjà
échantillonné, et les versions totale-
ment fonctionnelles devraient être dis-
ponibles à la fin de cette année. Les
autres fabricants de microprocesseurs
ont suivi l'exemple : Motorola propose
le 68881, National Semiconductor le
16081 et Zilog le 8070.
Le tableau Il précise les caractéris-
tiques de tous ces processeurs. On y
notera la présence du TMS 320 de
Texas Instruments, pour la possibilité
qu'il laisse au concepteur de micro-
programmer ses propres fonctions. Il
représente ici la famille des proces-
seurs monolithiques dits de traitement
de signal, dont certains peuvent être
« détournés » en processeurs arithmé-
tiques d'usage général.
Perspectives prochaines
Comment évolueront ces différents
circuits au cours des prochaines
années ? On peut s'interroger sur
l'utilité de multiplieurs entiers
32 X 32 : il est fort probable que tous
les opérateurs flottants 64 bits réalise-
ront cette fonction. En outre, de nom-
breuses applications qui utilisent
aujourd'hui l'arithmétique entière par
souci de vitesse et de précision, se
tourneront bientôt vers l'arithmétique
flottante 64 bits.
L'évolution de ces opérateurs flot-
tants se fera dans le sens d'une prise
en compte de plus en plus intégrée des
suggestions de la norme IEEE : format
interne 80 bits, traitement des excep-
tions, etc. Enfin, les coprocesseurs
proposeront davantage de fonctions
arithmétiques, transcendentales et
autres, pour remplir à terme le rôle
d'une véritable « bibliothèque » de
fonctions. Bonjour les maths !
Philippe Lorrain
SPECIAL NCC 84
NUMERO HORS SERIE
MINISS
MICTOS
informatique electronique
au sommaire de ce numéro
les caractéristiques des nouveaux périphériques présentés
à la NCC ;
l'influence de l’IBM PC et la stratégie d'IBM (les problèmes
de compatibilité et de communication) ;
les bruits et les rumeurs de la NCC
une étude réalisée avec la collaboration de « Périphérique
Assistance » :
300 NOUVEAUX PRODUITS
disques souples, rigides
et optiques/ dérouleursi
moniteursitables traçantesl|
imprimantes/terminaux/
en vente dans les kiosques
et sur le stand Sicob OEM n° 505
PRIX : 35 FF
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 111
LE CPDS crée L'ÉVÉNEMENT
LE SYSTÈME DISTRIBUÉ, PORTABLE
PUISSANT par son architecture
e 3 processeurs multi-tâches
e 1 mémoire de 320 Ko min.
e analyse logique 80 voies 20 MHz
e émulation 8-16 bits
PUISSANT par sa facilité d'emploi
e système d'exploitation multi-fenêtres
e contrôlé par coccinelle
e autodocumenté
PUISSANT par son homogénéité
e multipostes en réseau local
e autonome sur site
21, av. de la Plaine-Fleurie
38240 MEYLAN
Tél. (76) 90.10.95
Development Systems ® Marque déposée par AIM
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 145 du service-lecteurs (p. 151)
PAGE 112 — MINIS ET MICROS N° 216
Intelligence artificielle :
les principes fondamentaux
des systèmes-experts
L.. systèmes-experts constituent l'un des aspects les plus actifs et les
plus à la mode de l'intelligence artificielle. Dans certains domaines, des
résultats significatifs ont déjà été obtenus (principalement aux Etats-
Unis !...), mais les espoirs qu'ils suscitent sont à la mesure des
difficultés rencontrées. Nous présentons ici, de façon simplifiée,
quelques uns des principes que l'on retrouve à la base de la conceptton
de la majorité des systèmes-experts déjà utilisés (*).
Devant l'engouement actuel, proba-
blement excessif, pour les systèmes-
experts (ou plus généralement pour
les systèmes à base de connaissances),
il nous semble tout d'abord nécessaire
de rappeler que les résultats obtenus à
ce jour sont encore très partiels et
limités. Aucune méthodologie, ni
aucun fondement théorique sérieux
n'ont encore été dégagés. Plus grave,
le monde des spécialistes en IA, bien
que très restreint (particulièrement en
France) est encore loin de s'accorder
sur les directions de recherche à sui-
vre.
Ces articles n'ont donc d'autre pré-
tention que de sensibiliser le lecteur,
et éventuellement de lui faire décou-
vrir les possibilités et les limites des
systèmes-experts.
_ Origine et utilité
des systèmes-experts
Le développement des SE (systè-
mes-experts) a, en grande partie, pour
origine l'échec relatif des techniques
de l'informatique classique devant les
problèmes dont la résolution fait inter-
venir une grande quantité de connais-
sances (ce qui ne veut pas dire que les
outils et les méthodes habituels ne sont
pas largement utilisés dans les
systèmes-experts).
Diagnostiquer une panne d'ordina-
teur ou une maladie infectieuse, déter-
(*) Voir également « minis et micros », n° 214, où
nous avons traité de la représentation des con-
naissances, qui constitue une première introduc-
tion aux systèmes-experts.
miner la structure d'une molécule ou
localiser une nappe de pétrole, jouer
au pocker ou résoudre un problème
de combinatoire, sont autant de ques-
tions qui ne peuvent être résolues sans
faire usage de nombreuses connais-
sances (et à chaque fois propres à un
domaine), ni sans prendre des suites
de décisions complexes.
Les systèmes-experts représentent
la meilleure solution (ou la moins mau-
vaise) connue jusqu'à ce jour pour
résoudre ce type de difficultés. On
peut les définir « de façon fonction-
nelle comme étant des systèmes per-
mettant la résolution de problèmes
dans un domaine spécifique en utili-
sant une base de connaissances
acquise auprès des experts du
domaine... » (Pin 81). On pourrait
ajouter, depuis que les SE sont sortis
des laboratoires pour intéresser direc-
tement les industriels : « et capables
de s'acquitter de leur tâche comme un
conseiller très spécialisé, mais peu
coûteux » (DM 79).
Parmi les domaines d'application
des SE, on peut ajouter à ceux signalés
précédemment, l'aide aux ingénieurs
technico-commerciaux pour la confi-
guration d'ordinateurs (comment réa-
liser la configuration de moindre
prix... qui réponde le mieux possible
aux exigences du client), l'assistance
des ingénieurs de plate-forme pétro-
lière (pour prendre le plus rapidement
possible une décision satisfaisante en
cas d'incident) et bien d'autres appli-
cations, trop nombreuses pour qu'on
puisse toutes les évoquer.
Les préoccupations qui se trouvent
derrière tous ces problèmes peuvent
être désignées par le terme générique
« d'aide à l'expertise » : un SE aide un
non-expert à résoudre des difficultés
auxquelles il est confronté tout en
n'étant pas spécialiste du domaine
concerné.
Il nous faut signaler un autre
domaine où les SE ont des chances
d'être, à plus long terme, une solution
à bien des problèmes : celui de la
XAO et en particulier de l'EAO. On
trouvera, en page 114 une liste de
quelques-uns des SE les plus connus
(elle peut paraître importante, mais
imaginons celle de tous les program-
mes existants), certains étant utilisés
comme produit industriel tandis que
d'autres n'ont guère dépassé l'état de
prototype.
Caractéristiques
des systèmes-experts
« Les systèmes-experts possèdent
généralement une base de connais-
sances spécifiques du domaine, à
laquelle est associée une structure dite
de contrôle interprétant la base de
connaissances et l'appliquant aux
données des problèmes en vue de leur
résolution » (Bon 81). Cette définition
caractérise en particulier l'approche
la plus utilisée actuellement, celle des
systèmes de production, dans laquelle
les connaissances sont mises sous la
forme de règles, dites de production,
comme par exemple :
SI< Prémisse l >
ET < Prémisse 2 >
ALORS < conclusion 1 >
ET < conclusion 2 >
où les prémisses et les conclusions,
représentées dans un formalisme adé-
quat, désignent des faits de l'univers
dans lequel on désire travailler.
Suivant la logique des propositions
(voir n°214, « Représentation des
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 113
Argos Il
(Cayrol, Fade et Farreny, 1980)
Système général de simulation de
prise de décision d'un robot résolvant
des problèmes.
Casnet
(Weiss, 1976)
Système d'aide au traitement et au
diagnostic du glaucome de l'œil en
tenant compte de son‘évolution.
Cessol
(Laurent, Mangin, 1983)
SE dont l'objectif est de proposer des
campagnes de reconnaissance géo-
technique pour la construction de
bâtiments.
Centaur
(Aïkins, 1979)
Interprète les résultats de tests sur des
patients atteints de maladie pulmo-
näire.
Congen
(Carhart, ?)
Programme de manipulation de
symboles pour la construction de
structures chimiques à partir d'une
formule moléculaire et de contraintes.
Crysalis
(Engelmore, 1979)
Détermine la structure de protéines à
partir d'analyses par rayons X.
Crib
(Addis, 1980)
Diagnostic des défauts dans l'architec-
ture ou le logiciel d'un ordinateur.
Dart
(Bennett, 1981)
Diagnostic de panne dans les systèmes
de communication à partir des proto-
coles de communication.
Dendral
(Buchanan, Feigenbaum, Lederberg,
1967)
Développé à l'université de Standford
à partir d'une première version, tota-
lement procédurale, réalisée en 1964
par Lederberg (Prix Nobel de méde-
cine 1958). C'est un système d'aide à
l'analyse en chimie organique, effecti-
vement utilisé par des chimistes qui
ont pu ainsi réaliser des publications.
PAGE 114 — MINIS ET MICROS N° 216
Quelques systèmes-experts
Dipmeter
(Davis, 1981)
SE réalisant des analyses de signaux
de relevés physiques du sous-sol.
EL
(Sussman, 1975)
Système d'aide à la conception de cir-
cuits électriques.
Emycin
(Shortliffe, Buchanan, Fagen, Aikins,
Calancey, Davis, Bischoff, Bonnet,
Wraith-Bennett, 1977)
Système indépendant du domaine uti-
lisé pour la construction de systèmes-
experts à base de règles. Ecrit en
Inter-Lisp, il occupe environ 130 K
mots de mémoire (dont 80 « swappa-
bles »).
Exsel
(Dermott, ?)
Configure des systèmes Vax 780
Gari
(Descotte, 1981)
Système d'aide à la conception de
gammes d'usinage.
Guidon
(Clancey, 1979)
Système d'aide à l'enseignement en
médecine. Il est basé sur un ensemble
de règles (Néomycin) qui permettent
de comprendre les déductions faites
dans Mycin.
Headmed
(Rychener, 1976)
SE pour le traitement pharmacologi-
que en psychiatrie.
Internist
(Pople, 1975)
Système-expert en médecine interne.
Iris
(Trigoboff, 1976)
Système de consultation médicale uti-
lisant des réseaux sémantiques et des
tables de décision pour réaliser ses
diagnostics.
Litho
(Bonnet, 1982)
SE réalisant des analyses de relevés de
mesures physiques de forage.
Medico
(Walser, 1976)
Système de consultation médicale uti-
lisant des règles de production four-
nies par Kamm (Walser 1977) à partir
de règles sur les maladies relevant de
l'ophtalmologie.
Metadendral
(Buchanan, Feigenbaum, 1978)
Permet, à partir d'analyses de cas sim-
ples qui lui sont fournis, de générer un
ensemble de règles plus efficaces que
celles écrites initialement pour Den-
dral.
Molgen
(Fredland, 1979)
Système d'aide à la manipulation de
gènes, en particulier en ce qui con-
cerne le clonage en génétique molé-
culaire.
Mycin
(Shortliffe, 1976)
Aide au diagnostic et au traitement
pour les infections bactériennes du
sang. Il est complété par Theiresias
(Davis, 1979) pour l'entrée des con-
naissances et par Baobab (Bonnet,
1979) en ce qui concerne l'interface
avec l'extérieur.
Nasl
(Mc Dermott, 1978)
Système d'aide à la conception de cir-
cuits électriques.
Nudge
(Glodstein, 1977)
Permet de réaliser des emplois du
temps en l'absence de spécification
complète.
Oncocin
(Shortliffe, 1981)
Système d'aide au traitement du can-
cer, qui fait intervenir la notion de
temps et permet l'application de
règles par défaut.
Pecos
(Barstow, 1979)
Réalise la traduction en Lisp d'algo-
rithmes.
Pontius-0
(Goldstein, 1977)
Système de production permettant à
des pilotes de parfaire leur habileté en
vol par instrument.
Puff
(Feigenbaum, 1979)
SE pour le diagnostic des infections
pulmonaires.
RLL
(Greiner, Lenat, 1980)
Fournit à l'utilisateur un ensemble
d'outils pour définir et construire lui-
même son propre langage de repré-
sentation des connaissances.
R1
(Mc Dermott, 1981)
Permet de proposer des configurations
de systèmes Vax satisfaisant un ensem-
ble de contraintes.
Reseda
(Zarri, 1981)
Analyse des documents historiques du
haut Moyen Âge français.
Sacon
(Bennett, 1978)
Permet. de guider d'un point de vue
stratégique un programme de calcul
de structures (base sur Emycin).
Sam
(Gascuel, 1981)
Diagnostic et traitement de maladies
vasculaires.
Sophie
(Anderson, 1979)
SE d'aide à l'enseignement de détec-
tion de pannes dans les circuits élec-
triques.
SU/X
(Feigenbaum, Nii, 1976)
Permet l'identification et la localisa-
tion d'émetteurs de signaux acousti-
ques continus dans l'espace et le
temps.
Tropic
(Latombe, 1977)
Programme général d'aide à la
conception.
VM
(Feigenbaum, 1979)
« Ventilation Moniteur ». Système
d'aide à la réanimation. Il est directe-
ment relié à des appareils de surveil-
lance.
connaissances ») un exemple de règle
serait :
SI vertèbre ET sang-chaud ET plume
ET ovipare ALORS oiseau.
ce qui signifie que si l'animal dont on
parle (sous-entendu ici) a les proprié-
tés d'être vertébré, d'avoir le sang
chaud, des plumes et d'être ovipare,
c'est-à-dire si ces faits sont présents
dans une structure de données, dite
base de faits, et s'ils ont l'attribut
« vrai », alors le moteur aura pour rôle
d'en déduire que l'animal est un
oiseau (ajouter le fait « oiseau » avec
l'attribut « vrai » dans la base de faits).
Fig. 1 - Les deux façons
de traiter l'information :
approche algorithmique
traditionnelle (à gauche)
et approche de type
systèmes-experts (à
droite).
Approche par
Lrosinne ]
Coumes)
Fig. 2 - Structure
simplifiée d'un système
expert. Base de
En utilisant le formalisme de la logi-
que des prédicats, un exemple de
règle pourrait être :
SI carnassier( x )
ET faim( x)
ET mammifère( y )
ALORS mort( y)
Son déclenchement a lieu si le
moteur arrive à «instancier » les
variables x et y, c'est-à-dire à trouver
des objets de la base de faits qu'il
puisse identifier à x et y, et qui aient
respectivement pour propriétés d'être
carnassiers, d'avoir faim et d'être
mammifères. Il en déduit alors que
l'objet associé à y peut avoir la pro-
priété d'être mort et il le rajoute à la
base de faits.
On voit donc qu'un $E est principa-
lement composé :
— d'une base de faits qui contient les
données courantes ;
— d'une base de règles de la forme
programme traditionnel
antécédent — conclusion (où
« antécédent » et « conclusion » cor-
respondent respectivement à une
phase de consultation et de modifica-
tion de la base de faits) ;
— d'un moteur, c'est-à-dire d'un
interpréteur de règles qui détermine
les règles à tirer (consultation) et les
déclenche (modification).
La figure 1 illustre, de façon sché-
matique, la distinction entre un pro-
gramme traditionnel et une approche
par système de production. La
figure 2 précise la structure d'un
système-expert en signalant principa-
Approche par programme
du type système expert
MEN
de MEN
CE)
Base de
Interpréteur
à e— — .
Interface
homme/machine
lement l'importance, en particulier
vis-à-vis de l'acquisition des connais-
sances de l'expert, d'une interface en
langue « quasi-naturelle » (on peut
rêver.…..).
Le moteur
Pour décrire plus précisément le
fonctionnement d'un moteur, nous
allons nous placer dans le cadre de la
logique des prédicats. Le cas de la
logique des propositions, plus simple,
est toutefois utilisé en encadré (page
116) pour donner un premier exemple
de dérivation faisant intervenir plu-
sieurs règles.
En partant d'une « base de faits »
initiale (les données ou l'énoncé du
problème), l'interpréteur essaye d'ins-
tancier les variables apparaissant dans
les règles de façon à pouvoir les tirer.
C'est ainsi que la base de faits sera
amenée à s'accroître ( ou à se modi-
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 115
fier) jusqu'à ce que le moteur ait
obtenu des résultats satisfaisants. Dans
le cas d'un blocage du moteur (c'est-à-
dire d'une situation dans laquelle il ne
peut plus rien déduire, alors
qu'aucune conclusion intéressante n'a
été obtenue), il peut être nécessaire de
poser des questions à l'utilisateur pour
compléter la base de faits et ainsi
accroître le nombre de déclenche-
ments possible.
Le fonctionnement du moteur a
donc lieu suivant un cycle élémentaire
similaire à celui décrit dans l'encadré
ci-contre : détection des règles tira-
bles (pattern-matching ou «unifi-
cation »), choix de la règle à « déclen-
cher » et « déclenchement » effectif
de la règle sélectionnée (avec mise à
jour de la base de faits). D'un point de
vue plus global, le rôle du moteur est
donc, partant de données initiales,
d'arriver le plus rapidement possible
(en faisant le moins de cycles possibles
et en minimisant le nombre de ques-
tions) à une conclusion intéressante.
Notons enfin que, implicitement,
c'est une stratégie particulière qui a
été décrite jusqu'à présent, stratégie
qu'on appelle le chaînage avant. Il en
existe d'autres et nous aurons l'occa-
sion d'y revenir plus tard, en particu-
lier à propos du système Emycin.
La base de règles
Nous avons vu que ce sont les règles
qui constituent le support principal de
la connaissance. Cela détermine à la
fois les avantages et les limitations de
cette approche.
Parmi les avantages, le plus impor-
tant est sans doute la modularité du
système ainsi conçu : dans le cas par-
fait, on pourrait aboutir à un moteur
totalement indépendant de la base de
règles et donc capable de s'adapter à
des cas totalement différents. Deux
problèmes distincts se posent alors :
— la mise au point de l'interprète
(problème d'informatique classique, si
ce n'est que l'on dispose généralement
en IA d'un environnement de pro-
grammation plus souple que celui des
programmeurs Fortan) ;
— l'écriture des règles qui, bien que
non évidente, fait appel à des considé-
rations totalement différentes de celles
de la programmation et permet de se
concentrer exclusivement sur le pro-
blème à traiter.
On voit donc que cette technique se
distingue nettement de l'approche
PAGE 116 — MINIS ET MICROS N° 216
Exemples de déductions
Supposons que l'on dispose, dans
un SE, des règles de production sui-
vantes :
rlsiAetBet C alors H
r2 si Cet D alors I
r3 si H alors K
r4 si I alors K
r5siE et F alors]
r6 si J et G alors L
r7 si L alors M
r8 si M alors N
r9 si K alors N
Cet ensemble de règles peut alors
être représenté par le graphe donné
ci-dessous. Selon qu'il s'agisse d'un
nœud ET (un arc de cercle regroupe
ses fils) ou d'un nœud OÙ, un nœud
est vérifié lorsque tous ses fils sont
« vrais ». Ainsi H, I, J, L sont des
nœuds ET. M peut être considéré
indifféremment comme un nœud ET
où un nœud OU.
Supposons que les faits A, C, Det G
soient vrais, on peut alors réaliser les
dérivations suivantes :
C et D—]
jar
Ken
et si l'on considère N comme le but à
atteindre, le processus a abouti. On
remarquera que les faits À et C n'ont
pas été utilisés car ils ne suffisent pas,
à eux seuls, à déclencher une règle.
Supposons maintenant que le fait C
ne soit pas vérifié. Aucune règle ne
peut donc être tirée (puisque la « liai-
son » avec Î n'est pas possible). Le
moteur pourra alors, éventuellement,
disposer d'un module chargé de poser
la question la plus adéquate pour
débloquer la situation. En l'occur-
rence, si l'on suppose que seules les
feuilles sont des faits « demanda-
bles », la meilleure question est : « le
fait C est-il vérifié ? » (ce n'est en
général pas si simple). Si la réponse
est oui, on aboutit à la même situation
que précédemment. Si la réponse est
non, alors les règles rl et r2 doivent
être bloquées. Le moteur devra alors
demander si les faits E et F sont véri-
fiés afin de pouvoir déclencher la
règle r5.
Notons enfin que si les faits C, D, E
et F étaient vrais, un autre type de pro-
blème se poserait alors, car les règles
r2 et r5 seraient « déclenchables »
simultanément. L'interpréteur devra
donc être capable de résoudre ce type
de conflit (qui prend, en fait, toute son
importance en logique des prédicats).
La solution la plus simple est bien sûr
de tirer les deux. Mais il est possible
aussi de faire un choix à l'aide d'un
critère d'évaluation de règle (intérêt
de la conclusion, nombre de prémis-
ses, etc.) ou même d'envisager le con-
trôle de ce type de situation à l'aide
d'autres règles. Nous aurons l'occa-
sion de revenir plus loin sur ce dernier
point.
On voit donc que, suivant ce qui
vient d'être dit, on peut distinguer
trois temps dans le fonctionnement de
l'interprète :
— détermination de l'ensemble des
règles déclenchables, c'est-à-dire
dont les prémisses sont vraies (sinon
« poser une question à l'utilisateur ») ;
— résolution des conflits au cas où
plusieurs règles ont été sélec-
tionnées ;
— déclenchement de la règle
sélectionnée.
procédurale, où chaque déduction et
chaque question doivent avoir été pré-
vues, de façon à suivre le chemine-
ment voulu pour chacun des cas parti-
culiers que l'on peut être amené à trai-
ter.
On pourrait citer encore, comme
avantage de l'approche par « règles
de productions », la lisibilité et la
« granularité » des connaissances
(souvenons-nous des autres méthodes
de représentation des données décri-
tes dans l'article du n° 214 de « minis
et micros ») qui, outre le fait de favori-
ser les échanges avec l'expert, per-
mettent de fournir, de façon assez sim-
ple, des explications à l'utilisateur
quant au déroulement des déductions
(je vous demande si tel fait est vrai, car
alors je pourrais en déduire, d'après
telle règle, que...).
Enfin, dernier avantage de ce type
de formalisme, il est possible d'envisa-
ger une couche de règles supplémen-
taires, de niveau supérieur, qui préci-
serait la façon dont on doit utiliser les
règles. On parle alors de « méta-
règles », puisqu'elles spécifient cette
fois-ci la logique du raisonnement et
non la connaissance sur laquelle on
raisonne. Notons toutefois que cette
méthode, séduisante intellectuelle-
ment, reste peu utilisée jusqu'à pré-
sent.
Ce que nous venons de dire ne doit
pas faire oublier que cette approche
offre aussi des inconvénients (ineffica-
cité en temps d'exécution, difficulté à
découper ainsi la connaissance...) et
qu'elle n'est pas la seule possible. Plus
encore, il est probable qu'on n'obtien-
dra pas des résultats convaincants tant
que d'autres techniques, comme la
démonstration automatique ou
l'apprentissage par exemple, ne
seront pas, elles aussi, arrivées à un
plus haut degré de perfectionnement.
Notons enfin que l'approche de cer-
tains problèmes par le moyen des
systèmes-experts n'empêche pas d'uti-
liser, pour une plus grande efficacité,
des outils de « combinatoire », de
théorie des graphes, etc., domaines
dans lesquels la « supériorité » de
l'ordinateur sur l'homme n'est plus à
démontrer.
Daniel Le Conte des Floris
et Pierre Jouvelot
informatique, bureautique,
télématique, de nouvelles
données économiques pour
l’entreprise.
Managers,
maîtrisez l’enjeu informatique.
|| nformatique, bureautique,
télématique sont ou seront l’objet de vos préoccu-
pations courantes... Au-delà des problèmes tech-
niques, ces ressources doivent être gérées, exploitées
et s’inscrire dans la stratégie de développement de
votre entreprise.
A l’heure des décisions, « Ressources informati-
que » vous guidera dans vos choix à court, moyen
ou long terme, compte tenu de vos impératifs et de
l’évolution des produits.
« Ressources informatique » vous donne une infor-
mation synthétique sur les technologies de l’infor-
mation et les évolutions du marché, vous livre ses
analyses des produits et des solutions envisageables
à moyen et long terme, intègre les données fonc-
tionnelles, les composantes économiques et finan-
cières.
Pour être en permanence informé et optimiser votre
entreprise, gage de réussite dans la compétition
internationale.
Abonnez-vous à
RESSO
5, place du Colonel Fabien 75491 Paris Cedex 10 Tél. : (1) 240 22 01
Pour toutes précisions : réf. 146 du service-lecteurs (p. 151)
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 117
Quels que soient.
+ vos problèmes de
développement logiciel,
matériel et d'intégration,
+ votre environnement mono-,
multiutilisateur ou de
développement sur
calculateur,
Kontron
apporte une
solution
cohérente et
évolutive
&4B broéoub639
Analyse logique
synchrone/asynchrone
Programmateurs universels
Développement logiciel
Emulation universelle
E 4 KONTRON
3 àN ELECTRONIQUE
B.P. 99 - 6, rue des Frères Caudron
ho Vélizy-Villacoublay -Télex : 695 673 - Tél. (3)946.97.22
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 147 du service-lecteurs (p. 151)
PAGE 118 — MINIS ET MICROS N° 216
1980: il était déjà là avant même l'explosion de la micro-
informatique , prêt à évoluer avec elle d'année en année.
1984/1985 : il est “la” Bible. Sontitre, ses fidèles le lui ont donné,
naturellement : “LE” GUIDE.
Instrument de première approche des néophytes.
Référence des passionnés, des vrais amateurs, des profes-
sionnels, des constructeurs, des vendeurs.
1984/1985 : LE GUIDE MICRO présente :
-les 216 fiches techniques détaillées des micro-ordinateurs
du marché (de 500 FF à 50000 FF),
- le tableau exclusif de plus de 130 imprimantes,
-un panorama des 60 logiciels à connaître dans toutes
les applications,
k-près de 2000 adresses de constructeurs, de clubs et
de boutiques, par ordre alphabétique et par département,
k-les mots clefs de l'informatique.
1°" septembre 1984:
LE GUIDE MICRO est vendu 35 FF
chez votre marchand de journaux.
1984/1985 : élaboré par une équipe de journalistes, LE GUIDE
MICRO explique : qu'est-ce qu'un ordinateur ? Que permet-il ?
LE GUIDE MICRO prend parti et dit pourquoi : pour ou contre
55 ordinateurs individuels. I| commente les grandes manœu-
vres de l’année 84. Il tutoie l’avenir: les ordinateurs de janvier
85 sont au rendez-vous.
réf. 148 du service-lecteurs (p. 151)
Pour toutes précisions :
Sur une seule puce, un récepteur
DTME aux normes CEPT.
TE
LE RECEPTEUR DTMF MT8870
Mitel, leader de l’industrie en technique de réception multi-
fréquences, vous propose, sur une seule puce, un récepteur DTMF
capable de répondre aux strictes exigences de la CEPT.
Le 8870 vous assure tout un éventail d'avantages:
e performance supérieure silence/3ème tonalité
e entrée différentielle de sensibilité réglable
e minimum de composants externes
e faible consommation électrique, de l’ordre de 15 mW,
ae à la technologie ISO°CMOS" de Mitel
e fonctionnement sur alimentation de 5V
e compatibilité avec les familles existantes de microprocesseurs et
de circuits logiques
e boîtier compact de 18 broches facile à implanter, le 8870
convient ainsi en téléphonie et aux applications à distance et de
signalisation DTME
En récepteurs DTMF monopuce, la technologie Mitel Semi-
conductor montre l'exemple.
Pour en savoir plus sur le récepteur DTMF MT8870, appelez
notre Service Informations Téléphoniques (SIT): (1) 7573133
ou écrivez à Technology Resources, 114 rue Mans Aufan,
92300 Levallois-Perret, Télex : 610657 Télécopie : 757.98.67.
® Marque déposée de Mitel Corporation.
nom MITEL SEMICONDUCTOR
Pour mieux communiquer à travers le monde
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus : référence 149 du service-lecteurs (p. 151)
JE Piorace [nrormariQue F À ‘TÉcanorocy Resources
(P.S.I. au SI
Série « Système
d'Exploitation »
Le système MemDos
par Pierre Clerc - 104 pages - 90,00 FF
Quel que soit le langage de programmation habituel de l'uti-
lisateur, la connaissance de MemDos lui permettra une
réflexion féconde sur les caractéristiques optimales d'un
système d'exploitation. MemDos se superpose au Basic habi-
tuel des Apple Il et Il, CBM, ITT 2020, .… et bientôt IBM-
PC. Utilisé pour le développement d'application de gestion,
il permet d'adopter une structure rigoureuse tout en béné-
ficiant des commodités d'un Basic interprété,
Série « Productique »
Systèmes industriels d'intelligence
artificielle
par Lucas Pun - 304 pages - 130,00 FF
Les ingénieurs, industriels, automaticiens et informaticiens
qui ont à concevoir et à réaliser de plus en plus de « Systè-
mes Industriels d'intelligence Artificielle » (SIA) dans le cadre
de la productique, trouveront dans cet ouvrage à vocation
pédagogique les réponses à des questions telles que : Que
sont les SIA ? Comment en faire l'analyse et la synthèse ?
Où et quand les appliquer ? Etc.
Introduction à la robotique
Enseignement, recherche, développement
par Pierre Lopez et Jean-Numa Foulc
310 pages - 170,00 FF - Vient de paraître
Elève de terminale ou élève ingénieur, chercheur, techni-
cien ou ingénieur, le lecteur, motivé par la robotique et dési-
= —————— —— — — > —
Envoyer ce bon accompagné de votre règlement
à P.S.I. DIFFUSION ou pour la Belgique
et le Luxembourg à P.S.I. BENELUX et pour la Suisse
à P.S.I. SUISSE (voir table de conversions ci-contre).
P.S.I. DIFFUSION - BP 86
77402 Lagny-s/Marne Cedex - FRANCE - Tél. : (6) 006.44.35
P.S.I, BENELUX :- 5, avenue de la Ferme-Rose
1180 Bruxelles - BELGIQUE - Tél. : (2) 345.08.50
P.S.I. SUISSE - Case Postale - Route Neuve
1701 Fribourg - SUISSE
Tél. : (037) 23.18.28 - C.C.P. 17-5684
Table de conversions
goFf = 620FB : 25.30 FS
au Canada : SCE Inc. 9OFF = 695 F8 - 28,40 FS
65, avenue Hillside Montréal
(Westmount) Québec H 32 ! WI
Tél. : (514) 935.13.14
100 FF = 770FB- 31,50 FS
1IOFF = 850 FB- 34.60 FS
OFF = 925F8-3760FS
au Maroc : SMER DIFFUSION
3, rue Ghazza - Rabat
“Tél. : (7) 237.25
130 FF = | 000 F8 - 40,60 FS
en Francs belges et Francs suisses
170 FF = | 310 FB - 52.60 fs
UB
reux de contribuer à la diffusion des robots dans les divers
secteurs de la productique, trouvera dans le premier tome
de « l'introduction à la robotique » la formation de base
indispensable à la fabrication et à la maintenance de ces
Systèmes Artificiels ayant une action intelligence sur l'envi-
ronnement et appelés plus communément « robots ».
Série « Informatique »
Opérations arithmétiques
dans les ordinateurs
par loan Dancéa
176 pages - 100,00 FF - Vient de paraître
Les concepteurs d'ordinateurs ont besoin de matériels de
plus en plus rapides pour effectuer les quatre opérations
arithmétiques (addition, soustraction, multiplication et divi-
sion) et augmenter les performances de leurs systèmes. Cet
ouvrage leur donne les différentes méthodes possibles,
accompagnées de réalisations matérielles et illustrées de
nombreux exemples. Sont par exemple abordés les diffé-
rents schémas d'additionneurs et de soustracteurs, l'addi-
tion et la soustraction des nombres binaires signés. Ils per-
mettront au lecteur d'approfondir ses connaissances des
mécanismes de fonctionnement d'un ordinateur.
Série « Communication »
Les techniques de la télématique
par Jérôme Toussaint et Philippe Masson
120 pages - 90,00 FF
Le but de cet ouvrage est de présenter l'ensemble des tech-
niques regroupées sous le terme général de télématique.
I ne s'adresse pas aux seuls spécialistes des télécommuni-
cations où de l'informatique, mais à tous ceux qui veulent
s'informer des évolutions à venir. Parmi les sujets traités,
on trouvera entre autres le terminal Minitel et ses applica-
tions, le traitement de textes et la bureautique, la téléco-
pie, la numérisation du téléphone et des réseaux publics de
télécommunications.
et toujours.
e Série « Système d'exploitation »
système Unix - 100,00 FF
système CP/M pour Z-80 - 100,00 FF
système CP/M pour 8080 - 110,00 FF
système Pascal UCSD tome | - 90,00 FF
système Pascal UCSD tome 2 - 100,00 FF
concept Forth - 110,00 FF
° Série « Langage de communication »
. Le langage C - 90,00 FF
. Le langage APL - 90,00 FF
. Le langage ADA - 90,00 FF
. Le langage Fortran - 80,00 FF
e Série « Communication »
. Les réseaux locaux d'entreprise - 110,00 FF
+ Série « Dialogue Homme-machine »
. Synthèse, reconnaissance de la parole - 130,00 FF
e Série « Electronique numérique »
. Choisir un système de développement pour
microprocesseurs - 80,00 FF
. Les systèmes à microprocesseurs - 90,00 FF
. Microprocesseurs et circuits associés - 100,00 FF
. Les circuits programmables - 110,00 FF
. Mise en œuvre du BUS IEEE 488 - 90,00 FF
DÉSIGNATION NOMBRE PRIX
œ
px
E à
par avion ajouter 8 FF (75 FB) par livre TOTAL
Pour la Suisse, frais de port pour tous les livres : 1,50 FS
Nom Prénom ___,
Adresse _ N°
Code postal L__1__1 | | | Ville
ET Paiement par chèque joint
(M A RE fl
[] Je désire recevoir le catalogue EDITESTS gratuit
Paiement en FF par carte bleue VISA (à P.S.I. DIFFUSION uniquement)
L_| Date d'expiration Lil
Signature (obligatoire pour paiement par carte de crédit)
f. 150 du service-lecteurs (p. 151)
récisions : ré
Pour toutes p
UFO SIGHTINGS OM THE MISSOURI RIVER
A11 Reports
4% or flore Reports
1949 ‘45 ‘50 ?’55 ‘6e ‘65 ‘70 ‘75 196
TRUE 200M
OUVREZ DES FENÊTRES
AVEC PÉRICOLOR 6000
Jusqu à 16 fenêtres indépendantes visualisables simultanément
peuvent être utilisées sur le dernier-né de la gamme PERICOLOR.
Le PERICOLOR 6000 est un ter-
minal graphique couleur interactif et
intelligent, 640 x 480. IT possède les
caractéristiques suivantes :
Possibilités de créerjusqu'à 16 fenê-
tres visualisées simultanément avec
des dimensions variables, des couleurs
différentes et des positions quel-
conques.
RE TR
=: L
Pour toutes précisions sur la société ou
Facilité d'intégration à un système sui-
vant la norme G.K.S. Nombreuses pri-
mitives de très haut niveau intégrées.
Comptabilité avec TEKTRONIX °
4010 et DEC” VT 100.
Facilité de mise en œuvre grâce à des
touches de fonctions pour toutes les
commandes usuelles : zoom, panora-
mique, etc.
Possibilité de créer un poste
complet de travail avec souris, boule
roulante, tablette graphique et impri-
mante couleur. Possibilité de dévelop-
per l'intelligence locale autour du pro-
cesseur MOTOROLA" 68000.
Que ce soit pour le traitement,
l'analyse, l'amélioration ou la concep-
tion d'images, NUMELEC apporte tou-
jours une solution à vos besoins.
Depuis 1976, NUMELEC déve-
loppeune gamme étendue de systèmes
adaptés, regroupés sous le nom de
PERICOLOR et dont le PERICOLOR
6000 est le dernier-né.
le produit présenté ci-dessus :
référence 151 du service-lecteurs (p.
Le choix d'une gamme
PÉRICOLOR 100. Mémoire
256 x 256 visu N et B.
PERICOLOR 200.
512 x 512 visu Net B.
Fonctions locales intégrées.
PERICOLOR 1000. Système interactif de
traitement d'image couleur, nombreux logi-
ciels d'applications disponibles.
PERICOLOR 2000. Système haut de gam-
me, multiprocesseurs.
HISTOPERICOLOR. Système autonome
d'analyse d'image de microscope.
SCINTIPERICOLOR. Système de traite-
ment d'image médicale en scintigraphie.
PERICOLOR 5000. Terminal graphique
haute résolution N et B.
PERICOLOR 6000. Terminal graphique
couleur interactif et intelligent.
d'image
Mémoire d'image
PARAGRAPHE _
Un nom. Des images. Du savoir-faire.
151)
Unité centrale
Carte CPU
à base de 6809
avec MMU
Type : MAK 68 E CPU-N
Fabricant : Microprocess
Distributeurs : Composants
SA, Copel, Facen, Gedis,
Micro-P-Industrie, Scaib
Implantée sur un format
simple Europe, cette carte
CPU à base de 6809, au
standard Makbus, gère
jusqu'à 512 K octets de
mémoire au travers d'un
circuit MMU.
Autres caractéristiques
MMU câblée sur la carte,
utilisant le principe de la
segmentation :
transformation des adresses
logiques en adresses
physiques par modification
des poids forts A12-15 et en
créant trois lignes d'adresse
supplémentaires ;
segmentation réalisée avec
une Ram rapide (temps
d'accès de 45 ns) ;
allocation de seize
segments maximum à une
tâche (un segment mesure
4 K octets). Prix :
3 210 FF.
Service lecteurs n° 1
Carte
micro-ordinateur
à mémoire
virtuelle
Type : M 68 KUMO3
Fabricant : Motorola
Cette carte qui comporte
un microprocesseur 68010,
un circuit de gestion
mémoire 68451 permet
l'allocation dynamique des
segments mémoires et une
protection des tâches
utilisateurs.
Autres caractéristiques
compatibilité Versabus avec
Nouveaux Produits
D
traitement des
interruptions ; 256 K octets
de Ram dynamique avec
contrôle de parité et double
accès ; deux ports
RS 232 C ; triple timer 16
bits ; horloge temps réel ;
deux supports pour boîtiers
Eprom ; gestion de 32
segments par la MMU dans
une zone d'adressage de
16 M octets ; extension des
entrées-sorties par un câble
plat de 50 liaisons jusqu'à
4 m, transfert à 2 M octets
par seconde.
Service lecteurs n° 2
Micro-ordinateur
monocarte
Type : DSB 4/6
Fabricant : Davidge
Corporation
Représentant : Yrel
Ce micro-ordinateur se
caractérise notamment par
sa très petite taille
(25 x 15 cm). Il peut être
fixé sur le côté d'un disque
souple ou Winchester
5 pouces 1/4.
Autres caractéristiques
unité centrale Z 80 À ou B
(4 ou 6 MHz) ; mémoire
vive de 64 K octets ;
amorce de 2 K octets en
Eprom ; deux ou quatre
ports RS 232 C ; un port
parallèle type Centronics ;
un contrôleur de disque
souple 5 pouces 1/4 ; port
parallèle haute vitesse pour
disque rigide.
Service lecteurs n° 3
Carte pour
mini ou micro
Modules-contrôleurs
Sasi
Type : Série 5000
Fabricant : Omti
Représentant : Domel octets qui peut être
partagée entre les deux
Ces modules multi- canaux série dans le cas de
fonctions permettent la transferts bidirectionnels.
connexion d'unités de
disques rigides 5 pouces
1/4, de disquettes 5 et 8
Autres caractéristiques
protocoles «matériels»
(RTS, CTS, DTR) et
pouces et de lecteurs de logiciels (KON/XOFF. et
cartouches 1/4 de pouce ETX/ACE avec blocs de
Boy, On Au SEAT 128/256/512/1 024 octets) :
Sasi (Ansi-Scsi). possibilités de
Autres caractéristiques temporisation de 6 à 30 ms
transfert de secteurs entre caractères, et de
contigus ; débit 2 M octets transformation de codes CR
par seconde ; gestion en CR +LF et inversement ;
intelligente de la mémoire sélection des paramètres
tampon ; dimensions par interrupteurs ;
compatibles avec le alimentation à découpage
standard 5 pouces 1/4 : incorporée ; présentation
— modèle 5100 pour deux en coffret.
unités Winchester ;
modèle 5200 pour deux
unités Winchester et deux Tr
disquettes 5 et/ou 8 pouces
(500/250 K bits) ;
modèle 5400 pour deux Modules-contrôleurs
unités Winchester, une multifonctions
disquette et une cartouche
(interface Quic Il) ; trois
Service lecteurs n° 5
canaux de données avec Type : X 217
tampon de 8 K octets pour Fabricant : Data System
chacun. Design
Service lecteurs n° 4 Représentant : Domel
ES Css modules au format
Multibus SBC gèrent
simultanément deux unités
re
Module d interface Winchester, deux disques
«universelle» v souples et une cartouche
1/4 de pouce à interface
Type : Spoolink Quic Il.
Fabricant : Systec Autres caractéristiques
Représentant : Neol gestion des mauvais
secteurs, correction
Cet appareil permet de d'erreur ECC 32 bits,
relier deux systèmes fonctionnement «non
disposant d'une des quatre entrelacé» ; compatibilité
liaisons suivantes : interface et logiciels avec
V 24-RS 232, VII-RS 422, les cartes Intel (iSBC
boucle de courant ou 215/217/218).
liaison parallèle type — modèle 7217 pour
Centronics. Il assure disques 8 pouces (type SA
également une fonction de 850/1000) ;
mémoire tampon de 60 K (suite page 124)
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 123
Nouveaux Produits
(suite de la page 123)
— modèle 5217 pour
disques 5 pouces (ST
506/SA 460) ;
— modèle 6217 pour deux
disques 5 pouces (ST 506)
et deux disques souples
8 pouces (SA 850).
Service lecteurs n° 6
Contrôleur
de disque VME
MVME 315
Fabricant :
Type :
Motorola
Le MVME 315 est un
contrôleur de disques
intelligent sur une carte au
format double Europe
intégrant un circuit de
gestion de périphériques
MC 68120. Il gère une
interface SCSI/Sasi.
‘Autres caractéristiques
mémoire tampon
NOUVEULES
l'xpsssessce =, | =
DATA DIGITAL PRIME
PCIBM GENERAL EQUIPMENT
Li leRéseau qu'aucun
"as ; constructeur
ë 2 - ne peut envier...
[ ] = =. …il eSt propre
ÿ æm : ‘©. a chacund'eux.
[| MUX. |
ALT >
incorporée avec deux
ports ; possibilité de gérer
jusqu'à quatre disquettes
avec panachage de
disquettes 5 pouces 1/4 et
8 pouces et n'importe quel
disque rigide ; connexion
des mémoires de masse
avec le bus SCSI ;
programme multitâche situé
dans une Eprom.
Service lecteurs n° 7
Contrôleur
de disque souple
Type : BLX-218
Fabricant : National
Semiconductor
la carte BLX-218 gère
jusqu'à quatre lecteurs 8 ou
5 pouces 1/4 simple ou
double face, avec les
format IBM 3740 simple
densité, IBM 34 double
densité ou d'autres formats
ayant des longueurs de
secteur jusqu'à 8 192
octets. Elle fonctionne dans
un environnement avec ou
sans ADM, traite des
secteurs uniques ou
multiples, effectue le
codage et le décodage des
données. Elle est disponible
sur stock.
Service lecteurs n° 8
Carte mémoire
secourue
au standard
Multibus
CMS 03 A
Fabricant
Type :
: Efisystème
Cette carte au standard
Multibus associe 32, 64,
128 ou 256 K octets de
mémoire vive statique,
secourue par batterie, avec
chargeur incorporé. Sa
vitesse est de 190 ns. La
carte peut aussi être
équipée avec des mémoires
permanentes de type Eprom
2716, 2732, 2764.
Autres caractéristiques
compatibilité avec
l'ensemble des cartes
SBC/BLC ; bus de
données : 8/16 bits sur le
Multibus, 16 bits dans la
carte ; adressage par 24 fils
(champ de 16 M octets)
avec possibilité d'adressage
par blocs et pages ;
autonomie de 1 000 heures
à 40°C et 400 heures à
55°C pour les modèles à 32
et 64 K octets ; de 300 et
140 heures pour les
capacités de 128 et 256 K
octets dans les mêmes
conditions ; signal
(suite page 126)
Matériels d'occasion
utilisez
les petites annonces
de « minis et micros »
votre RESEAU informatique
APPLICATIONS
TECHNIQUES
%
@
@
®
=\!
LLC
ne
ROUES D'ERREUR NUL
10 Millions
Bits/sec.
3,rue Michel Carré 95100 ARGENTEUIL tél. (3)961.8725 télex ATN-695758F
siège social: 57 rue des Champioux Argenteuil (:410.77.58
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 152 du service-lecteurs (p.
151)
PAGE 124 — MINIS ET MICROS N° 216
FAITES VOUS-MÈMES
VOTRE
PC/XT INDUSTRIEL
,
k à
î l [ r [RS
[] (] d Il 5 |!
l (] i l [| &
[| [] os i HE 1!
[ [| Ë l Fr !
[l [ d Il 5 !
Ë [l [] l [] (l
[l [] 4 ñ Ë El
(l [| 18 ë [ [|
| i 11 E LOL
2 É| D
Bo ces mas se see ads ”
ou bien venez voir l’ISI 6160
au SICOB OEM - Stand 443
ef gagnez notre compatible IBM PC°
IST
le vendredi 28 septembre 1984 à 16 h.
INTRRMATIONAE 53, rue du Faubourg Montmartre - 75009 Paris
PRECEDEMMENT (4e) Intersil tél. : (1) 878.42.25 - Télex : 643 794 F
Systems
® Marque déposée d'international Business Machines
LE _: Là RS CES CS OR CR OMR CN OCR CMS CS OŒRRS CR CES CES CMS CMS CS D 2
Je désire participer au tirage au sort
du compatible IBM PC° : !
IP 5160 d'ISI International
Nom Prénom
Fonction
Société
Adresse
l dd 11 Tél.( )
Y Strictement réservé aux professionnels OEM.
RK Ce bulletin doit être déposé
sur le stand 443 = SICOB OEM Pour toutes précisions: réf. 153 du service-lecteurs (p. 151)
INTERNATIONAL
Nouveaux Produits
(suite de la page 124)
permettant de générer une
interruption sur le bus en
cas de coupure tension ;
alimentation 5 V et 1,3 A
maximum.
Service lecteurs n° 9
Micro-ordinateur
d'acquisition
de données
analogiques
SDAS-8
Datel
Type :
Fabricant :
Ce micro-ordinateur
convertit des signaux
analogiques et transmet les
valeurs numériques
obtenues sous forme série
avec une interface
RS 232 C, boucle de
courant et en caractères
Ascii. Il reçoit ses ordres
| en caractères Ascii.
Autres caractéristiques
huit voies analogiques
extensibles à 32 par
adjonction de sous-stations
esclaves ; utilisation à
proximité des capteurs ;
prise en charge de la
télétransmission et mise au
format des données ;
commande depuis un autre
micro-ordinateur distant ou
par clavier.
Service lecteurs n° 10
Carte
de surveillance
Type : MAK 68E SWD-A
Microprocess
Fabricant :
La carte Watchdog,
destinée au système
Euromak, surveille le
déroulement correct d'un
programme. Celui-ci peut
se dérouler de
incorrecte par suite de
manière
micro-coupures de
l'alimentation, d'erreurs de
programmation, d'un défaut
matériel du système ou
d'un comportement
imprévu des E/S. La carte
réactive alors le processeur
si elle est restée un temps
prédéterminé sans recevoir
d'activation.
Autres caractéristiques
fonctionnement avec tous
les processeurs 8 ou 16 bits
de la gamme Euromak ;
occupation mémoire de
deux octets ; choix du type
d'interruption («reset» ou
autre) ; temporisation
programmable par
interrupteurs. Prix :
1 950 FF.
Service lecteurs n° 11
Matériels d'occasion
utilisez
les petites annonces
de « minis et micros »
Périphériques
et terminaux
Terminal
de visualisation
Type : 922
Fabricant
: Televideo
Terminal conforme à la
norme Ansi 3.64,
totalement compatible aux
VT-100 et VT-220 de Dec.
Autres caractéristiques
écran mobile suivant deux
axes ; clavier profil bas, à
bloc numérique :; touches
PLESSEY :
un nom à mettre en mémoire.
ES à
de fonction interfaces RS 232 C : VT 100 et Tektronix 4014 et saisie des coordonnées. Il
programmables ; mode numération de document supporter le logiciel utilise la technique
bloc. Prix (indicatif US) : de 5 mm d'épaisseur ; Tektronix Plot 10. électromagnétique avec
1 000 %. ui à seize Autres caractéristiques une résolution de 40 points
Service lecteurs n° 12 ‘°C S programmables ci définition graphique : 1 024 PAT millimètre.
RES 0 Ke ajustable de x 792 points ; 60 Hz non Autres caractéristiques
PAR poin “4 entrelacé ; quinze couleurs surface active 61 x 92 cm,
. e ; mode à | . 2 È
Table graphique a : parmi 4 096 ; clavier 92 x 122 cm ou
int Le pasq Ms Liens alphanumérique ; clavier 112x 152 cm; précision +
interactive or . Re dou PF de fonctions à bloc 0,267 mm ; saisie par stylet
assistée. FTIX : : numérique, clés système et (avec ou sans pointe à
Type : 6301 Service lecteurs n° 13 clés Unigraphics ; interface bille) ou par curseur
Fbriconts Heñion et support logiciel pour (quatre ou seize boutons) :
na traceur Versatec V-80. table opaque ; supporte :
Créer et modifier des plans - a Prix : 21 700 £. papiers jusqu'à 1,25 cm
sont les utilisations de cette Station graphique Service lecteurs n° 14 d'épaisseur, matériaux
table graphique pouvant couleur électrostatiques ou
travailler au format A0. Un EE On UC HO UT : options :
afficheur de vingt T : ied, table à écl -
e : D-90 C s P 1 LE e à eclairage,
caractères est intégré pour 2 : Tables graphiques table écran, support pour
donner les coordonnées de es : McDonnell outils de saisie, précision
la loupe d'entrée ou du Douglas Automation Type : Série 9100 0,143 mm ; options
stylet électronique. Ce poste de travail pour bai Cocos logicielles : Standard,
Autres caractéristiques CAO-FAO comporte un 75" Smart, Dataqueue,
technologie écran graphique de 48 cm Le système de base est Universal Formatter.
électromagnétique ; et un écran de dialogue constitué par une table Service lecteurs n° 15
précision + 0,1 mm; séparé. Destiné à exploiter comportant l'électronique :
résolution + 0,02 mm ; les logiciels Unigraphics, il de numérisation, une carte EE
cinq modes de saisie ; deux peut aussi émuler les Dec d'interface et un outil de (suite page 129)
L _— I a rm
Présent au SICOB,
A l'avant-garde de l’industrie informatique . a NU, Nuna à ons É
mondiale, Plessey : leader des périphériques LL Stand 4203
compatibles LSI I*, PDP Il°, VAX*. | SICOB-OEM :
| ques, pe
Conjuguant technologies de pointe et production soignée, la Stand 706
gamme des matériels périphériques Plessey est conçue pour
accroître, à faible coût, les performances et la fiabilité de vos
systèmes :
e Mémoires vives : d'une capacité de 256 KO à 1 MO, en 18 ou
22 bits, ces mémoires MOS sont élaborées autour de RAMS 64K0
ou 256K0. Elles utilisent parité et ECC. ns —
e Mémoires de masse : destinée au stockage d'information, CRE RE —
cette gamme, composée de disques amovibles, disques “Winches- Le” .
ter” et bandes magnétiques, vous offre les capacités et le débit que . } = FSG 80G
vous souhaitez. De 1 MO à 474 MO par unité, nos sous-ensem- Disque Winchester 404 MO
bles à disque, transparents pour vos systèmes d’exploita-
tion, liés à nos bandes magnétiques de type “Streamer” (100
IPS) satisferont les plus exigeants.
e Terminaux : les terminaux Plessey sont le complément
indispensable à vos systèmes informatiques :
— Terminaux vidéo : écrans ergonomiques, monochromes (ambre) ou couleurs, 80/132 colonnes, 12” ou
14”, options Azerty, graphique et vocale. - Imprimantes : 132 colonnes, de 150 cps à 600 Ipm, mode
qualité et mode courrier, option graphique.
Ecran ergonomique 132 col. 14”
L'implantation nationale d'un réseau de spécialistes vous assure rapidité d'intervention et compétence
pour la livraison, l'installation et la maintenance. Où que vous soyez, Plessey est la solution à votre struc-
ture informatique. Pour tout renseignement, contactez Plessey Division Informatique au (1) 776.43.00 -
35, bd des Bouvets, 92000 Nanterre ou au (74) 94.18.88 pour Lyon. PMSV512 mémoire IMO
Marque déposée Digital Equipement Corporation
Un grand nom de l'électronique mondiale.
GEPI
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 154 du service-lecteurs (p. 151)
Le COLT 300, le testeur logique \ spécialisés verront le jour au
compact de DOLCH, peut fur et à mesure des besoins
devenir, grâce à ses multiples \ nouveaux.
modules enfichables, tour à tour, né | i
ou simultanément, analyseur de ee
logique, générateur de mots, RE :
émulateurs in-situ de micro- Rs ee
processeurs usuels, outil de fréquences de 10 à 20 MHz
développement.
Emulateur in-situ : le COLT
Analyseur logique : le COLT 300 | 300, avec différents modules
peut accepter plusieurs incorporant une mémoire
modules universels de 16 à statique de 64K, permet d'émuler
48 voies avec des fréquences \ dans leur environnement,
d'échantillonnage de 10 MHZ à \ différents microprocesseurs :
300 MHz selonles cas. Un choix \ Z80, 8085, 6809. D'autres
très large de modules spécialisés | modules viendront compléter
avec désassembleurs pour la cette famille.
plupart des microprocesseurs \ Le COLT 300 peut être utilisé
8 bits et 16 bits, est disponible. \ en tant que véritable outil de
D'autres modules analyseurs \ développement grâce à son
COLT 300
LE TESTEUR LOGIQUE DOLCH
unité centrale (contrôlée par un
Z80), son système d'exploitation
universel, sa mémoire centrale
de 64 K et ses deux disquettes
double face, double densité.
Un clavier simplifié est intégré
au panneau avant, mais un
clavier complet ASCII peut être
connecté indépendamment.
Deux modules enfichables en
préparation permettront de
programmer les EPROM et
les PAL.
0
L'appareil de base peut recevoir
un module enfichable.
Deux modules supplémentaires
peuvent être ajoutés dans un
châssis d'extension. 12, rue des Petits-Ruisseaux - B.P 24
Le COLT 300, un testeur 91370 Verrières-le-Buisson
logique qui s'adapte à vos Tél. (6) 9302880
besoins et évolue avec eux. Télex: 600 517F
INDUSTRIE SERVICE
LE TESTEUR D'ÉLITE
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus : référence 155 du service-lecteurs (p. 151)
(suite de la page 127)
Traceur
quatre couleurs
X 100S
Fabricant : Adcomp
Type :
Représentant : Eristel
Ce traceur pour papier au
format A4 ou en bande
continue (caroll) offre de
nombreuses fonctions
locales et assure une
précision de 0,05 mm.
Autres caractéristiques
coordonnées absolues ou
relatives, types de trait,
tracé d'échelles lin et log,
écriture alphanumérique
avec dimension et
inclinaison ajustables, arcs,
ellipses, histogrammes,
code à barres ;
interpolation (méthode 2 D
Spline) ; tampon de 20 K
octets ; interfaces
RS 232 C, IEEE 488 HP ou
Commodore, ou
Centronics.
Service lecteurs n° 16
Terminal compact
Nouveaux Produits
Type : HP 2392 A
Fabricant : Hewlett-
Packard
Par rapport au modèle
précédent, ce terminal de
saisie de données à mode
bloc présente des
caractéristiques
ergonomiques plus
nombreuses, avec une
baisse de prix d'environ
40 % rendue possible par
l'emploi de circuits à très
haute intégration.
Autres caractéristiques
écran de 30 cm inclinable
et orientable, faible
encombrement
(32 x 36 cm), silencieux
Sauf indication contraire,
tous les prix annoncés
enrubrique
“nouveaux produits »
sont des prix hors taxes
(sans ventilateur) ;
caractères en matrice
9 x 14 ; clavier profil bas
séparé : 17 versions
nationales, touches
d'édition locale, mode
formulaire ; quatre pages
de texte, option huit pages.
Service lecteurs n° 17
Emulateur
de terminal Bull
sur IBM PC
Type : VIP 7200
Fabricant : TDT Francom
L'émulateur VIP 7200
permet à l'IBM-PC de
dialoguer avec un terminal
Bull et de transmettre des
fichiers sur disquettes et
disques rigides. Tous les
attributs du Questar sont
représentés et l'opération
est transparente pour
l'utilisateur final.
Autres caractéristiques
aucune modification au
niveau du terminal Bull ;
l'émulateur reconnaît les
touches préprogrammées ;
configuration minimale de
l'IBM-EC : 128 K octets de
mémoire centrale, 160 K
octets pour la disquette et
une carte de
communication asynchrone
IBM.
Service lecteurs n° 18
Disque
grande capacité
Type : V 185
Fabricant : Vertex
Peripherals
Ce modèle étend à
85 M octets la capacité de
la série V 100 des disques
Winchester 5 pouces 1/4 de
Vertex.
Autres caractéristiques
quatre plateaux ; temps
d'accès moyen 30 ms ;
densité 1 000 tpi ; disques
métalliques carbonés ;
interfaces ST 412/ST 506.
(suite page 130)
Nouvelle série 800
Une grande capacité d'analyse
et plus encore !
Le NPC-864 MSTC est un peu différent d'utilisation
des autres analyseurs.
e Il possède 48 voies états et une puissance
d'analyse temporelle de 200 MHz sur 16 voies.
e Les histogrammes de temps et des événements
permettent d'afficher les performances de vos
logiciels.
e Un double lecteur de disquette.
e Une interface I EEE-488 en contrôleur, RS 232 en
maître/esclave, utilisées pour les opérations de
développement et de tests automatiques.
e Le 864 MSTC englobe un micro-ordinateur utilisant
un système d'exploitation sous CP/M.
e La série 800 est modulaire et évolutive.
Si simple que vous savez déjà l'utiliser
° Chaque configuration est étudiée pour une
utilisation aisée.
e Toutes les fonctions et options sont accessibles et
contrôlées par le clavier ASCII.
Pensez-y !
Avant de choisir votre prochain analyseur logique,
faites connaissance avec la SERIE 800 de NICOLET.
Le système d'analyse logique qui vous offre le
meilleur rapport qualité prix.
Demandez-nous une brochure,
ou mieux téléphonez-nous !
rez Nicolet
Nicolet Instruments Sarl
ZI. des Gâtines, rue Elsa-Triolet, 78370 PLAISIR
Tél. (3) 055.83.00 - Télex 698777 NICINST
Télécopieur (3) 054.00.97
Pour toutes précisions : réf. 156 du service-lecteurs (p. 151)
)( VA nn —/s
Nouveaux Produits _ —
128 mm ; poids 650 g :
alimentation par quatre
(suite de la page 129)
Prix US (OEM) : 1 695 $.
Production : 4° trimestre
1984.
Service lecteurs n° 19
Imprimante
thermique portable b
Type : P-40
Fabricant : Epson
Représentant : Technology
Resources
Cette imprimante
économique, autonome et
de petite taille existe avec
options 20, 40, 80
colonnes, pour une largeur
de papier de 112 mm.
Autres caractéristiques
impression matricielle ;
code de commande Epson ;
480 points par ligne ;
graphiques ; dimensions h :
46 mm Xl :216 mmxp:
batteries NiCd
rechargeables en 6 h ;
interface série ou parallèle.
Prix utilisateur : 1 260 FF.
Service lecteurs n° 20
Imprimante
de tableau
Type : 6630
Fabricant : Digitec
Représentant : Equipements
Scientiques
Imprimante matricielle 22
colonnes à entrée BCD
parallèle (combinaison de
données, date, heure,
labels) avec horloge
sauvegardée optionnelle.
om aule
Autres caractéristiques
jusqu'à 255 étiquettes
(labels) de huit caractères
unitaires standard ;
sélection des colonnes
blanches ; vitesse 0,7 ligne
par seconde ; tampon de
deux lignes ; options :
horloge, tampon non
volatile 2 K caractères :
graphismes et autres
programmations spéciales
sur demande.
Service lecteurs n° 21
Unité disquette
«polyvalente»
Type : 475
Fabricant : Shugart
Cette unité de disquette 5
pouces 1/4, demi-hauteur,
double face, présente les
mêmes performances et le
même format
d'enregistrement que les
unités de disque souple de
8 pouces, double face.
Avec 9,6 tpi, ce modèle
peut lire les données
écrites sur disquettes 48 tpi
et permet un interfaçage |
ES
standard 8 pouces ou
5 pouces 1/4.
Autres caractéristiques
capacité 1,6 M octets ; taux
de transfert 500 K bits par
seconde ; temps d'accès
piste à piste 3 ms ; densité
9 646 bpi ; disquettes
média 600 oersteds ;
100 000 h.
Service lecteurs n° 22
MTBF
Unités de disques
5 pouces 1/4
36200
Fabricant : Advanced
Storage Technology
Type :
Cette famille de disques
rigides, 5 pouces 1/4 demi-
hauteur offre une capacité
de 61 M octets dans sa
version 96202 (deux
disques) ou 103 M octets en
version 96203 (trois
disques).
Autres caractéristiques
vitesse de transfert 10 M
octets par seconde ; temps
d'accès moyen 30 ms, piste
à piste 5 ms ; densité de
piste 960 tpi. Prix US :
modèle 96202 : 1 550 $ ;
modèle 96203 : 1 950 $.
Disponibilité : octobre
(aux Etats-Unis).
Service lecteurs n° 23
Mémoire de masse
portable
Type : Datatrak
Représentant : Yrel
Ce lecteur de disquette
huit pouces est portable et
peut se raccorder sur tout
terminal possédant une
liaison RS 232 C.
Autres caractéristiques
compatible IBM 3740 ; taux
de transfert de 110 à 9 600
bauds ; alimentation et
ventilation intégrées ;
conversion Ascii/Edcdic ;
test automatique ; option
version double unité d'une
capacité de 2,4 M octets.
Prix : environ 16 000 FF.
Délais : 6 à 8 semaines.
Service lecteurs n° 24
Unités
de mini-disquette
Type : TM 65
Fabricant : Tandon
Un modèle 96 tpi, 1 M
octet et un modèle 48 tpi,
500 K octets composent
cette famille de lecteurs-
enregistreurs 5 pouces 1/4
demi-hauteur, le premier
utilisant un
microprocesseur et le
second une électronique à
base de circuits LSI.
Autres caractéristiques
— modèle TM 64-4 (1 M
octet) ; temps d'accès piste
à piste : 3 ms. Prix OEM
US : inférieur à 150 $ ;
— modèle TM 64-2L (500
K octets) ; temps d'accès
piste à piste 6 ms. Prix
OEM US : inférieur à
125 $.
Service lecteurs n° 25
Interface
de programmation
analogique
Type : non précisé
Fabricant : Multisources
Electroniques
Multisources propose une
interface de programmation
IEEE 488 ou RS 232 qui se
place entre un calculateur
et des alimentations
programmables. Son rôle
est de transmettre les
———_——___———— mr émste
(suite page 132)
as |
Technitexte
Gould... Innovation et Qualité en Informatique graphique.
Intelligence et précision :
Ces tables font la loi.
Avec la série “Colorwriter®”", GOULD place très haut ce qui
est désormais la “référence” en traceurs numériques.
Le tracé graphique assisté par ordinateur concerne
maintenant tous les domaines (industrie, recherche,
gestion, médecine...) et rendait nécessaire la définition d'un
matériel standard du plus haut niveau.
Intelligence : Avec le Colorwriter, la représentation
graphique des données informatiques les plus complexes
(dessins en trois dimensions, histogrammes, diagrammes)
en 1 à 10 couleurs, est à présent facile : un minimum de
manipulation (langage incorporé très puissant), permet de
générer hachures, cercles et caractères (200 en 3 jeux).
Nombreux logiciels compatibles permettant d'utiliser le
Colorwriter pour une gamme étendue d'applications avec la
plupart des ordinateurs.
Précision : Grande finesse de résolution (0,025 mm) et
rapidité de tracé (40 cm/s)-—Mémoire d'entrée de 2 à 16K
octets — Vaste choix d'écriture (fibre, bille, Rotring®, Pentel®)
— Interfaces IEEE ou RS232C/V24 - Quatre versions
disponibles : format A3 ou A4, avec ou sans avance
automatique du papier. Documentation sur demande à :
GOULD Instruments
BP 115 - 91162 Longjumeau Cedex
Tél. (6) 934.10.67 - Télex : 600 824
Pour toutes précisions : réf. 157 du service-lecteurs (p. 151)
“2 GOULD
Electronique
LECTEURS DE CARTES
MAGNETIQUES
PERFORMANTS
ET ECONOMIQUES
Principales applications
e Terminaux bancaires e Horaire variable
e Terminaux point de vente + Gestion Distribution
e Contrôle d'accès Carburant, etc.
MCR:-175
Lecture sur piste ISO 2.
Lecteur à déplacement de
la carte (livrable avec ou
sans capot). Ce modèle est
également disponible en
version ISO 2 ou ISO 3.
MCR-191
Lecture sur piste ISO 2
(réalisable avec ISO 3).
Lecteur à insertion frontale.
MTM-290
Lecture/Ecriture sur pistes ISO 1 + 2 + 3.
Lecteur motorisé très fiable,
compact et performant. à
MTM-200
Lecture/Ecriture sur piste ISO 2 ou sur
une piste non ISO. Lecteur motorisé
spécialement étudié pour les distributeurs
de boissons, cigarettes, journaux, etc.
un lecteur
Pi
MCR-175 ]
(voir ci-dessus) et une
interface RS-232C, =
directement connectable à
un terminal bancaire ou autre.
ACT-270
Boîtier
comprenant
D'autres modèles sont également disponibles (lecture ISO 1
+ 2,1SO 2 + 3,1SO 1 + 2 + 3, lecture/écriture ISO 2, etc.).
N'hésitez pas à contacter Annie Fermus au (1) 306.54.27.
SICOB OEM - Stand 517
Brite International : lecteurs de disques
eV
souples, disques durs, moniteurs couleurs,
tables traçantes, afficheurs LCD, lecteurs de
badges type carte de crédit, imprimantes.
ON BRITE INTERNATIONAL
C.ITOH ELECTRONICS
3, villa Poirier - 75015 Paris
\7 Tél. (1) 306.54.27 - Télex 200 140 C.ITOH
réf. 158 du service-lecteurs (p. 151)
hickory-redwood
Pour toutes précisions :
Nouveaux Produits. ___
(suite de la page 131)
ordres du calculateur aux
alimentations et de lui
communiquer des valeurs
de mesure.
Autres caractéristiques
huit sorties analogiques
entre 0 et 10 V :
programmation en tension
ou en courant ; commande
de l'interface par clavier en
face avant ou par
calculateur ; indicateur
numérique donnant la
valeur de consigne et
permettant l'auto-
diagnostic ; résolution de
10 mV avec une précision
de 0,05 % soit + 5 mV
(option 10 bits) ou une
résolution de 2,5 mV avec
une précision de 0,01 %
soit + 1 mV (option
12 bits) ; existe en huit
versions. Prix : à partir de
13 300 FF.
Service lecteurs n° 26
AVERTISSEMENT
Les prix que nous
publions dans « minis et
micros » ne sont donnés
qu'à titre indicatif. Sauf
mention contraire, il s'agit
de prix hors taxes, que
nous arrondissons d'ail-
leurs pour en accentuer le
caractère approximatif.
Mémoire de masse
Type : MB 40/40
Fabricant : MB
Electronique-Phylec
Présenté en coffret
19 pouces, 3 U (rack ou
table), cet ensemble permet
de stocker 40 M octets sur
disque Winchester 5
pouces 1/4 et 45 M octets
sur cartouche 1/4 pouce.
Le contrôleur incorporé
offre une capacité
d'extension disques jusqu'à
160 M octets au total.
Autres caractéristiques
unité Winchester © 540 de
Quantum ; unité de bande
de Archive ; contrôleur 540
de DT ; interface de type
SCSI ; autres capacités
possibles : 20 + 20 ou
30 + 30 M octets : coffret
aluminium brossé
(personnalisé sur
demande).
Service lecteurs n° 27
Logiciel
Générateur
de programmes
Type : non précisé
Grebe
Fabricant :
Ce logiciel réalise les
fonctions standard des
programmes entraînant un
gain de temps d'un facteur
cinq. Il génère une saisie
contrôlée interactive et les
maquettes d'état, et gère
entièrement les fichiers. On
peut le connecter à des
terminaux de types
imprimantes codes ANS et
écrans ADM 3A ou autres.
À l'heure actuelle, il est
disponible en version sous
système CP/M, langage
Basic Microsoit et
séquentiel indexé FABS 1].
Service lecteurs n° 28
Logiciel graphique
au standard GKS
Type :
Fabricant :
non communiqué
Ramtek
Theta
Représentant :
Systèmes
En accord avec le standard
international GKS$S niveau
2 B, ce logiciel constitue
une interface entre des
applications graphiques et
une librairie de
programmes de
représentations 2D écrits en
Fortran 77. Disponible
actuellement sur Dec
(suite page 136)
J'Â'x + À°X = } enbiBo] uorjouoy ej ap
uoresI[P8Y - £ ‘ÊI
L
L
0
0
0
0)
L
0
GO OQ=O:r
*SeSIeaUT
sep ewwos D] }Se }IMpOId un,p es1eAuI
: sesieauI Sep }Inpoid 8] }5e ewwos eun, p
OSIOAUL, : UPPION #Q ep eweloeu} ne
juepuodsa1109 9] 2 GI SUOIJP[OI Se] ‘UTJUA
‘sejuepsogid suore[ei sep Jiued ep enb
-Uq9Bje uore[ndiueu no aj11iea ep nee]|qe}
Jed juewel]loe] juesst|qe}es pl ‘EI ‘ZI
suore[ei ST ‘onbisse[o e1qe]e,] 2p Inf[99
e enbruept Jse seseuyjueled sep jJuewe}
-1R4} 8] enb juerquou I] }8 OI Se[nNuuo} 527
“enbreuuue,] ep « arpdrpnu » je « snd »
ne sed uou Je LA ‘ NO senbrbo] suorpouo}
xne juepuodsa]1o9 «°» je « +» enb er[qno
uo 189 INqep ne JUSHEOUOL9P 6 'G 'E SE]
P861 IHANILdAS - 9IZ QU « SOIONW Je SIUIU » ep ejre1X8 EYOII À
-NUNO} se7T ‘uoryeordde sun e nearmbe uor
-2Pou e[qnop eun nb enbrput [ e[nuno} PT
‘se[qn snjd se] se[nuO} Se] euuop
OIJUO0-19 « 8JIPSSO[ » eIjJOU ep npe[qD}
9"T ‘selpuilq suOrjouo; se] Anod se[q
-pnbiewel seyquepi senbjenb 1Tuejei Jop
ueto1bol] e] ‘eseq sp se[nunuo} senbjenb er
-JRUUO9 Op U9994] 8] enb eur} euieut ny
serqonbinwe: seyeridoid sep
‘juewe]1oe} sn|d ejeudisqui,s
Je aJU91 ep nee[qe} un, nb esusp snd dnoo
-npeq JS euuO} 229)" (Z *6t}) | NPA} 0
juejeA À je x IS nO [ JUS[PA À J X IS [ JNPA
FAX + AX =}
: UOTJOUO} EI ‘ISUIY
‘X e[qeueA EP] ep jJuewe[duoo esjedde
52 (« e11eq X » }IP UO) x eqeueA e] nb
Je ‘(synmpoud se] mod e1qebje ue euwoo)
LA UOHOUO} EI] ep 21n}199] suPp Jurod
2] JU8ANOS JewO uo,] enb 18jou y ‘NON
8 « — » EME PJ J8 LH 8 « * » 81 ‘NO €
aquesaides « + » a] no esjdope 9} e enbriq
-2Bre uorejou eun ‘senbibo] suorouo} se]
Jns S[N9[PO sep J18n/99}je JIoAnOd ep ut}
enbrigeBn uorypjou
“agque p
e[qeHPA E[ 8P 8SJI8AUT,[ JNPA NON UOHOUO}
e] 'UTHUA ‘sSe[qeHPA Xnep 9p snjd e Juowue]
-08} JUesr[P1ou9P 9s SUOTJOUO] $80) ‘ [ JUE]EA
Xn8p se] no À no x IS [ JNPA JO UOHOUO}
PT ‘JUOWIQUEJINUIS [ JURA À J9 X IS [ JNPA
À no x se[qereA Xn2P 9P LA UOrJoUO} PT
‘sjuepuodseiloo ejHeA ep xnpejqe} se]
euuop [ en PT ‘ajUoA 8p nee[qe} un 1ed
etutep enbtbo] uorouo} efpenb epodur,u
Jewtidxe EP JueslJJns SUOIJOUO} SIO1}
se0 enb emquowsp uo 19 ‘NON EI 1 NO
e[ ‘LA SI : euteuIq a1qeye,] suep juemodui
e[g1 un jueno( senbiBo] suorouo} sloi]
enbtPor syrutixy sun
“elUtep juewsjerduoout js8 uorouo} e] enb
HP UO ‘I UND no O un,p eoejd e] p x un
juejou ue uorjouo} e] p enbuooenb insjeA
eun Jepoeye yned uo ‘enbreid ue sed
JU8}SIX® U SUOSIEUIQUON seurPy199 enbsio]
no ’SUOSIPUIQUION seuIPJIe0 Inod ajua1e}
-JIPUI 358 UOHOUO} e] ep Ane[eA e] enbs1ioT
pomme me meme mue nee mue me Mu Mu Me Ou M Mu me ue ue me mue mu ue mue Gun ue Me One M ue eu de Ge Ou Ge em un ue ue me Ou ue ue due ou eue Ge Ou ue eue ee eu ue ue ue ee me ue mue me eu un mue oem un un out ue ue me mu eu ue ue un ue mue me mn mt à
861 AHANALdIS - 9IZ QU « SOIOIWI Je SIUI » 8P 8}IP1JX6 8YOII
‘ybneuJey ep xnee]qe} s81q2[99 se] }1os ‘senbriqebe sepoujeu sep juesr[rn ue }10s senb
-1bo] suorenbe se] Jerriduis ep sus4ou se] suoserpn}e snou ‘euorj eurteuyooid eun sue(]
RÉAL HA
a)lluepi HSN12X3-NO
uOIJ2UO +4 uoIJou0 +4
k
Ax x Ax
LE EX
NON-NO
uoljauo4
NON-13
UOIaUO4
‘(eouepusdepur eareel
ue Jueuuorjouo; se[noseq se[) euoryouÂse
ed4} ep no (sunuwoo eboioy eun
e doddez Jed swsiuoIyouÂs ue juos se]
-noseq se) euoiyouis ed4} sp exe jueaned
eppequenbes enbrbo] ue sost[pol sewesÀs
s9T ‘se[qe}siq se] je se[noseq Se] Juos
eppequenbes enbiho] e[ ep sjuesodwoo
xnedrouud seT ‘Inengjue }P}9 uos ep
je soomque ses pe seonbridde (senbroe[s
XNPBUPIS) S8[qEIIPA S8P SI0J E] P Juepuedep
enbiu0o11981[9,p }INOII9 UN,P 21H10 EI] P s}P}9
se ‘enbrbo] ep ed} 29 sue ‘(« erroyeuiq
-W09 » ISSNE J10A) eouenbes eun Pb JrjP[OYH
1eruenbes
‘NON
-NO 1 NON-LA senod sep sjensn se]
-oquis se] enb sure ’seod 529 8p 9194
ep sejqe} Se[ e1JUO9-[9 suUOUuUOp snoN
‘(uos
-IBJedW09 8p no) a}jUepI,p seyod sep —
: (HOX
Issne soopodde) JISN[OXY-NO SeHod sep —
: (srepue
ue HON SeHP) NON-NO seHod sep —
: (srerpue
ue GNYN SeHP) NON-LH seHod sep —
: juowe[ep9 eAnOï} UO ‘21}U09-19
saerpn}® NON 12 NO ‘LA Seuod se] 810
"(LOG OJeunu np euot} IOA) jueanos sn|d
8] LL 21Pojouyos} ue sinsjonpuoorwes
e SJIsOdsIp 8p JtHed p S99SI[P9I }UOS Se[[4
senbi6o] soy10q
"078 ‘JISNIOXA - NO ‘LA-NON
‘NO ‘NON ‘LA ed4A} ep seyuod sep juos
edtopeurquoo enbibo| ej ep sjuesodwoo
xnedroutd se7 ‘serylos sep }2}9,] je sde}
a snçd ue arueadequi jrez mb epperquenbes
enbiho] e] ep e1epjip efpe ‘ena ep jurod
29 eq ‘uen no no} senbripoe[s xneubis
MINISs<
MICrosS
Les fonctions
combinatoires
simples
Les systèmes numériques, des plus simples
aux plus compliqués, se composent de
fonctions combinatoires et séquentielles.
Les premières ne dépendent que des états
appliqués aux entrées et pratiquement pas
du temps, tandis que, pour les secondes,
le temps joue un rôle primordial dans leur
comportement.
Les portes logiques représentent les fonc-
tions combinatoires les plus simples ; les
bistables (ou latch) et les bascules (flip-
flop) constituent les fonctions séquentiel-
les les plus simples.
Nous examinons dans cette fiche les fonc-
tions combinatoires de base.
Fonction ET
Variables
d'entrée
Fig. 1 - Tables de vérité et symbole:
Fonction OU
Variables
d'entrée
© Fiche extraite de « minis et micros » n° 216 - SEPTEMBRE 1984
MINISs
MICrOS
E4
RAPPELS
D'ELECTRONIQUE
comment définir
une fonction logique
Par définition, une fonction logique prend,
à la sortie, une des deux valeurs 0 ou 1 (ou
H pour High et L pour Low, ou encore Vrai
ou Faux) selon l'état des variables d'entrée
X,, 3, …, x, dont elle dépend. La valeur
de la fonction est spécifiée à 1 ou 0 pour
chacune des 2" combinaisons des n varia-
bles. On représente couramment une fonc-
tion logique par un tableau de vérité dans
lequel sont répertoriées, d'une part, les dif-
férentes valeurs que prennent les variables
d'entrée, d'autre part, les valeurs corres-
pondant à la sortie de la fonction (fig.l).
Fonction NON
Variable
d'entrée
Les fonctions
combinatoires
simples
Combinatoire
Relatif à des combinaisons d'éléments. La
logique combinatoire traite des états tout
ou rien d'un circuit d'électronique (par
E4
GLOSSAIRE
RAPPELS
D'ELECTRONIQUE
exemple, présence ou absence d'une ten-
sion) en analysant les états de la sortie en
fonction des seules variables appliquées
aux entrées, les variables étant des
Equations portant sur une variable et une constante
SRE
fonctions OÙ
=
fonctions ET
HO » x » % »% »% »% »Il
Louou
le complément du complément d'une variable est la variable elle-même
Distributivité des variables
(x + y). (z +t) = x.2 + xt + y.z + y.t
X.y + x.z = x (y+2)
Relations diverses
y, on écrit x + y = x
y comme (]
Théorèmes de De Morgan
l'inverse d'une somme
l'inverse d'un produit
produit des inverses
somme des inverses
Tableau de quelques identités remarquables
© Fiche extraite de « minis et micros » n° 216 - SEPTEMBRE 1984
PROTEGEZ VOTRE
INFORMATIQUE
.… et vos systèmes à microprocesseurs
BUIRIEAUTIQUIE
SOGAMATIC
Régulation de tension.
Suppression des micro-coupures.
Suppression des parasites.
: LL
SOGAVOLT
Suppression des parasites. À NL Régulation de tension.
N.. ] Î ù Suppression des micro-coupures.
Pour la protection de votre informatique, choisissez entre des modèles incorporables dans
vos équipements et un modèle plus esthétique s’intégrant dans votre espace bureautique.
TEKELEC AIATRONIC
Cité des Bruyères, rue Carle Vernet, 92310 SEVRES Tél. : (1) 534.75.35 - Telex : 204 552 F
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 159 du service-lecteurs (p. 151)
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 135
Puu12 1013
Nouveaux P
(suite de la page 132)
Vax/Vms et PDP 11, il
supporte de manière
standard les processeurs
graphiques des Ramtek
9465 et 2020.
Service lecteurs n° 29
Logiciel
de communication
sur IBM PC
Type: X25.
Fabricant : Serita
Conçu pour l'IBM EC et
ses compatibles, ce logiciel
de communication offre
deux types d'interfaces.
Une première de type
fichier pour minimiser les
aspects de communications
lors de l'écriture de leurs
applications. Une seconde
offrant des applications
eaux modèles (KTS,
viennent 1e
minaux de
uits
Autres caractéristiques
dix circuits virtuels et/ou
permanents ; jusqu'à 9 600
bits par seconde ;
comportement EHD ou
ETCD.
Service lecteurs n° 30
Valise de
sauvegarde
Type :
Fabricant : Yrel
Gardian
Cette valise de sauvegarde
permet de copier la totalité
d'un disque Winchester en
une seule opération. Deux
versions sont disponibles.
Gardian 10, sauvegarde
10 M octets et Gardian 36,
Matériels d'occasion
utilisez
les petites annonces
de « minis et micros »
joindre
on. Avantages re
: Émulation
(Horiog
caractères;
recopie, SYM
graphique).
Plus d'ergono
détachable €
mie avec S
tson écran orne
Kimtron
roduits
à gagnel:
et Pep Sinfodis :les
et l'équipe qui VON
on clavier
ntable.
36 M octets. Prix :
FF et 39 500 FF.
Service lecteurs n° 31
15 500
Système
mini ou micro
Système
de traitement
d'images
Type : combinaison
X Paint, Radiance 320
Représentant : Métrologie
Ce distributeur français
propose à des utilisateurs
non informaticiens
(architectes, dessinateurs,
graphistes, etc.) un système
de traitement d'images
comportant un logiciel
X Paint, un micro
\ud NE .
s aident
e du Général-
541, Set C, avenue
graphique haute résolution
Radiance, un banc caméra
et une tablette sensible.
X Paint est un logiciel de
création graphique qui
peut générer toutes sortes
de formes géométriques,
sauvegarder des images (ou
des parties) et accepter des
images vidéo pour les
transformer.
Radiance 320 est un
terminal graphique dont les
caractéristiques essentielles
sont 256 couleurs en
simultanée, définition de
640 par 488 pixels, un
balayage 625 lignes non
entrelacé et compatible
Tektronix 4010.
Prix : la combinaison
X Paint, Radiance 320,
micro-ordinateur (type IBM
PC ou BFM 186),
tablette graphique et banc
caméra est proposée à
moins de 200 000 FF.
Service lecteurs n° 32
plus télématiques. ordinateur, un écran
formatique.
6302456
43 CLAMART Tél: (D É57002
20800 BRON Tél. (D)
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 160 du service-lecteurs (p. 151)
RE
Système connexe
Système graphique
couleur
Ramtek 2020
Fabricant : Ramtek
Type :
Représentant : Theta
Systèmes
Conçu pour des systèmes
de CFAO, ce produit est
organisé autour de
processeurs 32 bits
évoluant dans une
architecture pipeline. Les
graphiques de base,
transformations
géométriques et de
vecteurs peuvent être
réalisés en 2 D ou 3 D.
Autres caractéristiques
résolution de 1 024 lignes
par 1 280 points ; balayage
non entrelacé 60 Hz. Prix :
non communiqué.
Service lecteurs n° 33
Processeur
graphique hautes
performances
LEX 90/35
Fabricant : Lexidata
Type :
Le processeur graphique
est construit autour d'un
microprocesseur 6801
tandis que la partie
affichage, qui a besoin
d'être très rapide, utilise un
processeur
microprogrammé en
tranches à 56 bits piloté
par un microséquenceur.
Cela permet d'afficher un
pixel en 600 ns dans
n'importe quelle direction.
Autres caractéristiques
LEX 90/35, modèle 2 :
système graphique à
double résolution,
sélectable par logiciel
permettant de générer en
même temps des images
ombrées à résolution
moyenne et des images
« fil de fer » à résolution
élevée ; affichage simultané
d'une image 640 x512Xx8 et
d'un « overlay » de
1280 x 1024 x 4 sur un seul
écran ; version en couleur
véritable avec deux
tampons de 640 x 512 x 24
et une table de couleur
8 bits.
LEX 90/35 modèle 3 :
système graphique
supportant huit plans
1 280 x 1 024 avec une
table de couleur à 8 bits ;
reconfigurable en double
tampon quatre plans ;
prochainement une version
dépouillée et une version
pour l'affichage d'images
de solides.
Délais : trois mois pour le
modèle 2 et quatre mois
pour le modèle 3.
Service lecteurs n° 34
Microprocesseur
Microcalculateur
8 bits
Type : EF 6801U4
Fabricant : Thomson
Semiconducteurs
Ce microcalculateur/
microprocesseur haut de
gamme est basé sur le
EF 6801 avec des
performances améliorées. Il
peut fonctionner comme un
microcalculateur fermé ou
avec un espace d'adressage
étendu à 64 K octets.
Autres caractéristiques
jeu d'instructions 6800
amélioré, compatibilité
logicielle ascendante avec
EF 6800-6801 ;
multiplication 8X8 ;
générateur d'horloge
interne avec sortie 1/4 :
interface série ;
temporisateur
programmable 16 bits ; 4K
octets de Rom, 192 octets
de Ram, 32 octets de Ram
de sauvegarde ; 29 E/S
parallèles et deux signaux
de dialogue ;
développement sur système
Thémis ; modèle EF 6803U4
sans Rom.
temporisateur 8 bits avec
prédiviseur 7 bits
programmable ;
alimentation 2 à 6 V';
brochage compatible EF
6805P2 et EF 68HC04P2.
Service lecteurs n° 35
Microcalculateur Service lecteurs n° 36
série ERREUR RSS NI
Microprocesseur
8 bits
Type : EF 68HCO05E2
Fabricant : Thomson
Semiconducteurs
Appartenant à la famille
6805, ce microprocesseur
C-Mos faible consommation
se caractérise par
l'intégration d'une Ram, de
seize entrées/sorties et d'un
temporisateur.
Autres caractéristiques
entièrement statique ;
puissance dissipée 35 mW
à 5 V (fréquence max.),
attente 5 mW, stop 25 uW ;
Ram de 112 octets ;
temporisateur 8 bits avec
prédiviseur 7 bits
programmable ; adressage
8 K octets de mémoire
externe ; oscillateur
EF 68HC04P3
Fabricant : Thomson
Semiconducteurs
Type :
Ce calculateur 8 bits série,
à très faible consommation,
est conçu pour les
utilisateurs nécessitant une
solution bon marché
employant le jeu
d'instructions du 6800.
Autres caractéristiques
HC-Mos faible
consommation ;
et attente basse
consommation ; 124 octets
de Ram sauvegardée ; 2 K
octets de Rom, et 72 octets
de Rom pour tables ; 20
E'S bidirectionnelles
compatibles C-Mos et TTL ;
POUR TERMINAUX
INFORMATIQUES
FILTRE OPTIQUE ORDI-FLEX
ANTI-EBLOUISSANT
(en fibres de nylon noires micro mono filament
tissées) - 70 modèles
(suite page 138)
Pour recevoir
des fournisseurs
une documentation
complète, utilisez
les cartes
Service lecteurs
(en rabat de couverture)
N'oubliez pas votre adresse
modes stop
° Confort de l’opérateur - Prolonge la vie du tube
e Installation facile.
Informez-vous :
I A TE proourrs
32 rue Fessart - 92100 BOULOGNE Tel. : (1) 604 81 11 TIx : 260 650
Pour toutes précisions: réf. 161 du service-lecteurs (p. 151)
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 137
AR FORTRAN 86
PLM 86
PASCAL 86
SOFTSCOPE
RTCS/UDI est N°7
un logiciel d'interface Ts
permettant d'utiliser sur micro-ordinateurs tous les
logiciels de développement 8086 - 80186.
Autres produits RTCS:
+ SOFTSCOPE: logiciel de mise au point en langage de
haut niveau (PLM 86 - PASCAL 86 - FORTRAN 86 - C 86
- ASM 86).
e PC/IRMX 86 préconfiguré pour IBM-PC.
* Prix H.T. au 01.06.84
IBMPC est une appellation IBM iRMX est une appellation INTEL
MS-DOS est une appellation MICROSOFT
= MICRO TECHNOLOGIE
ELECTRONIQUE
68, rue de Paris 93804 EPINAY-SUR-SEINE.
Tél:(1) 823.15.24
Pour toutes précisions: réf. 179 du service-lecteurs (p. 151)
PAGE 138 — MINIS ET MICROS N° 216
(suite de la page 137)
intégré ; alimentation 3 à
6 V ; boîtier Dil quarante
broches ou boîtier porteur
plastique.
Service lecteurs n° 37
Microcalculateur
8 bits
bas de gamme
Type : uPD 7816
Fabricant : NEC
Ce nouveau micro-
calculateur monoboîtier
constitue une version
simplifiée du uPD 7811, à
performances moins élevées
mais à coût plus faible.
Le code d'ordre, en
particulier, a été réduit de
158 à 98 instructions.
Autres caractéristiques
horloge à 8 MHz donnant
un temps de cycle
d'instruction de 1,5 us ; 40
lignes d’E/S ; compatibilité
avec le bus du 8085 ;
convertisseur A/N pouvant
gérer huit entrées
analogiques en mode
multiplexé ; interface
série ; deux temporisateurs
de 8 bits.
Service lecteurs n° 38
Composant
d'interface
et périphérique
Interface
et temporisateur
EF 68230
Fabricant : Thomson
Semiconducteurs
Type :
Ce dispositif contient une
interface parallèle à usages
multiples et une fonction
temporisateur, orientés
système pour les
applications à base de
68000.
Autres caractéristiques
bus 68000 ; interface
Nouveaux Produits
parallèle 8 ou 16 bits en
unidirectionnel ou
bidirectionnel ; option de
« handshaking »
programmable ;
temporisateur à compteur
24 bits et prédiviseur
5 bits ; cinq vecteurs
d'interruption ; registres
lecture/écriture adressables
directement.
Service lecteurs n° 39
Composant
d'électronique
Convertisseur N/A
12 bits
MP 7623
Fabricant : MicroPower
Systems
Type :
Représentant : Unirep
Selon son fabricant ce
circuit présente de
substantielles améliorations
par rapport au
convertisseur standard 7541
à cause de son procédé de
fabrication. La capacité de
sortie quatre fois plus petite
permet un affichage de
20 V à 0,01 % en moins
d'une microseconde.
Autres caractéristiques
stabilité intégrale et
différentielle de
0,2 ppm/°C ; monotonicité
garantie de — 25 à
+ 85 °C et dans la gamme
militaire ; « glitch » de
faible amplitude dû à la
faible capacité de sortie
(52/26 pF pour I, et
13/45 pF pour L,,:2) ; masse
virtuelle ; offset de
330 nW ; potentiomètres
d'ajustage non nécessaires ;
boîtier dix-huit broches
(plastique ou céramique).
Délai de livraison : quatre
semaines. Prix : 12,45 $
pour cent pièces en boîtier
plastique, série
commerciale.
Service lecteurs n° 40
ERP PRE ER RER PENSE
(suite page 140)
Imprimante Compuprint:
la partenaire fiable.
Les Compuprint série I de
Honeywell Information Systems Italia
s’adaptent parfaitement à tous les
systèmes. Conçues à Pregnana Milan,
elles sont fabriquées dans les usines de
Caluso en Italie. La série I est
composée de quatre modèles: L11 I,
L12 QC I, L32 QC I, 34 QC.
Il existe une nouvelle ligne
d'imprimantes qui s’adresse aux
utilisateurs les plus exigeants
grâce à une extrême souplesse
d'emploi vraiment digne d’une
bonne partenaire. Les nouveaux
modèles de la série I (L11, L12
QC I, L32 QC I, 34 QC) sont
munis d’une nouvelle tête à
neuf aiguilles qui permet de
nouveaux standards de
définition. Les performances
graphiques dont elles sont
capables sont réellement
élevées. Elles offrent un vaste
choix de caractères, afin de
toujours avoir celui désiré dans
la dimension voulue. Les
modéles QC permettent
également une impression de
qualité, obtenue grâce à un
double passage de la tête
donnant ainsi une meilleure
présentation graphique.
Les nouvelles Compuprint sont
Pour toutes précisions : réf. 164 du service-lecteurs (p. 151)
silencieuses. Leur mécanique
très simple garantit une grande
rapidité de travail, et un
fonctionnement de longue durée
continu et fiable. Les nouveaux
modèles permettent également
d'imprimer soit sur feuillets
séparés soit sur papier paravent
sans limitation d'utilisation.
L’extrême cohérence de la
conception assure un haut
niveau de performance ainsi
qu'une grande fiabilité de la
partie mécanique.
Ces nouveaux modèles sont à
Pavant garde de la nouvelle
génération d'imprimantes
matricielles de Honeywell
Information Systems Italia. Ces
imprimantes se sont affirmées
rapidement dans le monde
entier. Elles répondent à une
vaste gamme d’exigences
qui leur permet
de s’adapter à tous les
systèmes: minis et
microordinateurs, personnels et
professionnels, et terminaux.
Une bonne partenaire pour
Putilisateur qui choisit les
nouveaux standards.
La représentation de Compuprint
série Ï est assurée en France par:
Honeywell Information Systems
Italia- Matrix Printers Operation
6 Avenue Ampère,
78390 Bois D’Arcy
Tél.(3) 0438221 Tix. 695513
et la distribution par:
HEXAMATIC
70 Av. d'Argenteuil
92600 Asnieres Tél. (1) 7904031
MES PILES
POUR FAIRE FACE
MOSTEK - MK48Z02
RAM NON VOLATILE
2Kx8
TEMPS D'ACCES : 150 NS A 250 NS
Rue Fourny - BP 22 - 78530 BUC
Tél. : (3) 956.10.18 - Télex : 698965
Pour toutes précisions : réf. 165 du service-lecteurs (p. 151)
ne gamme
de terminaux
francais.
e 12" et 14”
e compacts, modulai-
res, ergonomiques.
ecompatibles VT 52,
VT 100 et VT 200.
Les moniteurs COBRA
et Zéphyr sont déve-
loppés, construits et
commercialisés par
SIEG (Société d'Informa-
tique et d'Electronique du
Gard) à Nîmes. Outre la
disponibilité des matériels, la fabrication en France
garantit à l'utilisateur :
e des prix compétitifs, à l'abri des fluctuations monétaires,
e une remarquable souplesse,
e des temps de réponses rapides,
e un support technique efficace,
ela maîtrise technologique d'une unité de production
moderne.
Appelez B. COGNY -
(66) 27.24.34.
SIEG - ZI DE GREZAN -
ROUTE DE BEAUCAIRE -
30000 NIMES.
Pour toutes précisions : réf. 166 du service-lecteurs (p. 151)
PAGE 140 — MINIS ET MICROS N° 216
(suite de la page 138)
Convertisseur N/A
12 bits C-Mos
TP 7541
Fabricant : Teledyne
Philbrick
Représentant : Alfatronic
Type :
Ce circuit à technologie
C-Mos fonctionne sous
15 V. Il est présenté en
boîtier Dip céramique
18 broches. Trois gammes
de température : O0 à 75°C,
25 à + 85°C, — 55 à
+ 125°C. Convient pour
affichages cathodiques de
précision, amplificateurs à
gains programmables et
générateurs de vecteurs.
Service lecteurs n° 41
Convertisseur A/N
16 bits
4088
Fabricant : Teledyne
Philbrick
Représentant : Alfatronic
Type :
Ce convertisseur est
spécialement conçu pour
les applications de mesure
en bio-médical, la
reconstruction des sons
avec des vitesses élevées,
etc.
Autres caractéristiques
temps d'établissement de
l us ; + 0,0015 % de
linéarité différentielle ;
optimisation de l'erreur de
sortie par apairage des
échelles de résistances ;
tensions de sortie de 0 à
+ 5V,0à + 10 V,
+2,5V, +5V, +10V
programmables par plots ;
alimentation + 15 V ;
puissance : 465 mW ;
boîtier céramique 40
Pour recevoir
des fournisseurs
une documentation
complète, utilisez
les cartes
Service lecteurs
(en rabat de couverture)
N'oubliez pas votre adresse
Lee
Nouveaux Produits
SE
broches ; température : 0 à
15°C,
Service lecteurs n° 42
Echantillonneur
bloqueur
pour convertisseurs
14 et 16 bits
MN 373
Fabricant : Micro Network
Type :
Représentant : Microel
Cet échantillonneur
bloqueur est conçu pour
les convertisseurs à hautes
résolutions 14 ou 16 bits.
Autres caractéristiques
tension d'entrée de
+ 10 V ; compatibilité avec
les convertisseurs A/N MN
5290 où MN ADC 76;
blocage de 10 V + 1/2 LSB
pour 14 bits en 10 us ;
temps de montée de 10 V
par us ; incertitude à
l'ouverture de 1 ns
typique ; fréquence
d'entrée jusqu'à 10 kHz
pour 14 bits : boîtier Dip
céramique 14 broches.
Service lecteurs n° 43
Circuit
de commande
de moteur
Type : LS 7263
Fabricant : LSI
Représentant : ISC France
Le LS 7263 est un circuit
de commande de vitesse de
moteur à courant continu
pour disques et bandes,
nécessitant une stabilisation
à 0,1 % près et ayant très
peu d'inertie.
Autres caractéristiques
alimentation entre 10 et
28 V ; version standard
pour des moteurs tournant
à 3 600 t/mn :
programmation par masque
permettant des versions à
d'autres vitesses, charges
ou caractéristiques ;
(suite page 142)
des mémoires aux disquettes.
ADM L’INTERFACE
ENTRE VOTRE PROBLÈME ET LA SOLUTION
Disquette : 5” 1/4 - 8” DF - DD - SF - SD
Mémoires : RAM. 2Kx8-16Kx1
’ 4 8Kx8-64Kx1 etc.
D F P.R.OM. 32x4-512x4/38x8-512x8
Maxell S É é 1024x8 etc.
; E.P.R.OM. 2716.2732.2764.27128.
FUJETSU - EUROTECHNIQUE - NEC -
SGS - etc...
ELAN : Programme de la 2508 à la 27512
EPROMS adaptateur pour 8741 - 8748 - 8749 -
8755 - 8751 - 8752. Liaison série et parallèle
13 formats - 13 vitesses jusqu'à 19200 bauds
R.A.M. 64 K octet (option 128 K). Soft pour la
réalisation d'étiquettes. Fonction télécommande
(REMOTE CONTROL).
Autres produits : effaceur, programmateur
de PAL.
Service programmation toutes mémoires.
Electronique
Centre d'Affaires Paris-Nord Bâtiment le Continental
93153 Le Blanc-Mesnil - B.P. 337
Tél. : 865.03.11 / Télex : ADME 213 975
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 167 du service-lecteurs (p. 151)
Systèmes méga-mini informatique
Les utilisateurs
Norsk Data sexpriment..
“VERDICT DES UTILISATEURS” J ue —— Une seconde place qui consacre les efforts menés depuis de
nombreuses années par ce constructeur européen. Tant sur
le plan de la fiabilité, la fonctionnalité et les performances
NORSK DATA : SECOND AU CLASSEMENT | Lh | des matériels qu'au plan de la qualité des logiciels et de la
“APPRÉCIATION GLOBALE"” “hu 1 diversité de la gamme.
r À À Présent aujourd'hui sur les principaux marchés informati-
Moyenne Appréciation fl | ques mondiaux, NORSK DATA propose, en effet, une
Constructeurs | i Iues aux, È Prof , ,
| des 13 critères:| | globale ! gamme étendue de systèmes méga-mini (16 et 32 bits) par-
BURROUGHS 2,89 _ 2,85 " . Î ticulièrement adaptés au domaine de la bureautique, aux
BULL 2,79 2,85 marchés scientifiques et techniques et à la constitution de
DATA GENERAL 3,47 3,52 réseaux informatiques.
DIGITAL 3,29 3,28 ÿ |
HEWLETT-PACKARD 3,25 3,34 A
IBM 3,18 3,17 o1 ce “verdict utilisateur” vous intéresse, adressez ce cou-
ICL 2,84 2,87 pon-réponse à :
INTERTECHNIQUE 3,10 3,09 NORSK DATA, Service Communication
KIENZLE 3,03 2,92 ——
NCR | 2,97 3,04 CETTE
4
NIXDORF 3,02 3,10
NORSK-DATA
PERKIN-ELMER
NOM
3,25 3,37
2,99 3,14 \
PRIME 3,23 3,26 - SOCIÈTÉ
SFENA-DSI 3,09 3,19
SPERRY | 3,04 | 3,03 ADRESSE
_. ET FH FH Norsk Data France
$
$ 4
Interrogés dans le cadre de la cinquième enquête
01-DATAPRO, les utilisateurs NORSK DATA ont exprimé He 282* 92213 Saint-Cloud Ce: de» x
eur satisfaction sur l'ensemble des produits et services se ‘2e HET Téléphone : (1) 602.
roposés par NORSK DATA. Norsk Dat Data Télex : 201 108
#99 120, Bureaux de la Colline TEI
souhaite avoir des informations complémentaires sur
NORSK DATA
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 168 du service-lecteurs (p. 151)
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 141
(suite de la page 140)
détecteur de vitesse faible
incorporé ; technologie
P-Mos ; boîtier Dil à
18 broches, plastique ou
céramique.
Service lecteurs n° 44
Nouveaux Produits
Composant
mémoire
Deux Ram
dynamiques
256 K bits
Type : MT 1256 et MT 4064
Fabricant : Micron
Technology
Représentant : A2M
Ces deux versions
organisées respectivement
en 256 K mots de 1 bit et
64 K mots de 4 bits
bénéficient d'un dispositif
de correction d'erreurs. Ce
système détecte les erreurs
de 1 bit en générant un
mot de contrôle codé sur 4
bits pour chaque groupe de
8 bits stockés en mémoire.
Autres caractéristiques
temps d'accès variant de
120 à 200 ns :
consommation de 150 mA
et 10 mA (au repos) ;
surface de 42 mm? ; boîtier
de 16 et 18 broches. Prix :
500 FF à l'unité. Délais :
fin 1984 pour la version
4064 (64 K mots de 4 bits).
Service lecteurs n° 45
Sauf indication contraire,
tous les prix annoncés
en rubrique
« nouveaux produits »
sont des prix hors taxes
UNITÉS DE DISQUES
WINCHESTER 10 MO
<.. DEMI-HAUTEUR
7e» Ÿ
Le HH612 of-
fre 10millions
d'octets de
mémoire
formatée
avec des be-
soins de voltage
très bas et des carac-
téristiques de très haute fiabi-
lité que l'on ne trouve habituellement que dans des
mémoires de masse de plus grande capacité. Il pèse seu-
lement 3 livres et s'adapte parfaitement à des conditions
critiques d'espace, de poids et de puissance.
C'est l'unité à choi-
sir pour le bu-
reau, l'usine et #
les systèmes mili- * 2
taires aussi bien
e°*+ Microscience
+ International
Corporation
que pour les ordinateurs portables. Pour obtenir une
information complète, prendre contact avec :
MICROSCIENCE INTERNATIONAL CORPORATION
Kzeillerstrasse Z1/11, D-8000 Munchen 80, West Germany
téléphone 089/4315669 ; Télex : 521 34 42 ampd.
Pour toutes précisions : réf. 169 du service-lecteurs (p. 151)
PAGE 142 — MINIS ET MICROS N° 216
Communication
et réseaux
Minitel compatible
VT100 à À
CONFIGURATION DU RESEAU:
RÉSEAU INTERNE OÙ URBAIN
* Coût PIT nul en réseau inteme.
** Economie d'une ligne TRANSPAC en réseau urbain.
Type : Vidéocom 7004
version VT100
Fabricant : Télé-
informatique
Avec cette version de
l'adaptateur vidéotex
programmable Vidéocom
7004, le Minitel devient un
terminal asynchrone
standard. Il est possible
alors pour l'utilisateur de
gérer des écrans Minitel à
l'aide des utilitaires de
formatage de nombreux
types d'écrans.
Autres caractéristiques
— Vidéocom 7004 :
adaptation des Minitel aux
ordinateurs : aide au
développement
d'applications Vidéotex ;
utilisation du réseau
commuté : réseau de 25 à
120 terminaux Minitel.
— Version VT100 :
fonctions gestion du
curseur, des attributs
vidéo, des séquences de
télécommandes Minitel ;
conversion d'attributs
norme Ànsi en attributs
vidéotex ; programmation
des touches de fonctions ;
configurations quatre ou
huit voies. Prix
configuration quatre voies
version teletype :
16 000 FF. Option VTI00 :
3 000 FF.
Service lecteurs n° 46
Modem optique
Type : MO-64
Fabricant : Silec
Ce système permet de
réaliser des liaisons
bidirectionnelles point à
!
Leur once
point en utilisant un câble
à deux fibres optiques. La
vitesse maximale de
transmission est de 64 K
bits par seconde et la
portée de 2,5 km avec une
fibre 100/140.
Autres caractéristiques
liaison série asynchrone,
bidirectionnelle
simultanée ; émission par
diode électroluminescente
et réception par diode
PIN ; interface V24-
RS 232 C ; coffret standard
1/2-19 pouces avec test
manuel et visualisation.
Service lecteurs n° 47
Divers
Alimentations
programmables
enfichables
Type : MEPR et MEPA
Fabricant : Multisources
Electronique
Ces alimentations
programmables et
enfichables sont conçues
pour permettre le dialogue
avec un calculateur par
LE US EE Se |] (suite page 145) |
VME
DY4
THOMSON
STD
DATRICON
MULTIBUS® | ISI Ra ation
et compatibles
INTEL - AMS - BURR - BROWN
DATACUBE - ELECTRONIC SOLUTIONS G64
IMAGING TECHNOLOGY
ISTINTERNATIONAL - METACOMP - SEMAE
TEXAS - ZENDEX... en
TEKELEC [LÀ AIRTRONIC
Cité des Bruyères, rue Carle-Vernet, 92310 SÈVRES. Tél. : (1) 534.75.35 - Télex : 204552F
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 170 du service-lecteurs (p. 151)
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 143
Pueu 12 1009
",
, | qe
AA
.€t bien d’autres!
MICE est le lien entre votre calculateur et vos applications.
Pour les études, la maintenance ou la mise au point sur site,
MICE est un émulateur universel, souple et économique, pour la
plupart des microprocesseurs 8 et 16 bits du marché.
MICE Il est le plus sophistiqué de la gamme, c'est un vrai temps
réel qui dispose d’une mémoire d'émulation de 32 Ko extensible.
MULTI-MICE est l'outil idéal pour les applications multiprocesseur.
MICE, de MICROTEK International Inc., est distribué en
FRANCE par MICRO TECHNOLOGIE.
CRO TECHNOLOGIE
ELECTRONIQUE
68, rue de Paris 93804 EPINAY-SUR:-SEINE.
Tél: 823.15.24 Télex: INTEGRA 612 973 F.
Pour toutes précisions : réf. 171 du service-lecteurs (p. 151)
PAGE 144 — MINIS ET MICROS N° 216
Pour toutes précisions :
| N VA “ “ qu
UNE GAMME COMPLÈTE D'ALIMENTATIONS
ET DE CONVERTISSEURS
La standardisation, raison de choisir
>
ELBA-GMBH
Présentation en cassettes au standard
Europe et en modules au standard international
- Puissance de 1,5 W à 200 W
- Mono-tension, multitension
- Technologie récente
- Découpage à 100 KHZ par MOS
- Rendement élevé
- Encombrement et poids réduits
- Normes VDE.
Ces produits sont distribués par :
La source de votre énergie
JT)
ELECTRONIQUE
16, RUE DES MEUNIERS / 75012 PARIS
TEL. : 340.55.46 / TELEX 240038 F
MHIGM 907
réf. 172 du service-lecteurs (p. 151)
Nouveaux Produits ___
(suite de la page 142)
l'intermédiaire d'une
interface de programmation
analogique.
Autres caractéristiques
alimentation à tension ou
courant constant ; taux de
régulation de 10 ‘pour une
variation de 10 % d'entrée
et une variation de charge
de 0 à 100 % ; temps de
réponse < 50 us ; réglage
manuel pour les
alimentations MEPR ;
tensions de sortie 20, 40 et
60 V avec des puissances
de 40, 80 et 160 W ;
présentation aux normes
Europe ; 128,4 mm de
hauteur et 220 mm de
Pour recevoir
des fournisseurs
une documentation
complète, utilisez les
cartes lecteurs
Service lecteurs
(en rabat de couverture)
N'oubliez pas votre adresse
profondeur ; raccordement
par connecteur Din 41612
(2 477 contacts).
Service lecteurs n° 48
FRERE ESS SEE
Claviers
professionnels
Type : Ergokey EKT et EKI
Fabricant : Advanced
Input Devices
Ce clavier compatible IBM
est disponible en deux
versions, style européen ou
international. La première
(EKT) comprend 83 touches
à la norme DIN. La
seconde a des touches
rectangulaires droites qui
permettent un relégendage
par milar préimprimé. Ces
claviers nécessitent 75 %
de composants en moins
que leurs homologues à
système capacitif, et offre
une meilleure fiabilité.
Prix : environ 50 $ par
grande quantité.
Service lecteurs n° 49
=
Connecteurs doubles
pour cartes
VSBX série Il
Viking
Type :
Fabricant :
Connectors
Représentant : ISC France
Ces connecteurs améliorent
la robustesse et la fiabilité
des connexions entre cartes
filles sur cartes mères.
Autres caractéristiques
2X18ou 2X(18 + 4)
contacts ; pas de 2,54 mm ;
contacts canés (0,6 mm de
côté) avec trois épaisseurs
d'or ; sorties à souder ou à
wrapper ; détrompeur
évitant le risque de fausse
insertion ; courant de 3A ;
résistance de contact
inférieure à 10 mA ;
isolement supérieur à
1000 MA.
Service lecteurs n° 50
Fond de panier
LSI 11
Type : BP 64
Fabricant : General
Robotics
Le BP 64 supporte un fond
de panier Q-Bus qui peut
recevoir des modules LSI
11 (douze modules « dual »
ou six « quad »).
Autres caractéristiques
dimensions de
29,5 x 10 x 24 cm environ ;
montage vertical ou
horizontal ; adaptation
facile au châssis Retma
5 pouces 1/4. Prix : 300 $.
Service lecteurs n° 51
EE |
9, rue d’Arcueil BP 78 - 94253
GENTILLY CEDEX. TÉL. (1) 664.11.01. TÉLEX 201069
Le partenaire de l'innovation
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus :
toujours
RTF: TOUJOURS
e Les hommes : RTF compte 34 ingénieurs technico-commerciaux
rêts à intervenir pour répondre efficacement
à vos besoins en composants actifs et passifs.
e La méthode : RTF possède un équipement informatique, travaillant
en temps réel, toujours prêt à informer sur le stock disponible.
e Le stock : RTF dispose de plus de 20.000 références toujours prêtes
à être livrées, parmi les marques les plus performantes u marché.
e L'implantation : RTF près de vous grâce à ses 2.200 m°
de locaux en périphérie de Paris, ses bureaux en Bretagne,
dans le Sud-Ouest, et dans la région Rhône-Alpes.
e L'expérience : RTF est depuis 50 ans
le professionnel sans cesse à l'affût
des nouvelles techniques, et toujours prêt
à “coller” à l'évolution constante
ét nécessaire de ce marché.
0...
référence
173 du service-lecteurs (p.
Répondances
IS
; O
Veuillez m'adresser gratuitement
et sans engagement de ma part
votre documentation.
RTF 9 rue d'Arcueil BP 78
94253 Gentilly CEDEX.
Nom
Adresse
151)
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 145
AVMAIANATINT EAVMANTINT
COFHIQLLON ________ _ J'OTIMIOULION
FAIRE COMMUNIQUER DES SYSTÈMES INFORMATIQUES
Réseaux de communication et interfaces associés
Comment faire dialoguer des systèmes informatiques ? Comment se reconnaître dans les différentes architectures de réseaux ? Quelle est
l'avenir des réseaux locaux ?
Pour répondre à toutes ces questions, la CEGOS vous propose le stage « Réseaux de communication et interfaces associés »
Après une présentation des concepts fondamentaux de la transmission de données, seront détaillées, tour à tour, les architectures de réseaux
de communication, des exemples de réseaux généraux (TRANSPAC, RTC) ou locaux (Ethernet, LNA) les plus en vue pour la transmission de
donnée. Date des stages : 3-4 octobre 1984, 6-7 novembre 1984, 11-12 décembre 1984.
Mise en œuvre d’une application autour du bus IEEE 488
Le bus IEEE 488 (ou IEC 625) est devenu de fait un véritable standard de communication, principalement en instrumentation pour vous familiari-
ser avec les principes généraux de ce bus et surtout pour vous permettre de devenir effectivement opérationnel dans le choix et la mise en
œuvre de matériel, CEGOS vous propose le stage « Mise en œuvre d’une application autour du bus IEEE 488 »
Deux axes principaux sont suivis. L'un vise à développer rapidement une application enployant le bus IEEE à base de matériel existant : struc-
ture de la configuration, familiarisation avec le logiciel (BASIC). L'autre cherche à approfondir les différents aspects de la norme, pour dominer
des problèmes plus précis dans la conception d'une interface. Date de stage : 15-19 octobre 1984.
Pour tout renseignement complémentaire et inscription, contacter Christine CHEVAL
Tour Chenonceaux - 204, Rond-point du Pont de Sèvres - 92516 Boulogne Billancourt - Tél. : 620 60 98
(1) 532.80.01
MAINTENANCE
Dépannage ex-
press en nos ate-
liers et sur le site,
sur l'ensemble
du territoire
national.
2
maintenance annuels en atelier et sur le
site. Réparations assurées pour les
plus grandes marques par des tech-
niciens expérimentés.
Service-lecteurs publicité n° 175
FORMATION
e logiciel
e materiel
Interventions e maintenance
dans le
monde entier mise en œuvre
Renseignements : M. PARRIEL
Tél. : (76) 90 47 42
PÉRIPHÉRIQUE ASSISTANCE
ZIRST - 38240 MEYLAN
1.S.T.C. Département
Maintenance.
3, r. Sainte-Félicité 75015 Paris
Service-lecteurs publicité n° 176 Service-lecteurs publicité n° 177
Pour vos stages de formation ou séminaires
UTILISEZ LA RUBRIQUE FORMATION
pe MINIS-MICrOS
Prix du module de base (86 mm x52 mm) 1 000 F ht
(frais de composition compris)
Réservation d’espace auprès du Service Publicité - Tél.
240 22 01
PAGE 146 — MINIS ET MICROS N° 216
EL VSELVENSLIER
J
VE HEVVELELX/EU
nr
et Lu D ni RS Darie —— JL MEENMALENIE
STAGE PRATIQUE
AU LANGAGE
PASCAL
FORMATION
Le langage de programmation PASCAL est maintenant universellement reconnu comme un stan-
dard pour la génération de logiciel : il allie en effet performance et simplicité.
e Répond à un standard de spécification {norme internationale élaborée par l'ISO ou l'AFNOR.
e Efforts très nets pour assurer sa promotion (disponible sur tous les micro-ordinateurs, nom-
breuses littératures...)
e Portabilité [échange de programmes, récupération de programmes pour différents micros...
e Efiicace.
e Maintenance plus aisée (programmes plus clairs et structurés).
e Programmation structurée.
e Economique.
Ce cours est destiné aux Ingénieurs ou Techniciens qui s'intéressent au langage PASCAL, en vue
de son utilisation pour la génération de logiciel de base. (Ex.: Editeur... Gestion) ou pour la pro-
grammation d'applications industrielles.
SEMINAIRE REFERENCE S4 - 6 JOURS - PRIX : 5.100 F HT.
CALENDRIER 84 :
© 29-30-31 OCTOBRE & 5-6-7 NOVEMBRE
Autres cours dispensés {nous consulter) :
® Initiation à la programmation d'un microprocesseur (51) + Micro-informatique industrielle (S2) e PAS-
CAL ($4) e Microprocesseur 68000 (S5) + Logiciel KDOS/MDOS {56)
e Méthodologie de programmation {$7) + Mise en œuvre des circuits périphériques 8 & 16 bits (S8 À et B)
e Microprocesseur 6809 (S9A) + Logiciel OS9 [S9B).
Cours Intra-Entreprise minimum 8 personnes {nous consulter)
LA GARANTIE DU SÉRIEUX
AGRÉMENT FORMATION N° 11.92.00919.92
| Je désire recevoir votre catalogue détaillé Formation
|
microprocess |”
MICRO-INFORMATIQUE INDUSTRIELLE |. SCCiété Tél
Services Commerciaux et Administratifs |
4, rue Bernard Palissy |, Adresse
Boîte Postale n° 1 - 92802 Puteaux CEDEX
Tél. (1 77500.30 TELE 620967 F do -—
Sce
# PROGRAMMATION,
UTILISATION et MISE
EN ŒUVRE des circuits
PERIPHERIQUES,
FAMILLE 6809 - 68000
FORMATION
do
La mise en œuvre d'une application à microprocesseurs demande une parfaite maîtrise du fonctionnement des circuits
périphériques dont certains sont plus complexes que l'unité centrale
La connaissance de la gamme des principaux circuits périphériques permettra au stagiaire de choisir le composant le
plus approprié à son application et facilitera sa programmation
Les connaissances générales de programmation des microprocesseurs de la famille 6800 ou 6809 sont indispensables
CIRCUITS ETUDIES 6821 PIA 68488 GPIA (IEEE 488) 68230 PI/T
6850 ACIA 6828 PIC MMU
6852 SSDA 6522 VIA 68901
6840 TIMER 9511/12 CALCULATEUR
6844 DMAC 68121 IPC
6845 CRTC 93365 GDP
COURS S8A (8 BITS) 8 JOURS COURS S8B (16 BITS) 4 JOURS
PRIX : 6.350 FHT PRIX : 3.750 F HT
CALENDRIER 84 CALENDRIER 84
29-30-31 OCTOBRE & 5-6-7-8-9 NOVEMBRE 22-23-24-25 OCTOBRE
10-11-12-13 DECEMBRE
Autres cours dispensés {nous consulter) :
® Initiation à la programmation d'un microprocesseur {S1) + Micro-informatique industrielle (S2) e PAS-
CAL (54) e Microprocesseur 68000 {S5) * Logiciel KDOS/MDOS [56).
« Méthodologie de programmation (57) + Mise en œuvre des circuits périphériques 8 & 16 bits (S8 À et B)
e Microprocesseur 6809 (SA) + Logiciel OS9 (S9B)
Cours Intra-Entreprise minimum 8 personnes {nous consulter)
LA GARANTIE DU SÉRIEUX
AGRÉMENT FORMATION N° 11.92.00919.92
[
1 Je désire recevoir votre catalogue détaillé Formation
|
microprocess |"
MICRO-INFORMATIQUE INDUSTRIELLE |. SOCIÉTÉ
Services Commerciaux et Administratifs
|
4, rue Bernard Palissy |, Adresse
Ville ___
Boîte Postale n° 1 - 92802 Puteaux CEDEX
Tél. (1) 775.00.30 - TELEX 620967 F
j METHODOLOGIE
DE
PROGRAMMATION
FORMATION
LL
e N'écrivez plus vos programmes pas à pas sans aucune analyse ni méthode; les techniques de
conception de logiciel structuré vous permettront de réduire les coûts de développement, facilitera la
programmation et la lisibilité des programmes.
Ce stage s'adresse aux concepteurs de logiciels pour la Micro-électronique, qui désirent acquérir les
connaissances indispensables à l'analyse et aux techniques de programmation modernes.
Une bonne méthode de programmation et notamment l'adoption de techniques structurées permet-
tent d'améliorer la fiabilité, la productivité, l'évolutivité et la maintenance des systèmes.
e Ce stage est fortement conseillé aux électroniciens venus naturellement aux microprocesseurs.
*Cours orienté applications industrielles.
SEMINAIRE REFERENCE S7 - 4 JOURS - PRIX 6.700 F HT.
CALENDRIER 84 :
# 16-17-18-19| OCTOBRE e 17-18-19-20 DECEMBRE
Autres cours dispensés (nous consulter) :
® Initiation à la programmation d'un microprocesseur {S1) e Micro-informatique industrielle ($2) e PASCAL [54)
e Microprocesseur 68000 {S5) e Logiciel KDOS/MDOS {S6).
e Méthodologie de programmation (S7) e Mise en œuvre des circuits périphériques 8 & 16 bits (S8 À et B)
e Microprocesseur 6809 (S9A) Logiciel OS9 (S9B).
Cours Intra-Entreprise minimum 8 personnes (nous consulter) :
LA GARANTIE DU SÉRIEUX
AGRÉMENT FORMATION N° 11.92.00919.92
microprocess
MICRO-INFORMATIQUE INDUSTRIELLE
Services Commerciaux et Administratifs
4, rue Bernard Palissy
Boîte Postale n° 1 - 92802 Puteaux CEDEX
Tél, (1) 775.00.30 - TELEX 620967 F
OS9 SYSTEME
D'EXPLOITATION
MULTITACHE ET
MULTIUTILISATEUR
POUR LE 6809
Venez vous former à un système d'exploitation (DOS) moderne et performant construit suivant la structure
UNIX® 2 et particulièrement adapté aux applications industrielles.
MICROPROCESS possède 2 ans d'expérience sur ce logiciel (il est installé sur nos machines depuis fin 81).
Ce stage vous garantit :
e Une parfaite maîtrise de l'OS9 et des logiciels associés.
e Le savoir faire pour l'élaboration de programmes destinés à des applications industrielles.
Ce cours est agrémenté de nombreux exemples mis en pratique sur un système industriel EUROMAK.
1 MICROWARE 2 BELL TELEPHON
SEMINAIRE REFERENCE S9B - 4 JOURS - PRIX : 3.800 F HT.
6 JOURS - PRIX : 4,950 F HT.
FORMATION
CALENDRIER 84 :
1-2-3-4-8-9 OCTOBRE e 4-5-6-7-10-11 DECEMBRE.
Autres cours dispensés {nous consulter) :
«Initiation à la programmation d'un microprocesseur (S1) + Micro-informatique industrielle (S2) + PAS-
CAL (4) Microprocesseur 68000 (55) * Logiciel KDOS/MDOS (S6)
« Méthodologie de programmation (S7) + Mise en œuvre des circuits périphériques 8 & 16 bits (S8 À et B)
9 Microprocesseur 6809 (S9A) + Logiciel OS9 {S9B).
Cours Intra-Entreprise minimum 8 personnes (nous consulter) :
LA GARANTIE DU SÉRIEUX
AGRÉMENT FORMATION N° 11.92.00919.92
|
| Je désire recevoir votre catalogue détaillé Formation
|
microprocess |” :
MICRO-INFORMATIQUE INDUSTRIELLE | SOCIÉTÉ Tél
Services Commerciaux et Administratifs
4, rue Bernard Palissy
|, Adresse
Boîte Postale n° 1 - 92802 Puteaux CEDEX Y
Î
Tél. (1) 775.00.30 - TELEX 620967 F
Service-lecteurs publicité n° 174
N° 216 MINIS ET MICROS — PAGE 147
L'enregistrement s'achève le lundi précédant la date de parution.
Les textes sont composés en corps 8. Une ligne sur une colonne com-
prend 23 signes typographiques, chaque signe de ponctuation ou espace
inter-mots intervenant pour un signe.
RUBRIQUES ET PRIX
Offres d'emploi
— 20FF (ht) le mm/col (minimum 2 cm)
— La même insertion le numéro suivant : 40 % de remise.
Achat-vente de matériel
Autres propositions
— 20FF (ht) le mm/col (minimum 2 cm)
— Couleur: + 20 % — Noir au blanc: + 20 %.
Demandes d'emploi
— 24FF (ttc) la ligne
— Domiciliation au journal 31 FF.
«Minis et Micros » petites annonces, Yvonne BATAILLE 5, place du
Colonel-Fabien, 75491 Paris Cedex 10.
Tél. 240 22 01. Télécopieur
MINISS
MICTOS
informatique electronique
petites annonces
Télex 230589 F
Offres d'emploi
Renix
ELECTRONIQUE
À LA NOUVELLE ROUTE ELECTRONIQUE «
FILIALE DU GROUPE RENAULT
ET DE BENDIX ALLIED U.S.A.
Société en EXPANSION RAPIDE
Spécialisée en Electronique Autornobile / installée
depuis 1979 à TOULOUSE / recherche
SOCIÉTÉ MUTUALISTE
près de la gare St Lazare
équipée d'un matériel
BULL DPS 7 (50 terminaux)
TIGRE SA
Leader dans les domaines traitement du signal traitement
image et graphique recherche dans le cadre de son expansion
INGENIEUR PER INGÉNIEURS D'ÉTUDES HARDWARE
UN Fe vel ment en TTL ou ECL ou Tranche (connaissan-
EQUIPEMENTS DE TESTS PROGRAMMEUR M 7" "Ces Mini ou Micro bi
Ingénieur diplômé électronicien ou automaticien, CONFIRMÉ hi OR IR
pour conception et réalisation d'équipements de tests
3 à 5 ans d'expérience test de modules électroniques en
fabrication de grande Série, de testeurs ou d'électronique
industrielle [automates].
Anglais lu et parlé
NB : CE POSTE EST POSSIBLE
POUR CERTAINS HANDICAPES
Adresser CV. photo récente et prétentions
sous réf 840903 à RENIX ELECTRONIQUE
BP 1149 - 31036 TOULOUSE Cédex
INGÉNIEURS COMMERCIAUX
DE HAUT NIVEAU
mini informatique
— Vous avez une bonne formation générale et de
solides connaissances en informatique.
— Vous possédez une expérience de la vente de
systèmes informatiques acquise sur le terrain.
— Vous voulez rejoindre une équipe dynamique
dans une société en pleine expansion.
Nous recrutons des Ingénieurs Commericaux pour
la commercialisation de systèmes clefs en main.
e Rémunération motivante
e Poste basé dans le Sud-Est
Envoyer lettre manuscrite, CV, photo
et prétentions sous réf. N° 3640 qui transmettra.
CONSEIL ET INGENIERIE
INGENIEURS
ELECTRONICIENS / INFORMATICIENS
Diplômés Grandes Ecoles, 2 à 5 ans d'expérience dans les
domaines suivants
e conception logiciels de base, réseaux, process control
e_ingéniérie bancaire
e connaissance des microprocesseurs INTEL appréciée
Adresser C.V. 10, bd de Strasbourg 75010 PARIS
ou téléphoner 209.54.00
PAGE 148 — MINIS ET MICROS N° 216
DUT ou équivalent
Minimum 2 ans d'expérience
Connaissances TDS appré-
ciées.
Adresser lettre manuscrite,
CV, photo et prétentions à
M.G.C.L.A.
Monsieur SOULAS
68, rue du Rocher
75396 PARIS CEDEX 08
INGÉNIEURS D'ÉTUDES SOFTWARE
ANALYSTES-PROGRAMMEURS
pour développement en Fortran ou Assembleur ou langage C
(connaissances Mini ou Matériel DEC souhaitées)
Envoyer lettre manuscrite et CV à:
TIGRE SA Service du Personnel
2, Centre Administratif des 7 Mares
78310 ELANCOURT
Tél. : (3) 062 29 12
PRAXIAI recherche
INGENIEURS
pour développement d'outils systèmes
sur MICRO 16 BITS
expérience CTOS appréciée.
Adr. C.V.+ prétent. + lettre manuscrite à PRAXIAL
60, rue Laugier 75017 PARIS Tél. 380.39.19
IMPORTANTE STÉ DE TRANSPORTS
Recherche
ANALYSTE-PROGRAMMEUR
niveau MIAGE, DUT …
2 à 3 ans d'expérience
connaissance du COBOL éxigée
rattaché directement au Chef de Projet
Il participera au développement d’un important pro-
jet d'informatique réparti concernant une trentaine
d'agences
Matériel utilisé : Micro PDP 11 - PDP 11/24 - MINITEL
Rénumération annuelle : 110 - 135 000/an selon
expérience
Lieu de travail : Région Parisienne
Adresser CV et photo à M.M. N° 3672 qui tr.
CONSTRUCTEUR
INFORMATIQUE
recherche
1 INGÉNIEUR
LOGICIEL
sur micro. Connaissances
système appréciées, 2 ans
d'expér. exigées.
Poste à responsabilite.
1 INGÉNIEUR
LOGICIEL
sur micro. Connaissances
et expérience exigées en
ÉLECTRONIQUE
1 INGÉNIEUR
LOGICIEL
sur micro. Connaissances
ARCHITECTURE SYSTÈME
et ÉLECTRONIQUE de base
exigées.
Débutants diplômés Gran-
des Écoles ou 2 ans de réfé-
rences.
Tél. pour RV : 784 74 52
SSCI PARIS ou R.P.
R
ANALYSTES. M CGomputerland
PROGRAMMEURS
1) Matériel Bull 64 - DPS 7 RIVE GAUCHE
Bull 66 - DPS 8 OUVERTURE EN SEPTEMBRE 84
TDS, IDS 2 ou DM IV TP RECHERCHE
2) Matériel I.B.M.
PL 1 - CICS - IMS
B.M.G. - Tél. : 265 04 83
16, rue Auber - PARIS 9e
ANALYSTE-
PROGRAMMEUR
DE GESTION
2 ans d'expérience sur
micro et mini. Langage
Cobol et Basic.
Envoyer C.V. à M.D.
LANGMAN TIL
mini.
2 TECHNICIENS H/F
BTS électronique/équivalent
expérience sur micros (IBM, HP ...)
2 FORMATEURS
MICRO-INFORMATIQUE H/F
Formation analyste programmeur connaissant
DOS, progiciel MICROS, expérience souhaitée 1 an
Pour ces postes : 25/35 ans
Anglais lu/parlé, bonne présentation, esprit
d'équipe et ambition.
Possibilités de formation complémentaire
et déplacements (France et étranger)
Tél. : 700 67 31
14, rue Soufflot, PARIS 5°
Ingénieurs
Electroniciens
informaticiens
pour le développement de logiciels pour
systèmes automatisés
- microprocesseurs Z80, | 8086, MC 6800
- langage : Assembleur, Pascal, PLM
- connaissances hardware
Adresser CV et n° de téléphone à
CONSEIL INFORMATIQUE
44-46, rue Marius-Jacotot
92800 PUTEAUX (La Défense)
BRETAGNE
Centre de traitement de l'information
recherche
INGÉNIEUR ÉLECTRONICIEN
(ou équivalent)
Transmission et connection ordinateur/ordinateur
Ordinateur/système industriel
Organisation et gestion atelier maintenance micros-
minis matériel C Il - HB DPS 8;
200 écrans micros et minis connaissances Assem-
bleur, CP/M, MS/DOS et gamme digitale.
Adresser CV, photo et prétentions à CAB
B.P. 100, 29206 Landerneau
SSCI proche Nation
recherche
MONITRICE
Connais. programmation
Philips P.7000
Libre de suite.
Envoy. CV, référ. et prét. à
N° 4086, Publicités Réunies
112, bd Voltaire PARIS XI°
Sté de Restauration
recherche
ANALYSTE-
PROGRAMMEUR
1 ou 2 ans d'expérience
IBM 34/36
connaisances micros
appréciées
Adresser C.V.
et prétentions à :
HORETO
Parc des expositions
75015 PARIS
Important groupe
privé d'assurances
Paris 9e
équipé d’un
Honeywell-Bull 66 DPS 05,
recherche
pour renforcer son
équipe exploitation
PUPITREUR
H/F
justifiant d’une formation
universitaire IUT et ayant
un an d'expérience mini
mum sur DPS 05.
Envoyer CV, photo et pré:
tentions sous réf. 894 à
PUBLIPANEL, 20, rue
Richer, 75441 Paris Cedex
09, qui transmettra.
Les Impressions CEPI - Photocomposition Compogram, 174, quai de Jemmapes, 75010 Paris
N° Commission Paritaire : 56 477 - Dépôt légal imprimeur : 3 trimestre 1984 n° 4
Achats/Ventes d’équipements
Vends
Micro-Ordinateurs
NEC PC 8001
32 K RAM + extension
Ecran couleur ; Impr.
Unité double Floppy
Disquette (2 x 320 Mo)
Achat avril 1983
M. GILABERT
334 03 43
Nous recherchons
VISIOTEXTES
Système 23
3262 B 01
5120
Ecrans et imprimantes IBM
Tél. : (1) 778 95 18
Recherche
— 4 écrans IBM 5291
— 2 imprimantes
IBM 5256-3
d'occasion
Faire offre à:
NOP
Télex 150185 ou
Z.I route de Crouy
60530 Neuilly en Thelle
avec année de
fabrication et prix
Recherchons
VISIOTEXTES 320 K
système 23 IBM
Etudions toute proposition
Tél. : 554 92 80
poste 304 ou 377
Vends
HP 250
+ disques 64 Mo
+ 2 consoles
+ imprimantes
Tél. : 558 32 80
ACHÉTE IBM 34
configuration minimum
128 K 128 M chargeur
Écrans et imprimante
Leaseur s'abstenir
Répondre sous n° 3675 qui tr.
Vends BULL 61/DPS
Mémoire 96 + 24 Ko
Disques durs
1 fixe de 57,5 Mo
1 amovible de 11,5 Mo
Imprimante 160 CPS
Lecture de disques souples 8"
3 terminaux
Disponible 1.10. 1984
Tél. : (89) 23 65 65
Recherche Matériel BULL
TCU 7021
DKU 7007
DKU 7005
TRADAN T 3000
IMP T 3000
IMP TTU 8229
MODEM PAP et BDB
Tél. : (94) 95 56 07
A vendre
6 modems TRT 9603
canal unique
4 modems TRT 9603
4 canaux
Prix à débattre
Tél. : 554 92 80 Poste 304
A vendre IBM 34
128 K - 128 MO :- Chargeur
1 imprimante 300 lignes
1 écran 5251
130 000 F (ht)
Tél. : (93) 73 95 73
À VENDRE
Unité centrale IBM 34
Modèle B 13
27 M octets disque
48 K mémoire centrale
monodisque simple face
Prix : 35 000 francs
Tél. : (56) 50 90 20
Cause cessation activité
Vend ou reprise leasing
(10 mois)
SYSTÈME INFORES 3050
3 postes + régulateur
Renseignements : M. Baldit
Tél. : 280 65 66
Société recherche
ONDULEUR ou
GROUPE TOURNANT
5 KVA mini-compatible
IMB 34
Tél. : (70) 05 28 99
poste 217
Vends 61 DPS
— 2 disques 57,6
— 1 imprimante 300 I/m
— 6 écrans DTU 7172
— 3 TTU 8126 clavier et I.F
— 12 Dispacks MSU 0333
Disponible 30 nov. 1984
Tél. : (1) 587 27 00
Vendons IBM Système 1
128 K avec unité disque 13,9 M
3 terminaux, imprimante
Matériel parfait état
Disponible de suite
Prix : 85 000 FF
Tél. : 16(48) 61 03 83
Disponible
Ecran IBM 5251/M12
4 postes
Modem intégré
4 800 BAUDS
Ligne commutée
Ecr. M.M. n° 3 664 qui tr.
Directeur de la publication : Gilbert Cristini
Annonceurs |
Accord électronique
ADM
AIM
Altos
AMD
Ampex
ATN
Axis Digital
Brite International
Copel
Data Products
Dilog
Ecrin Automatismes
Editests
Editions Eyrolles
. Efisystème
Elexo
ERN
Genicom
Geveke
Gould
Honeywell
ICL
Inmac
Intel
ISI International
Kontron
Kovacs
Librairie spécialisée
M2
Mair
Maxell
PAGE 150 — MINIS ET MICROS N° 216
RÉFÉRENCES SERVICE LECTEURS
71
32 et 33
86
124
64
132
140
56
54
Il de couv.
25-60
78
130 et 131
139
14 et 15
125
17-118
59
85
118-130
Métrologie
Microscience
Micro Technologie
Minis et Micros Formation
Mostek
NEC
Nicolet
Norsk Data
Numelec
Olivetti
Ordinateur Individuel
Ordinateur Personnel
PEP Sinfodis
Peri Technologie
Philips
Plessey Microsystems
Plessey Périphéral
Qume
Rhône-Poulenc
RTF
Sicob
SPI
System Contact
T2I
Techdata
Technology Resources
Tekelec
Televideo
TIV
Tracor
Transrack
Unixsys
Yrel
67
142
138-144
146 et 147
28 et 29
40
129
126 et 127
22 et 23
6 et 7
145
30
79
68
62
65-IV de couv.
13-20
26-106-
135-143
38 et 39
140
80
169
179-171
174 à 177
168
102-151
105
148
107
131 et 132
134-178
108-149
119-144-
159-170
117
110
138
125
166
141
DÉFINISSEZ . à
VOTRE MINIS:MICrOS
service abonnements
ABONNEMENT 5, place du Colonel Fabien, 75491 Paris Cedex 10
ET RECEVEZ BULLETIN D’ABONNEMENT
Je souscris ce jour .… abonnement(s) à « minis et micros »
TOUTES LES A B (voir au dos)
Formule choisie
DEUX 0 Règlement joint par :
[} chèque postal [} virement postal au CCP 17 932 62 D Paris [} chèque bancaire
SEMAINES [1 Règlement à réception de facture
Nom/prénom L_1 11 1 D URL OL 1
MmMIS: Entreprise ou administration 111 1 1 1 LOL 1 LOL OL LOTO OL 1 1
MICrFOS Adresse LL 1 LL D D D LL À À À | 1 | ÿ | | | |
D OÙ 1 EN de ff 29 1 2 A EN foot Op 1
DES SA Date
PARUTION Signature ou cachet
COMPLÉTEZ
VOTRE
INFORMATION
Se MINS
F MICrO
PURRERE Service lecteurs
5 place du Colonel Fabien
CE 78491 PARIS CEDEX 10
AUX CARTES
SERVICE
LECTEURS
AFFRANCHIR
US
« MINIS ET MICROS » N° 216 - 10 SEPTEMBRE 1984
SERVICE LECTEURS écrire en lettres d'imprimerie SVP. Ne pas utiliser cette carte plus de 6 mois après sa parution
Nom/prénom | 1 ll | 1! 1 EE os on = a ||
Entreprise ou administration L1 11 1 1 1 1 D LR EE EE
Adresse 111 1 1 1 1 1 À LOU EU OT 1]
ee LL] Lt 1 1 EE |
NOUVEAUX PRODUITS PUBLICITÉ
1 2 3 4 5 6 7 B 91011 12 13 14 15 16 | 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113
17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 | 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126
33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139
49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152
65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165
81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178
97 98 99 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191
[] abonné [] non abonné Nombre total des références cerclées L_1l_]
Critiques, suggestions, souhaits. que nous lirons avec la plus grande attention et que nous publierons éventuellement.
Annonceurs |
Accord électronique
ADM
AIM
Altos
AMD
Ampex
ATN
Axis Digital
Brite International
Copel
Data Products
Dilog
Ecrin Automatismes
Editests
Editions Eyrolles
. Efisystème
Elexo
ERN
Genicom
Geveke
Gould
Honeywell
ICL
Inmac
Intel
ISI International
Kontron
Kovacs
Librairie spécialisée
M2
Mair
Maxell
PAGE 150 — MINIS ET MICROS N° 216
RÉFÉRENCES SERVICE LECTEURS
71
32 et 33
86
124
64
132
140
56
54
Il de couv.
25-60
78
130 et 131
14 et 15
125
17-118
59
85
118-130
Métrologie
Microscience
Micro Technologie
Minis et Micros Formation
Mostek
NEC
Nicolet
Norsk Data
Numelec
Olivetti
Ordinateur Individuel
Ordinateur Personnel
PEP Sinfodis
Peri Technologie
Philips
Plessey Microsystems
Plessey Périphéral
Qume
Rhône-Poulenc
RTF
Sicob
SPI
System Contact
T2I
Techdata
Technology Resources
Tekelec
Televideo
TIV
Tracor
Transrack
Unixsys
Yrel
67
142
138-144
146 et 147
28 et 29
40
129
126 et 127
22 et 23
6 et 7
145
30
79
68
62
65-IV de couv.
13-20
26-106-
135-143
38 et 39
140
80
169
179-171
174 à 177
121
126
156
168
102-151
105
148
107
136
131 et 132
134-178
108-149
119-144-
159-170
117
110
138
125
166
141
DÉFINISSEZ DEUX FORMULES
RETOURNEZ CETTE CARTE
VOTRE POUR VOUS ABONNER _ DÜMENT COMPLÉTÉE A :
MIS:
. MICTOS
TOUTES LES
Service abonnements
DEUX
SEMAINES
5 place du Colonel Fabien
75491 PARIS CEDEX 10
MINIS:
MICrOoS
DES SA
PARUTION
* 01 Informatique : mensuel, hebdo et digest (l'annuaire général des fournisseurs en informatique et en bureautique)
#* Prix TTC (TVA 4 % incluse).
° « MINIS ET MICROS » N° 216- 10 SEPTEMBRE 1984
COMPLÈTEZ CS CE LECTEURS SERVICE LECTEURS
Nom/prénor. | 1 1 2 29 24 pe 2 ff. je VO ER Je pe pp]
INFORMATION 2e L RUBRIQUE NOUVEAUX PRODUITS Entreprise ou administration 1 1 1 1 1 1 1 1 1 7 |
Ad RE RE | | EP A RO EL EE
SUR LES Référence Référence | LL | | | VOULU OU OU LU LL LU LL LL 1
service Nom du produit service Nom du produit |
lecteurs lecteurs PUBLICITÉ
Carte CPU à base de 6809 26 4 5 6 7 8 910 11 12 13 14 15 16 | 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113
Interface de programmation
avec MMU analogique 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 | 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126
33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 | 127 126 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139
49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 | 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152
Générateur de programmes 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 | 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165
LA
Carte micro-ordinateur 27 Mémoire de masse
à mémoire virtuelle 28
Micro-ordinateur monocarte 29 Logiciel graphique 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 | 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178
CE
Modules-contrôleurs Sasi au standard GKS 97 98 99 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191
AUX CARTES Module d'interface « universelle » 30 Logiciel de communication [} abonné [] non abonné Nombre total des références cerclées | 1! |
: sur IBM PC
SERVICE Modules-contrôleurs
multifonction 31 Valise de sauvegarde Critiques, suggestions, souhaits. que nous lirons avec la plus grande attention et que nous publierons éventuellement.
LECTEURS 7 Contrôleur de disque VME 32 Système de traitement d'images
Contrôleur de disque souple 33 Système graphique couleur
Carte mémoire secourue 34 Processeur graphique
au standard Multibus haute performance
Micro-ordinateur d'acquisition 35 Microcalculateur 8 bits :
de données analogiques 36 Microcalculateur série
Carte de surveillance 37 Microprocesseur 8 bits
Terminal de visualisation 38 Microcalculateur 8 bits
Table graphique interactive 39 Interface de temporisateur AFFRARERIE
Station graphique 40 Convertisseur N/A 12 bits
Tables graphiques 41 Convertisseur N/A 12 bits C-Mos |
Traceur quatre couleurs 42 Convertisseur A/N 16 bits
Terminal compact 43 Echantillonneur bloqueur pour i M
Emulateur de terminal Bull convertisseurs 14 et 16 bits
sur IBM PC 44 Circuit de commande de moteur
Disques grande capacité 45 Deux Ram dynamiques 256 K bits
Imprimante thermique portable 46 Minitel compatible VT 100 Service lecteurs
Imprimante de tableau 47 Modem optique 5 place du Colonel Fabien
Unité de disquette « polyvalente » 48 Alimentations programmables 75491 PARIS CEDEX 10
Unités de disques 5 pouces 1/4 49 Clavier professionnel
Mémoire de masse portable 50 Connecteurs doubles pour cartes
à haute densité
51 Fond de panier LSI 11
Unités de mini-disquette
TECHDATA
di dus dd
Intelligent systems
série 8000
Les INTELLIGENT SYSTEMS existent en mode alphanumérique — 48 lignes de
80 caractères — ou graphique — 480 H X 384 V. Le logiciel IGS — plus de 150 commandes
— permet de tirer parti aisément et rapidement de toutes les possibilités graphiques.
En version terminal ou système DESK TOP COMPUTER -— avec floppy disk de capacité
80 Koctets à plus de 1 Moctets — les INTELLIGENT SYSTEMS présentent 8 couleurs
de base donnant la possibilité de multiples combinaisons de teintes.
De très nombreuses options permettent d'établir sur mesure une configuration modulaire
pour s'adapter aux besoins de l'utilisateur.
La possibilité de combiner le système d'exploitation CPM avec le graphique couleur
multiplie la puissance des INTELLIGENT SYSTEMS.
Un clavier, un photostyle ou une tablette à digitaliser permettent de dialoguer avec le
système. La recopie de l'écran peut s'effectuer, en couleur, sur papier (imprimante
graphique) ou sur support photographique.
Tous les modèles sont équipés d'interfaces CCITT V 24 ou boucle de courant. De
nombreuses émulations sont disponibles : DEC VT 100, TEKTRONIX 4014...
Les INTELLIGENT SYSTEMS sont utilisés dans les domaines les plus variés et
notamment pour des applications industrielles de commande de processus pour visualiser
des synoptiques, des histogrammes, des courbes...
Techdata 40 rue des Vignobles 78400 Chatou - Téléphone : (3) 952.62.53 - Télex 698 979
(Sud-Est), immeuble L’Orée d’Ecully, chem. de la Forestière - 69130 Ecully. (7) 833.15.44 - Télex 375 964
USA : Techexport, INC. 244 second avenue - Waltham, Mass 02154 - Tel. (617) 894.00.92 - Telex : 951262.
UNITED KINGDOM : Techex, Limited. 5b Roundways Elliott Road - West Howe Bournemouth Dorset BH 118JJ - Tel. (02016) 7 1181 - Telex 4 1 437
W.GERMANY : Techdata GMBH. Wallersheiner Weg 13.19 - D-5400 Koblenz - Tel. (261) 80.10.75 - Telex : 8 62 400 teg d.
SUISSE : Techex AG. Chimii Baert Bahnstrasse 18 CH-8603 Schwerzenbach - Tél. (01) 825 09 49 - Telex : 57033 CH.
ITALIE : Techex S.r.i. ASSAGO (MILAN) Milanofiori - Palazzo A/2 - Casella Postale 3384 - 20089 ROZZANO - Tel. (2) 82.40.3183.
Pour toutes précisions sur la société ou le produit présenté ci-dessus: référence 178 du service-lecteurs (p. 151)
)
© y LL
0 227
Oo 4 77/77/7777
O 22
O D
O
_
O //LLWWW LD
© Lu 2 / —. _
nn À m |
© MM ANR
72, 2
CLP) À, A __
O a À
© su = 77
LA _
FRS
O
d
O
Depuis ces quelques dernières
années, tous les constructeurs de petits
ordinateurs espèrent voir se développer
en Europe une croissance explosive de
leurs ventes, une lame de fond identique
à celle vécue aux Etats-Unis et au Japon.
Eteffectivement, il apparaît que l'Europe
Va, à son tour, être atteinte par la vague
et que le vieux continent s'apprête à
connaître une croissance aussi foudro-
yante des marchés des petits ordinateurs:
importe donc, pour chaque construc-
teur de bien se placer et d'optimaliser la
part qu'il désire prendre dans ce marché
en pleine mutation. Pour les petits
ordinateurs et produits connexes,
limportance des réseaux de distribution
estprimordiale; aussi faut-ilqueles
fabricants de petits ordinateurs et
d'équipements apparentés construisent,
développent et améliorent leurs circuits
de distribution.
Sivos activités se situent dans un ou
plusiers des domaines suivante:
. vente de systèmes
e OEM pour qui la valeur ajoutée de vos
équipements se compose, même
partiellement, de petits ordinateurs
OÙ One OU ee ON Ou 0 O0 OPEL TOP ENTER
tique au détail
e grossiste
e grossiste en machines de bureau
e grossiste en matériel de bureau
e acheteur par quantités
eentreprises s’occupant
d'ingénierie informatique
efabricants
ereprésentants,
Vous conviendrez rapidement
avec nous que COMDEX/EUROPE ’84
sera assurément une date majeure à
noter dans votre agenda. Elle intéresse
toute organisation et toute structure
indépendantes amenées à vendre des
ordinateurs.
Les constructeurs et fournisseurs ont
besoin de VOUS. Vous pourrez les
rencontrer à COMDEX/EUROPE 84,
oùils se tiennent prêts à parler avec
VOUS des arguments et des avantages
qui plaident en faveur de la vente de
leurs produits. COMDEX/EUROPE ’84
est donc pour vous l’occasion rêvée de
trouver de nouvelles sources pour
accroître la rentabilité de votre affaire.
D) OPA ENNO) CG... O1 CC ORNE
D'INFO
COMDEX/EUROPE organise une
série de conférences consacrées
spécifiquement aux courants et pro-
blèmes susceptibles d’influencer le
fonctionnement de votre entreprise.
Ces sept séances plénières présen-
teront les perspectives pressenties
par une équipe éminente d'experts
internationaux.
Lundi: le 29 Octobre 1984
11:00-12:15
CEP-1THEME PRINCIPAL: QUELLE
DIRECTION PREND LE MARCHE
EUROPEEN DES ORDINATEURS£
Le conférencier qui développera
ce thème d'introduction sera un
spécialiste confirmé. Il analysera le
marché, en plein développement des
petits systèmes d'ordinateurs et il
abordera le problème sous ses différents
angles. Les fournisseurs européens
doivent faire face à de fortes poussées
américaines et japonaises. Mais il n’est
pas certain que ce soient de grandes
entreprises qui triompheront dans la
lutte pour la conquète du marché: des
entreprises de taille plus modeste et
donc plus souples pourraient parfaite-
ment s'imposer.
Lundi: le 29 Octobre 1984
14:00-15:30
CEP-2 QUELS PROFITS UNE
PRESENCE SUR LE MARCHE DES
PETITS SYSTEMES APPORTERE
Echanges de vues entre reven-
deurs indépendants: critères qui les ont
amenés à choisir leurs produits. Quelles
marques choisir, comment localiser les
fournisseurs, comment vendre, assurer
le service après-vente et quelle assis-
tance attendre de la part des construc-
teurs? Les spécialistes de COMDEX/
Europe seront présents pour aider ceux
qui sont confrontés de problèmes de
choix. Les spécialistes se livreront à
une analyse des positions occupées sur
le marché et passeront en revue les prix
etles performances. On présentera les
liens entre matériel (systèmes portatifs,
transportables, systèmes fices à poser
sur table et systèmes multi-utilisateurs)
et principales catégories d'utilisateurs.
Mardi, le 30 Octobre 1984
10:30-12:00
CEP-2LE LOGICIEL, SOURCE
DE PROFITS
Ilexiste une nouvelle génération
d'utilisateurs qui ont fait naître une
demandepour des ensembles bon
marché; fiables, simples et pratiques à
l'emploi. A cette demande répondune ”
offre d’ensembles multi-fonctionnels
intégrés, avec logiciels directement
distribués par techniques digitales vers
les bureaux de l'utilisateur ou vers les
consommateurs privés On voit se
développer une famille d'organisations
de vente au détail, qui écouleront plus
de logiciels que de matériel, caril devient
évident que la plupart des utilisateurs
sont éventuellement prêts a payer plus
14:00-15:30
CEP-4LA VENTE D'ORDINATEURS
AU DETAIL ET PROBLEMS DE
CROISSANCE DE SEGMENT DE
MARCHE
Il ya quelques années, il était
généralement admis qu'on ne pourrait
jamais vendre de petits ordinateurs au
détail, On pensait au contraire qu'ils
seraient eux aussi soumis à des
procédures d'installation et de mise
en service multiples à l'instar des grands
ordinateurs vendus et installés parles
maisons qui proposent des systèmes
complets. Aujourd’hui, des milliers de
points de vente au détail présentent,
partout en Europe, une gamme incroya-
blement étendue de petits systèmes
d'ordinateurs, de périphériques,
de logiciels et d'équipements’auxiliaires.
Cette séance de travail S’intéressera
à l'examen de préoccupations commu-
nes à tous les ei d'ordinateurs au
détail.
:) COMPEM/EUROPE 84
29 Octobre - 1 Novembre 1984
Centre d'Exposiotions RAI, Amsterdam, Pays-Bas
COMDEX/EUROPE'84 Boîte Postale 7000, 1007 MA Amsterdam, Pays-Bas Téléphone (31) 20-460201 Télex 12358 NL
|
pour leurs logiciels que pour leur matériel.
Mardi: le 30 Octobre 1984
00:00: 00:06:10 Oo Oo 0140: OR OeeEEaELELELELELELEL 2 0. D O0 00 OC
Mercredi: le 31 Octobre 1984
14:00-15:30
CEP-6 DE NOUVELLES CHANCES
D'AFFAIRES POUR CEUX DONT
LE METIER EST D'INTEGRER
DES SYSTEMES DANS DES
EQUIPEMENTS FINAUX
Des milliers d'utilisateurs mal
initiés découvrent que leur système bon
marché est incapable de fournir les
performances nécessaires pour
Jeudi: le 1er Novembre 1984
10:30“12:00
CEP-7 ETES-VOUS PRET A
AFFRONTER LA PROBLEMATIQUE
DÜ MARCHE POTENTIEL
QU'OFFRE LA BUREAUTIQUE 2
Que ce soit par câblage direct
dans des réseaux locaux où par dés
modems branchés surle réseau télépho
niqué public, est possible d'étendre
considérablement les performances des
ordinateurs ’de table”. Il existe tout un
Mercredi, le 31 Octobre 1984
) 10:30-12:00
CEP-5 TABLE RONDE VENDEURS/
FOURNISSEURS
Notre table ronde est un temps
tortde COMDEX/Europe Elle réunit des
figures de’proué de l'industrie, des’inter-
locuteurs qui répondent franchément et
spontanément à vos questions, celles-ci
sont résumées à partir de question-
naires distribués lors des séances précé-
déntes/Pourla table ronde qui auralieu
cétté année-ci, on retiendra notamment
la discussion de problèmes délicates
comme les conflits entre canaux de
distribution etlarépartition desfrais
d'assistance entre vendeurs et four-
nisseurs.Sidurantle débatlé ton monte,
c'est parce que les thèmes discutés
sont sérieux et rarement débattus en
résoudre les tâches imposées. Voici
un domaine d'intervention pourles
’intégrateurs” de systèmes.
Lés’Spécialistes de COMDEX/Europe
vous exposeront comment trouver ces
utilisateurs déçus et comment répondre
àäleurs attentes Les experts parleront
également delimportance de maintenir
une Structure des prix réaliste de tous
les éléments de l'ensemble, même les
prestations comme la formation,
l'assistance; l'entretien etles inévitables
améliorations des systèmes. Commela
participation à cette séance de travail
vous l’apprendra, l'avenir n’a jamais été
aussi prometteur pour les ’intégrateurs”
marché à conquérir/celuidesinter-
connexions entre terminaux/ordinateurs
centraux télécopieurs/copieurs,
équipements de traitement de textes et
de pilotage vocal;etbien- d'autres.
Tous ces débouchés-potentiels sont
autantdenouvelles sources de profits
eétde courants d'affaires avecles
vendeurs et revendeurs. La bureautique
est un phénomène dont tout le monde
parle,un marché lucratif à ne pas
négliger.
) public. de systèmes!
| (:) COMPER/EUROPE 84
29 October - 1 November, 1984, The RAI Congress & Exhibition Centre, Amsterdam, The Netherlands
) Exhibit Hours: Monday 11:00 HRS t0 17:30 HRS; Tuesday, Wédnesday 10:00 HRS to 17:30 HRS; Thursday 10:00 HRS to 16:00 HRS
This form is for advance registration only. It can not be used on-site. Please photocopy for additional registrants.
To have your registration credentials ready and awaiting your arrival at COMDEX/Europe, complete the form and mail no later than 8 October.
Please print ortypewrite the information as you wishitto appear on your badge.
Firstname Lastname
38
Pérsons undeérthé age 0116 are
notpermitted onthéExhibit Floor. {
- Name |
= BS2
2! VUE 1222
L ty |
+ +
Telephone Code
OI PNNTEE SSL Df185
includes admission to the Exhibition on all (4) days and to all (7)
Conference Sessions.
) By enclosing full payment with this form. minimal delay is assured.
Check method of payment used.
Eurocheck payable to COMDEX/EUROPE
Title k
Company
Company
Address
Postal code
Country of
Residence
GE T LE T
Telex
Country
BE SURE.TO COMPLETE. OTHER SIDE
:
D RARES RE TO) 0 O7 ONE O D .. 01040 0 /:0..0:- 0: 0:.0.0"0;10"0
T
L
JGIS HIHIO 31T14WO9 OL 34n
UHnvoice to address below
In the event of cancellation, registration fee will be refunded
if written notice is received prior to 28 September, 1984 1f notice
) TBanktransfer to Amro, Amsterdam account nr. 43.95.98.338 [is received on or after 28 September, fee will be applied toward
Forward invoice to the above address. registration for COMDEX/Europe'85.
) DON'T FORGET THE OTHER SIDE
Le
s
(@)
For additional information call: (31) 20-460 201 Telex12358NL CIRCLE ONLY ONE IN EACH GROUP
Your organization LD y 7
© ACCOMMODATIONS : a mr 2
£ L 4 or : 5
Complete this part of the form only if you require hotel reservations. SB LUE CC SL 8rd Party Service
(@) Arrival date [ Guaranteed for late arrival Representative . SM Software Package/
SC Computer/WP System Dealer Developer
Departure date SD Systems House/integrator SN OEM- ee
ï SE Commercial OEM SQ OEM-Other
O nt SF Turnkey Vendor SR Consulting
AMEX cardnr. SGEN IE SG Value Adder ST Education
Ow Diners Club card nr. Exp. Date EE COM PUErREASr ST CEE me
Q = ice Machine Dealer m
= Joreceive special conference rates, our staff must make your : = a
reservations for you. Please indicate your first (5) choices by writing ue function | Vourtitie ©
Of the numbers one (1) through five (5) in your decreasing order of FA L Administration À
Ê preference in the box to the left of the hotel list. Ifthe hotels you NPBI/MATRENNR , 4
0° select are unavailable a reservation will be made in another hotel as A — rer prete ns
k CR IR to the ones you requested. All rates include FE — SORWAE Development MM Marketing/Sales 9
; FF Engineering MINS MERE ET EE 7 TE,
® Mail this form before 8Octoberto: | FG Consul DD
à 4 no 84 L LL ’ 0 LL DO
f , y / L 4 (LL WU, L 4
O9 ” 1007 MA ÉTÉRDAN Théhiéthodends 4 WW ps si nl
[e] = nr
té a
u PE RATES FE RATES = J
OS DA 707% [00] pres
2 { 7 c EE TOUR 4 LM
oO | 156, 190 Krasnapolsky
Apollo AATATATÉ 205 245 | Marriott
O D D DD)
DL 2 | Oku LU
O VD e | Pulitzer WII
Dikker & Thijs 155 | 190 e Schiller [: 180 L___—8 s
Doelen | 150 180 | L 1 Sonesta Let 0 0 LLC AN Pa x
O Hilton Amsterdam 280 350 rs
UV D
O / Z 2207 7
Systems and Methods A/B Verbatim S.A. Apollo Magnetics Citizen Watch Co. Ltd.
; Se B. SAN ET ESna RAA Cover + Brown disc Mfg Develcon EleCtrONICS um 2er
O Omier ment Software Ltd. nn —
(®@) Epson Deutschland Vid eo ones Ltd. Logitech F en _. ing M mory Expe a st
C.W. Publikationen Accountants Micro Systems Inc. C.P.S. Computer Group Pc. Spin Physics Eastman Company _
O Champion Software Alloy Computer Products Xidex (U.K.) Ltd. AL eEIeN Werke dti GmbH _ Fr
4 no eysene 7 SPI-DeutschlandGmbH 7 UD LD
soie srcial Co: LU / 7 a.
O ABA System-AB Affärsystem | Softsel Computer Produc ge PA. dé
Houston Instrument/Bausch & Lomb Mc.Graw-Hill Benelux Moneywise Software Ltd. Sigmatronics Spri.
O ER vis us Datentechnik DORE ic hdd LE ge AS ds Sale Ge en RE
O 4 blé a
MOLTOMIDESIONE er ve lomega Corporation = WestNV. ë LS Western Digital — RE ETAT CES
O Ha us E NF RERO ER £ 3-M Nederland B.V. Fa VN. U. Business Fa el
Electronics IE À a 00
da L 4 DD ue, Soft re Don tional …
O LIL ZI 4 LOL _ Li eS0 D LD
ProfiSoft FE Casio bre ae Ltd. Services 800 S.A. _ ed dates Et r =
Kaypro The Software Se Ericsson information Systems Data General ser.
O Otron ) LD = 8-Com Corporation an ültimatic A
, Pr 0 DD ral AI à M
O Falcon Safety Products inc. | Europe tea de ENON RE
Groupe Tests Philips Austria Abtex Software Limited batisol à jésifée a
O Dôbbelin & Boeder
Computer Technology Group Ashford kttamsonel Micro Courseware Corporation —
Lore Sources LX. » D) (MPI).
vest-
D PUR ES RE citer UE
INTERFACE … -
GROUP, Inc.
Worid's leading producer of computer
conferences and expositions
RO EN OL TO NO CO CO A OT FO. 0
Le ITHE RER PAS 3 ER Te 2
Port betaald/payé
rinted in The Netherlands CE84
GA, LOTO RTS r : 0). 0 MO. CL CN fs
ù
ù
|